Clairement, la politique française est morte. Ce sont désormais des VRP que l'on voit gesticulé de toute part, pour tenter de séduire le bulletin de vote dans l'urne. Même si notre système diffère de celui des américains, les enjeux ne sont pas totalement différents. La prise de pouvoir d'entités au détriment de l'idéologie politique classique, pour la destruction des états nations et de leurs peuples souverains. Dans ce jeu, un élément essentiel : la mise en place d'un réseaux détenteur des pouvoirs administratifs, juridiques, et de sécurités dans les institutions. Ce que l'on appel, "l'état profond", c'est à dire des gens en lieu et place qui opèrent normalement selon des définitions propres a leurs fonctions et leurs responsabilités, mais qui en réalité opèrent dans l'intérêt de la destructions même des institutions au profit des multinationales et de la finances, plus généralement, "le privés". Une guerre injustifiée par ici, un renversement par là, tous les conflits de ces 40 dernières années n'étaient pas légitimes et ont été construit de toutes pièces pour servir les intérêts de multinationales et d'empire financiers. Il suffit de constater l'état de nos sociétés, sur le plan social et économique pour se convaincre que même un président n'est en réalité plus maître des lieux. Ils sont aux ordres, ou doivent mourir. Mourir politiquement, comme aussi mourir physiquement (JFK, Allende, Kadhafi, Hussein ont tous ce point commun d'avoir été éliminé parce que dérangeant les plans des empires). Alors quant on cultive volontiers la cupidité et le matérialisme de l'homme politique, pas étonnant qu'au bout d'un moment, on se retrouve avec des incompétents, des traîtres, des collaborateurs, à la tête de nos institutions. Et qu'au bout du compte, on est en face de gens qu'on nous vend pour être nos dirigeants, alors que franchement, plus personne n'en veut. Mais l'état profond organise notre servitudes, car il est conscient que l'illusion de démocratie commence a partir en fumée. Et l'élection de Trump, le Brexit, le "non" italien à la réforme, mettent de plus en plus la pression sur cette élites qui croient avoir le contrôle alors que çà commence a s'effondré de partout. Surtout quand les commanditaires ont finit par avoir les yeux plus gros que le ventre, et sont aujourd'hui en indigestion de leur trop grande assurance a vouloir transformé le monde a leur image, avec un nouvel ordre mondial ou seul 1% détiendront tous les leviers de la planète. Du coup, les états profonds sont menacés, ébranlés, et pourraient bien passé à l'étape supérieure pour annihilé toutes véhémences populaire a leur encontre. En gros, mettre nos sociétés, nos pays, à feu et a sang, pour nous pousser a nous entre tuer, pendant qu'eux, derrière leurs bureaux, compte les points et restructure nos institutions au service de leurs maîtres.
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