Si les faits sont avéré que la policière a bien été en situation de recevoir des ordres contraires à l'éthique, la révélation des noms du cabinet du ministre devrait logiquement engagé sa responsabilité.
dimanche 24 juillet 2016
NE RIEN LÂCHER
Malgré le témoignage d'un haut gradé (qu'on prendra avec des pincettes tant évidemment il joue sa carrière) la policière municipale réitère ses accusations contre le Ministère de l’Intérieur. Son avocat ajoute : « Nous avons l’ensemble des preuves, témoignages, mails permettant d’asseoir ses déclarations ». Le bras de fer ne fait que commencer. Mais il y à malheureusement un écueil ! Quel magistrat prendra le risque d'instruire l'affaire sans risqué les foudres d'en haut.
BFMTV a coupé brutalement l'interview alors que l'avocat était en train de donner la procédure qui devrait être mis en route judiciairement parlant.
Si les faits sont avéré que la policière a bien été en situation de recevoir des ordres contraires à l'éthique, la révélation des noms du cabinet du ministre devrait logiquement engagé sa responsabilité.
Si les faits sont avéré que la policière a bien été en situation de recevoir des ordres contraires à l'éthique, la révélation des noms du cabinet du ministre devrait logiquement engagé sa responsabilité.
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