L'AFFAIRE

L'un se dit avoir été violemment agressé, l'autre tout autant. Qui prêche le vrai ou le faux, en tous cas, quant le débat idéologique en vient aux mains c'est qu'en effet, le paysage politique français est lapidé, détruit, en phase terminale.
http://www.francetvinfo.fr/politique/la-republique-en-marche/agression-d-un-cadre-socialiste-le-depute-lrem-m-jid-el-guerrab-est-place-en-garde-avue_2352248.html

Le 31 Aout, M Jid El Guerrab communique sur Twitter.

Boris Faure nie avoir proféré des insultes racistes à l’égard de son agresseur M’Jid El Guerrab.

François Kalfon (PS) demande l’exclusion de M’Jid El Guerrab de LREM : «La première des moralisations est d’exclure la violence et la barbarie».

Arnaud Leroy, membre du conseil d’administration LREM, annonce qu’une procédure est lancée contre M’Jid El Guerrab, sans toutefois en préciser la nature : «On a un rôle à jouer en tant que mouvement (…) Il y a des procédures internes, je peux pas vous dire car il y a des conditions d’audition qu’il faut qu’on respecte, mais vous vous doutez bien qu’on ne va pas rester sans réponse face à cette situation».

VERDICT : Gros malaise dans le paysage politique français car le justice est saisie, et devra faire la lumière sur les faits. Si El Guerrab a porté la main sur Faures, l'enquête devra établir dans quelles conditions et si Faures était t-il déjà en contact physique avec El Guerrab. 
Mais derrière cette histoire, il y a aussi quelques antécédents qui ont commencé a déranger les LREM. En effet, il y a aussi derrière le personnage, des opportunismes idéologiques qui ont primé sur certaines positions, y compris des relations avec des mouvements radicaux musulmans. L'affaire pourrait en effet permettre au En Marche de se débarrassé d'une "encombrant" membre du parti, qui pourtant leur avait bien servit du fait de ses origines.