On le sait, nous sommes les descendants de l'homme de Cro-Magnon, un homo sapiens qui a supplanté son cousin l'homme de Néandertal. Même si aujourd'hui nous sommes capable d'affirmé que certains d'entre nous possédons 1 à 4 % du génome de notre cousin, conséquences dans certaines contrées d'un métissage qui aurait fonctionné entre les deux espèces. Mais encore aujourd'hui, il y a aussi une bataille de scientifique sur des découvertes déterminantes, permettant d'avancé la thèse que des espèces hybrides ont pu exister par le passé, et permettre d'affirmer l'existence de branches issue de l'une des deux origines homo sapiens. Une thèse qui n'est pas idiote dans la mesure ou nous sommes nous même différents dans des morphologies qui ont été l'héritage de notre évolution selon les endroits de la planète que l'homo sapiens a finit par envahir. Imaginé que dans des coins reculés de notre planète, des humains ont pu s'adapter en développant des morphologies adaptées à leurs environnements, mais n'ayant pas réussit a survivre en tant qu'espèce, a toujours été une probabilité très forte, étayée par l'existence même de tribus primitives découverte jusqu'au 19 ème siècle, et dont les morphologies ont été établie comme le résultat d'une évolution locale (des fameux Massaï d'Afrique à la morphologie particulièrement grande en taille, aux Pygmées inversement plus petit que la moyenne).
Aujourd'hui la communauté scientifique admet que nos origines viennent donc de trois génomes : Sapiens (dit homme moderne) Néandertaliens et Denisovans, cette dernière étant le résultat d'une évolution estimé être proche du Néandertalien mais disparu bien avant celle du Néandertale. Mais une quatrième branche semble de plus en plus se confirmé, et pourrait établir l'existence d'un ancêtre commun aux peuplades d'origines océaniques, dont des éléments d'ADN correspondraient a ceux d'une peuplade de Pygmées, les Andamans, qui possède un chaînon manquant dans leurs compositions ADN qui ne correspondait pas a l'un de ceux référencé dans les chaînes de l'homo sapiens moderne. Si cette découverte était validé, elle démontrerait une fois de plus, que l'évolution d'une espèce dépend d'un cycle qui n'a pas fait disparaître complètement l'une envers l'autre, mais que des métissages ont pu être à l'origine de la diversité de couleur, de taille, de morphologie, comme de particularités biologiques incontestables à l'espèce humaine.
http://investmentwatchblog.com/scientists-conclude-there-is-evidence-of-a-previously-unknown-species-on-earth/
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