vendredi 19 novembre 2021

PANIQUE A BORD

 Ne le dites surtout pas, mais le pouvoir macroniste est en pleine panique face à la discrète mais profonde dégradation de la situation politique, largement due aux décisions hâtives prises sur la vaccination obligatoire dans les services de santé, probablement imposées par les "influences"multilatérales. La Guadeloupe s'approche de l'insurrection, et en métropole, le ministère de la Santé panique face aux défections dans les hôpitaux publics.





Premier signal faible : la circulaire que nous reproduisons ci-dessus, envoyée par les services du désormais incasable Jérôme Salomon, donné un temps au Conseil d’Etat, mais finalement vissé à son siège compte tenu du bad buzz lugubre qui le précède désormais. L’objectif est d’anticiper les “tensions” à l’hôpital, comprenez les fermetures de service rendues inévitables par le manque de personnel.

Aujourd’hui, le ministère de la Santé ne contrôle plus rien et, pour savoir ce qui se passe sur le terrain, est contraint de demander à des bureaucrates de remplir des tableaux Excel sur les fermetures prévues. Il faut dire que, en pleine période de pénurie de main-d’œuvre, le brillant Olivier Véran a imposé une obligation vaccinale parfaitement inutile d’un point de vue sanitaire (puisque le vaccin n’empêche pas la circulation du virus) qui a fait fuir 10% du personnel.

Voilà qui s’appelle tout simplement de l’incompétence pour fait d’idéologie dogmatique.

Résultat : on n’est pas sûr que l’hôpital tiendra, alors qu’il a tenu pendant les pics de 2020. Mais on imagine que les énarques et autres tacherons des services de communication ne manqueront pas pour expliquer que le vaccin est une solution et non un problème.
La Guadeloupe en route vers l’insurrection

De leur côté, les Guadeloupéens, qui n’ont pas eu le loisir de voir l’interview du Courrier qui leur est consacrée, puisque nos services l’ont censurée (ce qui outrepasse l’accord tacite qu’ils ont toujours respecté jusqu’ici avec le Courrier et constitue une rupture de confiance), les Guadeloupéens, disons-nous, se sont gentiment mis sur le chemin de l’insurrection.

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