Il semble que Macron et sa clique n'ont pas l'intention, ni même la classe politique en générale (plus particulièrement les complices des macronistes) de soumettre l'idée au peuple. Si pénalement et législativement, rien n'est définit, Macron a quand même donner une position en faveur d'une condamnation de l'antisionisme, comme forme d'antisémitisme. Mais déjà, dimanche 24 février, une manifestation est organisée en faveur de la Palestine, principal sujet de conflit avec l'état d'Israël, de la part de gens qui ne sont pas particulièrement antisionistes, mais juste pas d'accord par la forme d'apartheid que pratique l'état contre les palestiniens. Mais de surcroît, les soutiens à la Palestine, possèdent une part politique d'antisionistes avérée et de ce fait, il s'agit bien là d'une mise en avant d'un droit de s'opposer à une idéologie politique, dont on voudrait effacer la frontière avec la haine envers les juifs, qu'on appel l'antisémitisme. Du fait qu'évidemment, l'antisionisme s'attaque obligatoirement à des juifs qui défendent un idéal, un concept, une idéologie, qui n'est pas obligatoirement partagé par la grande majorité des juifs, qui, parmi eux, rappelons le, nous avons les ultra orthodoxe qui sont les premiers a rejeter cette idéologie, qui rappelons le, nous vient de la fin du 19 ème siècle, pour soutenir la légitimité d'un état d'Israël, souverain, et surtout, expansionniste.
https://www.i24news.tv/fr/actu/international/europe/195686-190220-e-macron-annonce-a-b-netanyahou-qu-il-adoptera-la-definition-de-l-antisemitisme-de-l-ihra
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