mardi 27 juin 2017

POTENTIEL

Il paraîtrait que l'on ait des intuitions de possibilité d'avoir des certitudes sur de possible données permettant d'affirmé qu'il y a probablement une certitude d'avoir des données sur la conviction qu'on a des possibles capacité d'avoir des preuves qui pourrait incriminé un potentiel d'attaque avec des armes probablement chimiques, sans quasi certitude de pouvoir apporter les éléments de cette intuition dont on attend encore confirmation des preuves.
Résumé ; on en sait rien mais on affirme que c'est possible !
Tous comme il est possible que vous soyez foudroyé par la foudre juste en levant le doigt au ciel..... et encore c'est pas sûr.


USA TODAY a pourtant écrit un article qui dénonce les ambiguïté de la politique américaine vis à vis de la Syrie avec des revirements constant et des affirmations à l'emporte pièce.
"L'année dernière en pleine campagne, les foules rugissaient quand Donald Trump dénonçait son adversaire comme une vat en guerre, Hillary. Mais le président Trump a finit par incarné rapidement le vice qu'il condamnait. Nulle part, cela n'est plus évident qu'en Syrie, où l'imprudence de Trump risque d'entraîner l'Amérique dans une guerre majeure."
Ce n'est pas certain car logistiquement, l'amérique est trop dispersée et l'expérience négative de l'Irak pousserait plutôt a créer une coalition pour une opération type "guerre du golfe".
"La politique des États-Unis en faveur de la Syrie a été une succession d'absurdités depuis 2012. Le président Obama a promis 16 fois qu'il ne mettrait jamais les «bottes américaines sur le terrain» dans la guerre civile syrienne à quatre fronts. Il a abandonné tranquillement cette promesse et, à partir de 2014, a lancé plus de 5 000 attaques aériennes qui ont fait tomber plus de 15 000 bombes sur des groupes terroristes en Syrie.
Il y a quatre ans, Trump a prévenu dans un tweet : "Si les États-Unis attaquent la Syrie et frappent les mauvaises cibles, tuant des civils, il y aura de l'enfer mondial à payer". Mais l'administration Trump a considérablement augmenté les bombardements américains tout en limitant les restrictions visant à protéger les innocents. Un groupe britannique de surveillance des droits de l'homme a estimé vendredi que les frappes de la coalition dirigées par les États-Unis avaient tué près de 500 civils au cours du dernier mois, plus qu'un mois depuis que les bombardements américains ont commencé. Une commission d'enquête des Nations Unies a conclu que les frappes aériennes de la coalition ont causé une «perte décisive de la vie civile».
Le carnage est assez embarrassant pour dire que "le Pentagone puisse nié que se son ses propres avions qui sont responsables des accidents civils", a déclaré récemment Micah Zenko, le Conseil des relations extérieures ."....
"Le fait de tuer un grand nombre de civils innocents sème les germes d'attaques terroristes futures sur le territoire de l'Amérique. Il n'y a pas de bonnes options pour continuer l'intervention des États-Unis en Syrie. "
Petit rappel de ce que l'on sait dans les coulisses de Washington, c'est à dire qu'en réalité, c'est l'état profond qui est aux commandes et que l'agenda a été remit au goût du jour.

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