vendredi 28 octobre 2022

HUNTER

 


Avec le Midterm, c'est aussi le destin de la dynastie Biden qui va être mis à mal. Le fils Hunter en particulier qui depuis des mois, devrait être inculper pour négligences et autres délits fiscaux, sans parler de liens mis en évidence avec l'Ukraine et les laboratoires du cru, qui devraient partir sous le tapi. Mais les senateurs Chuck Grassley et Ron Johnson viennent de relancer l'affaire avec un rapport de 220 pages.... croustillants 

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Rappel des faits pour ceux qui n'auraient pas suivi.

Dans la guerre entre les progressistes et Trump, ce dernier en pleine campagne présidentielle de 2020, a balancé quelques histoires concernant le fils Biden, Hunter Biden. Très vite, certains médias se sont intéressés au cas et avec certaines aides anonymes (au sein du FBI pour ne pas le nommer) on a très vite pu constater des choses croustillantes.

Dans un premier temps, des liens avec l'Ukraine. Celle de Maïdan, qui a permis au fils Biden de rentrer dans le business de l'entreprise publique ukrainienne de gaz naturel Burisma en tant que consultant à 1 million de dollars par an. Et cela, moins d'un mois après que son père, alors vice-président, ait rencontré les dirigeants de Burisma en avril de la même année, pour des contrats lucratifs. Hasard ?

Dans un deuxième temps, des liens avec le conseil d'administration du fonds d'investissement privé basé en Chine, Bohai Harvest RST of Shanghai Equity Investment Fund Management Co. avec une participation de 10 %. Mais là encore, il est une tradition dans les présidence américaine, que les filles et fils de, soient souvent utilisés pour être mis en place dans des fonctions "familiales d'intérêts". 

Dans un troisième temps, un lien avec un accord entre l'autorité de Kiev et l'USAID et le CDC américain, avec le soutien du philanthrope libéral George Soros, pour la création de 31 laboratoires sur 14 sites en Ukraine, liés à, selon certaines sources, des déploiements de recherches biologiques, sous couvert d'un principe de "gain d'intérêt" défendu d'ailleurs par le Professeur Fauci lui même, dans des mails révélés lors d'une commission parlementaire. 

Et enfin, le quatrième temps, le plus retentissant, le fameux portable laisser en réparation dans une officine, et dont le propriétaire, s'apercevant des contenus "forts compromettants", en rendra compte aux FBI qui dans un premier temps, n'à apparemment pas pris au sérieux la chose, laissant donc le dit technicien faire des copies et les envoyer à des médias indépendants, qui ont finalement fait remuer les brancards dans le FBI, qui à finalement récupérer le dit portable. Sauf que trop tard, des documents et des vidéos ont finit par être publier sur le web. L'administration fédérale allait devoir "enquêter" sur l'affaire, jusqu'à ce qu'une commission parlementaire soit constituée pour réclamer des éclaircissements au FBI sur les boulettes de cette affaires. Boulettes qui s'accumulent, lorsqu'à la question "êtes vous en possession de ce portable et de son contenu", un responsable du FBI à admit qu'ils étaient incapables de dire, ou ce trouvait actuellement ce portable (pour ne pas dire, disparu). 

D'ou la raison que Joe Biden tente à chaque fois de détourner le fait, en convainquant l'opinion que ces histoires sont les résultats de propagandes russes, conséquences à l'aide "soupçonnée" qu'à pu bénéficier Trump dans sa campagne de la part du Kremlin. Lien qui évidemment, après moultes enquêtes et auditions parlementaires, n'à jamais pu être établit, prouvé, ou démontré. 

Seulement voilà, l'étau se resserre de plus en plus, et Joe Biden va devoir accepter au minimum de laisser son fils répondre à la justice, qui sera clémente de ne pas aller trop loin quand même, comme cela l'à été avec l'affaire Ghislaine Maxwell ou dès le début de la session devant de tribunal, la présidence de ce dernier avait bien stipulé au jury qu'on ne traitait "que" les plaintes en question, et non les liens avec l'affaire Jeffrey Epstein, pour éviter justement d'ouvrir une boîte de Pandore.

Même si l'on assiste à une guerre médiatique pour tenter de faire passer cette affaire auprès de l'opinion, comme étant "sans intérêt".

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