En Grande Bretagne une jeune femme de 23 ans porte plainte contre un centre hospitalier spécialisé dans les traitements transgenres, pour avoir été mise sous traitement sans étude psychologique préalable. En effet, la jeune femme, s'était en fait imaginé vouloir devenir garçon par simple trouble d'une dépression à tendance suicidaire, lorsqu'elle avait 16 ans. Les médecins ont appliqués un protocole sans s'assurer que sa volonté n'était pas altérée par un état psychiatrique sensible. Du coup, aujourd'hui, la jeune femme qui se sent réellement femme, va devoir connaître son état physiologique afin de déterminer si le traitement de changement de sexe qu'elle a subit, ne va pas avoir altérer sa capacité de procréation à l'avenir. Étant déjà soumis à des effets métaboliques, le juge a estimé qu'en effet, l'hôpital a manqué à ses devoirs préparatoires et d'études psychologiques, pour satisfaire une envie qui était en fait altéré par la condition psychologique de la jeune femme.
Une affaire qui évidemment met en évidence l'état psychologique de certaines personnes qui n'ont en réalité par le discernement et le jugement suffisant et équilibrés pour être prisent au sérieux dans une démarche importante et non sans conséquences à terme. Cela ne touche pas que les cas de transgenres, mais plus globalement les personnes qui réagissent parfois avec pulsion et inconsidération, et qui par la suite, regrettent leurs gestes, allant même parfois par vouloir trouver une responsabilité dans le système qui n'a pas su les protéger d'eux même comme d'organismes ou militantismes exacerbés a vouloir soit disant les aidés et accompagnés dans leurs démarches, sans s'assurer d'une décision réfléchie et mature.
https://www.dailymail.co.uk/news/article-8061949/Woman-claims-rushed-taking-experimental-puberty-blocking-drugs.html
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