Voici une nouvelle fois la preuve que la démocratie est parfois confronté a une lourde, très lourde tâche, qu'elle n'a jamais réussit a résoudre, lorsqu'en son sein, les animosités sont trop grande pour réussir a trouver des consensus.
La Birmanie s'éveille depuis quelques années a la démocratie, avec la victoire de son premier dirigeant élu, et non des moindres, la légendaire Aung San Suu Kyi. Mais déjà le pays est confronté a un conflit séculaire entre deux communautés au sein de sa population. Celui entre les Rohingyas et les Bouddhistes. Ces premiers étant de confession musulmane, ils sont souvent considéré comme étant issue d'une immigration illégale en provenance du Bengale, et s'étant installé dans la région Ouest du Rakhine, en Birmanie. La geinte militaire ne leur avait pas reconnu de statut légale jusqu'en 1990 ou ils furent toléré sans accepter de leurs octroyés une citoyenneté. Souvent considéré comme une communauté ethnique réprimée, la communauté Rohingyas birmane est la plus importante au monde avec plus d'un millions d'individus, comparativement a d'autres communautés situées en Arabie Saoudite, Bangladesh, Thaïlande, Pakistan ou Népal, entre autres. Mais depuis l'accession a la démocratie, les Rohingyas réclament évidemment d'être intégré en tant que citoyens à part entière. Ce qui évidemment a éveillé les craintes des bouddhistes, se considérant les seuls héritiers unique d'une culture Pagan et Khmer. Mais dans ce pays brassé par plus de deux siècles de conflits, de colonialisme et de pouvoir militaire, plusieurs ethnies et communautés sont aujourd'hui menacé par la "liberté" apporté à la Birmanie, ou d'autres minorités comme les Karens, les Karennis ou le Shans, sont tout aussi brimé par des radicaux.
Un exemple supplémentaire qui nous rappel comment il est difficile d'admettre que l'on puisse engendré des conflits internes, en instaurant des démocraties, qui n'arrive pas a résoudre outre mesure ce qui couve depuis des lustres.
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