Les États-Unis se sont divisés en plusieurs gouvernements après que le gouvernement fédéral fut réduit en cendres à la suite de l'explosion d'une bombe nucléaire à Washington et dans 22 autres villes américaines d'importance (dont Denver).
Quelques mois après les attentats nucléaires, les anciens États-Unis sont divisés de facto en trois États :
Quelques mois après les attentats nucléaires, les anciens États-Unis sont divisés de facto en trois États :
Les États entre le Mississippi et l'océan Atlantique conservent le nom d'États-Unis et ont pour capitale la ville de Columbus ;
Les États entre le Mississippi et l'océan Pacifique ont pris le nom d’États Alliés d'Amérique (Allied States of America). Leur gouvernement, dirigé par le président John Tomarchio, ancien sénateur des États-Unis pour le Wyoming, a tissé des liens très forts avec la compagnie Jennings & Rall2, doté désormais d'un drapeau formé de 13 bandes verticales (au lieu du drapeau américain où les bandes sont horizontales) avec 21 étoiles en cercle (au lieu de 50), chacune représentant un des États ralliés au gouvernement de Cheyenne.
L'État Indépendant du Texas, lequel dispose de réserves considérables de troupes et de pétrole et qui est le joker capable de faire pencher la balance en faveur de l'une ou l'autre des deux autres nations, qui veulent s'octroyer le pouvoir de l'une, sur l'autre, par le fait d'une volonté de légitimé une "reconnaissance dans l'héritage" de ce que fut les USA.
Seulement voilas, au sein de l'États Alliés d'Amérique se trouve la puissante et influente société Jennings & Rall et sa branche militarisé Ravenwood, qui sont reconnues comme étant à l'origine d'un complot qui a mené des frappes nucléaires sous faux drapeaux sur le territoire américain, afin de mettre tous sur le dos de Corée du Nord et de l'Iran, et justifier le bombardement nucléaire de ces pays. Tous se jouera sur la preuve apporté au Texas, qui déterminera de l'issue d'une guerre entre les deux autres états. Les Etats Unis étant plus faible que l'Etats Alliés d'Amérique, le Texas pèsera alors dans la balance, entre voir une restauration de la démocratie, ou l'asservissement d'un peuple par un état clairement sous contrôle d'intérêts privés et de ce fait, une dictature qui n'en porte pas le nom.
Science fiction, mais qui pourrait tout à fait être plausible au vu des faits auxquels nous sommes aujourd'hui exposer. Certains diront qu'il est impossible qu'un état laisse organisé le massacre d'une grande partie de sa population, et que les conséquences économiques de voir des grands centres urbains être rayé de la carte, serait insoutenable, même en cas de scission d'un pays en plusieurs entités. Pourtant, ce scénario (certain l'auront peut être reconnu) c'est celui de la série américaine "Jericho" qui fut diffusée entre 2006 et 2008, et qui fut finalement interrompue sous le prétexte d'audiences insuffisantes. En réalité, la série reposait sur le postulat d'une petite bourgade du nom de Jericho, et qui devait survivre dans ce contexte avec toutes les conséquences que cela implique, tant au niveau d'un patriotisme clairement brocardé, que par la révélation d'un complot organisé non pas par des gens de l'extérieur, mais bien par des américains, décidé a mettre le chaos pour noyer leurs désirs de prises de pouvoir, en éliminant au passage, les obstacles de leurs hégémonies politiques et économiques. Forcément, la série était devenue politiquement incorrecte, car exposait justement cette théorie que des sociétés privées, de par leurs tailles, devenaient presque un substitue à la démocratie. Ce qui, d'une certainement manière, est déjà le cas dans les institutions américaines, Alors forcément, la série devenait dangereuse en matière de fiction qui n'était pas si loin d'une possible réalité qu'un jour, des gens au sein même des USA, organise la liquidation de leurs propres pays pour mieux reconstruire sur les cendres, leurs propres pouvoirs, sous couverture d'illusion démocratique.
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