Apparemment le comité de direction du Monde a eut des échos très négatifs sur l'avenir de son journal. Trop de polémiques, de part des engagements politiques de certains journalistes, ou de parti prit orientés et inconvenants a l'éthique journalistique. Sans le visé, le Décodex n'a pas passé le cap du lynchage sur les réseaux sociaux, et la ténacité de ses auteurs a se placé comme détenteur de vérité, juges, et bourreaux, vient sans nul doute de porter un coup au bilan du journal. Pour éviter les dérapages, les règlements de comptes, les partis prit, ou les opinions subjectives de ses journalistes, le comité directeur et son président ont émit un mail clair, net, précis, sur des orientations a tenir à l'avenir.
En gros, la direction demande désormais que tous collaborateurs ou journalistes interrogés ou invités par d'autres plateformes médias, d'avoir avoir l'aval de la direction. Ce qui veut dire que les rédacteurs en chefs et éditeurs, sont en by pass sur ces décisions. De plus, interdiction d'exprimer ses opinions personnels, d'attaqué qui que se soit à tord ou à raison, revenir a une neutralité, et une objectivité, surtout sur les réseaux sociaux (çà, c'est clairement remettre en place certains collaborateurs qui ont affirmés, jugés, condamnés, sans preuves ni argumentaires)
Bref, il y a péril en la demeure, tant la direction générale a du prendre conscience que la presse alignée allait devoir rendre des comptes tôt ou tard, et que Le Monde prend les devants pour semble t-il, se donner une option de "méa culpa" au cas ou !
Source LesCrises.fr dont d'ailleurs Olivier Berruyer doit être aux anges, lui qui a déposé plainte contre le journal pour diffamation par l'intermédiaire du Décodex.
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