Une majorité de français refuseront cette évidence : si nous en sommes arrivé là, c'est parce que le peuple a laissé faire. Il a laissé faire la tromperie de l'Europe, la trahison du référendum de 2005, la trahison de ses élus qui ont petit à petit détricoté leurs droits, vendu la souveraineté de la France à Bruxelles, accepté de rendre la carte de crédit et le chéquier à la commission européenne. Il a accepter de fermer les yeux sur la loi travail, sur la réforme de l'éducation, sur la retraite a 62 ans, c'est laissé traité d'homophobe, de raciste, d'antisémite par une infime minorité d'intellectuels en rage de ne pas avoir déjà participer à la dislocation du pays pour le soumettre a l'ordre de la pensée unique. Il a accepter de ne plus voté par conviction et d'accepter son sort d'une collaboration a un jeu de chaise tournante dans lequel il a toujours été le dindon de la farce. Il a fonctionné a deux vitesses, et c'est laissé divisé par des manipulations sociétales, confessionnelles, migratoire, pour ne pas accepter des évidences, et ne pas se faire traité de raciste, d'antisémite, ou d'homophobe. Aujourd'hui, clairement, le peuple de France va connaître une époque identique a celle de 1942 : d'un coté collaboré, ou de l'autre, résisté. Collaboré a l'instauration d'une politique destructrice d'un pays, de son modèle sociale, de sa culture. Résisté pour préservé son exception culturel, ses droits, ses devoirs, ses conceptions, son patrimoine, son identité.
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