L'expression, "rien n'est gratuit" est une alerte au bon sens que forcément, la valeur restera toujours dans un circuit vertueux qui incite a ce que l'on rende gratuit quelques choses que d'autres paieront à terme. Un bonbon gratuit, c'est forcément une valeur de matière première qu'un boulanger, un industriel, ou un commerçant se sera acquitté mais dont ils fera le sacrifice du bénéfice, au profit d'une opération de communication, commerciale, ou génératrice de flux d'intérêt.
Donc forcément, quand on parle de gratuité des transport à l'échelle public, lorsqu'on pose la question "qui paiera la facture", là, on se trouve confronter à des tergiversations de languages et de formules, pour aller chercher les bons sentiments, la solidarités, le collectifs, voir la sensiblerie, pour tenter de ne pas dire qu'en réalité, on fera payer la collectivité, et exonérera les plus démunis, sous justement ce prétexte de "solidarité". Sauf qu'évidemment, le principe de la justice sociale, c'est que le plus démunis soit aider à ne plus l'être, avec l'effort du plus grand nombre.... ce qui n'est pas le cas d'un certain nombre, qu'un temps on appelait de ce terme "cancellé" par les biens pensants de "assistés de naissance".
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