lundi 1 janvier 2018

AU CONGO

La République Démocratique du Congo toujours sous l'instabilité d'un désordre du fait de la résistance du président Joseph Kabila a se soumettre a un processus démocratique que son peuple réclame. Des manifestations ont lieux depuis plusieurs semaines, mais la tension monte entre un peuple exacerbé de voir une élite s'accaparé le pouvoir en changeant les règles du jeu, et un pouvoir affaiblit, mais pourtant soutenu par certains occidentaux.

"Les forces de maintien de la paix des Nations Unies affirment que les forces de sécurité ont tué au moins sept manifestants en République démocratique du Congo.
Les manifestants veulent que le président Joseph Kabila quitte ses fonctions.
"Nous nous disons que nous sommes dans un état démocratique, mais nous ne sommes pas dans une démocratie, nous sommes dans l'église, au milieu de la prière et au moment où le prêtre a levé l'Eucharistie symbolique, ils ont tiré des gaz lacrymogènes" à Kinshasa a déclaré dimanche (31 décembre). "Cela n'arrive nulle part ailleurs".
Le mandat présidentiel de Kabila a pris fin en décembre 2016 - et il avait accepté de tenir des élections d'ici la fin de 2017.
Maintenant, les gens craignent qu'il essaiera d'éliminer les limites de mandat qui lui interdisent de se présenter à nouveau.
Certains accusent l'ancien ministre belge et commissaire européen Louis Michel d'avoir soutenu Kabila." ...

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