dimanche 26 février 2017

CHANGEMENT DE REGISTRE

L'affaire Théo évolue. Mais pas dans le bon sens de ce qu'on voulait en faire. D'un la famille mise en examen, çà fait tâche. De deux, des journalistes qui commencent a se rendre compte que l'histoire du pauvre et simple petit citoyen black innocent battu et violé par la méchante police, ne tiens plus. En effet, les arguments et éléments des rapports démontrent qu'en réalité, on est en face d'une interpellation comme il y en a des tas en France, symbole d'un coté d'un manque de respect envers l'autorité, et de l'autre, d'un "burnout" qui pousse a devenir plus violent que la normal. Tord partagé semble être l'issue la plus logique et censé. Sauf que le dogme de "la police tous pourris" est lancé, et maintenant, il est trop tard pour le désamorcé, tant évidemment, les rapports seront prit comme étant injustes, partisans et racistes.
La presse alignée elle aussi devient plus prudentes de par sa part de responsabilité d'avoir fait monté les enchères sur cette affaire.

NDL : toutes personnes qui vit, ou a vécu dans des environnements dit "métissés", et qui plus est "populaire", savent qu'elle sont les mentalités qui y circulent. Des mentalités qui ne sont pas, contrairement aux idées reçues, que l'exclusivité d'individus issues des minorités, de l'immigration, plus particulièrement maghrébine et noir africaine. Des "petits blancs" sont tout aussi irrespectueux et en constante révolte contre le système, adoptant des moeurs et des comportements typiquement asociaux et poussant irrémédiablement a des confrontations contre toutes autorités. Il suffit de voir dans certains mouvements radicaux d'extrême gauche pour se convaincre qu'on a affaire a des "blancs" parfois issue de milieux aisé ou bourgeois, mais qui trouvent dans ces mouvances, un bon argument pour se défoulé à tord contre ce qu'ils se sont mis a détesté le plus : l'autorité, l'ordre, les règles. Autrement, dans certains quartiers, la concentration communautaire n'a pas aidé a tenter de dilué cette "haine" et l'a plus ou moins renforcé, au point que désormais, certains individus n'ont plus peur de la police, et au contraire, se sont affranchit complètement de cette "peur du gendarme", cette peur de la sanction de l'autorité, pour trouver bien au contraire, une gloire a en affronté les détenteurs, sur n'importe quel terrain. Les codes et les règles de ces gens sont construites autour de valeurs qui n'ont plus rien à voir avec celles de l'honnête et respectable citoyen. Elles sont plus inspiré par la loi du milieu, des caïd, des parrains, des gangsters, ou l'on retrouve aussi une traditions de gangs à l'américaine, ou la valeur et les respects se gagnent a vos actes les plus criminogènes qui soit. Chez eux, la violence est gratuite, verbale comme physique, accentué par l'effet de "meutes" qui forcément fait perdre toutes les formes de bon sens et de sens morales individuels, qui sont pourtant bien présente au plus profond de chacun d'eux. Rare sont ceux qui ont réellement un vice dans la peau, mais ce sont généralement ceux là qui sont les meneurs, les guides, les chefs de meutes, qui entraînent dans leurs sillages des jeunes qui n'ont plus d'autres références, plus d'autres sources d'inspirations (puisque même l'éducation nationale est impuissante et a baisser les bras).

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