Ce qui se passe à la commission parlementaire sur l'audiovisuel public illustre bien la décadence consternante des institutions actuelles, tant celles de l'audiovisuel public elle-même que des institutions politiques, Assemblée Nationale en tête.
Dès que la caste jacassante s'est rendue compte qu'on y posait de vraies questions, que les réponses étaient disséquées et qu'elles étaient ultra-défavorables au service public, cette caste est devenue folle de rage et de panique.Ainsi, la députée Sophie Taillé-Polian demande une réunion en urgence du Bureau de l’AN pour mettre fin à l’existence de cette commission.
x.com/Red_Pill_Repor
Ainsi Celine Calvez explique sans rire que les mensonges proférés sont, en réalité, de l'impartialité.
x.com/LCP/status/200
Ainsi, Yaël Braun-Pivet veut museler le député Alloncle en tentant un "rappel à l'ordre", pataugeant dans des explications confuses pour justifier ses gesticulations partisanes.
x.com/franceinter/st
Le président même de cette commission, comprenant que tout le monde voit son biais monstrueux, tente d'amoindrir la pertinence des questions du rapporteur Charles Alloncle.
x.com/JPatrierLeitus
Pendant ce temps, enfile les questions de plus en plus gênantes qui poussent les propagandistes dans leurs retranchements. Cohen, Legrand et d'autres se retrouvent à bégayer, mentir, se tortiller pour tenter de s'en sortir.
x.com/CHAlloncle/sta
x.com/CHAlloncle/sta
Les Français peuvent juger sur pièce : leur audiovisuel public est complètement vérolé par le gauchisme le plus débridé. Devant ce niveau de gabegies (voire de détournement de fonds publics), de foutage de gueule, d'hypocrisie et de biais, ce n'est plus de réforme dont il s'agit, mais de liquidation.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire