D'un coté, Trump réitère son intention de détendre l'atmosphère avec la Russie. Mais du rififi au sein de l'appareil d'état de Washington, semble aller dans le sens contraire. Réaffirmation des sanctions contre la Russie, avertissement envers la Corée du Nord, mise en garde à l'Iran..... Clairement, l'establishment et l"tat profond ne veut pas laisser Trump mené sa barque comme il l'entend, et relance la machine autoritaire américaine. La réaffirmation d'exigé de la Russie de restitué la Crimée à l'Ukraine, est la preuve, entre autres conflits d'intérêts au sein de l'administration du secrétaire d'état, que la guerre est ouverte entre une administration divisée, et ou la lutte est fratricide entre les progressistes des lieux, et les nouveaux chefs de fil. Un véritable danger pour l'intégrité même de la politique extérieure américaines, qui, si Trump n'arrive pas a s'imposé dans ses orientations, risquerait d'être l'acteur malgré lui d'une monté en puissance de ce que l'establishment voulait justement atteindre avec Clinton. Pire, cela démontrerait par contre à l'amérique, que le président élu, n'est finalement plus le capitaine du navire et que les pouvoirs sont bien entre les mains d'autres gens non élus.
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