mercredi 31 mai 2023

CRUELLE

 

L'IMPASSE

 Quand tu commences a radoter sur un conflit dont tu sais que c'est une impasse et qu'il faut absolument sauver les apparences.

Ukraine : Emmanuel Macron promet un soutien "solide et durable"

https://www.tf1info.fr/international/en-direct-guerre-en-ukraine-attaque-de-drones-sans-precedent-sur-moscou-kiev-de-nouveau-frappee-les-informations-aujourd-hui-mercredi-31-mai-2258787.html

EN VERITE

 Parce que les progressistes de l'état profond américain ont perdu l'ascendant sur Twitter, ils cherchent maintenant à le tuer.

L’Europe aimerait tant censurer Twitter

Mais quelle mouche le pique ? Dilaté comme jamais, un ministricule du gouvernement dont personne ne connaissait l’existence jusqu’à présent exprime tout soudain le désir de bannir Twitter de l’internet sinon européen, au moins français.

L’information, rapportée avec ferveur par l’habituelle presse de révérence et gluante d’obséquiosité, laisse peu de place au doute : un certain Jean-Noël Barrot qui, selon ce média, serait le ministre français délégué au numérique, se serait déclaré en faveur de bannir Twitter de l’Union européenne si ce réseau social devait refuser de se conformer aux règles que cette dernière entend lui imposer.

Pour le ministricule, c’est très simple : tout manquement aux règles édictées dans l’Union provoquera des sanctions sévères, comprenant des amendes pouvant aller jusqu’à 6% du chiffre d’affaire mondial de la société concernée voire le bannissement pur et simple de la plateforme d’Elon Musk.

Cette réaction du commis de la République tout excité s’explique par la très récente décision du milliardaire, patron de Twitter, de sortir officiellement sa plateforme du code de bonnes pratiques de l’Union Européenne contre la désinformation en ligne. Cette espèce de charte lancée en 2018 contient une quarantaine d’engagements visant à gonfler l’importance de fact-checkers plus ou moins officiels et à ralentir voire priver de diffusion les sites ou les internautes diffusant ce qui est alors commodément qualifié de désinformation ou “d’infox” selon la terminologie actuellement à la mode.

Jusqu’au rachat par Musk de la plateforme, l’équipe en place n’avait eu guère de difficultés à suivre ces engagements puisqu’il s’agissait essentiellement de faire taire tout discours dissident, aussi argumenté soit-il, dès lors qu’il sortait des canons officiels autorisés. On a d’ailleurs compté nombre de scientifiques, journalistes et autres chroniqueurs de renom bannis de la plateforme pendant ces dernières années au prétexte qu’ils violaient les règles d’utilisation de Twitter, règles qui s’inscrivaient confortablement dans ces engagements européens.

Depuis, l’arrivée de Musk à la tête de Twitter a prodigieusement agacé l’ensemble des dirigeants de l’Union européenne ainsi que de différents gouvernements, français en tête : il est en effet rapidement apparu que la nouvelle direction prise par le réseau social consistait à favoriser d’abord la liberté d’expression et la recherche de la vérité (avec tous les problèmes et toutes les difficultés que cela peut comporter) avant de considérer la communication officielle des politiciens et de leurs affidés, fact-checkeurs en premier.

Cette libération de Twitter – vis-à-vis de l’étroit carcan dans lequel ces chartes, codes et autres lois limitant la liberté d’expression enfermait la plateforme – fut d’ailleurs l’occasion de publier plusieurs intéressants dossiers (les Twitter Files dont ces colonnes ont relaté quelques aspects) qui eurent le bon goût d’exposer le niveau assez stupéfiant de corruption des élites mondiales, la tendance incroyable des fact-checkers à devenir des fake-makers, la connivence galopante entre les grosses industries et les politiciens, et l’abandon de tout effort démocratique afin de puissamment cornaquer voire carrément manipuler les foules dans les directions décidées unilatéralement par des entités internationales dénuées de toute base démocratique et parfaitement imperméables aux aspirations réelles des peuples sous leur férule.

Il va sans dire que ceci n’a pas du tout plu : sentant qu’il allait devenir singulièrement plus compliqué d’ourdir discrètement des mesures liberticides si une ou plusieurs plateformes d’importance venaient à servir de porte-voix pour une dissidence et une opposition de plus en plus audibles, l’élite autoproclamée tente donc de reprendre la main.

Dans ce contexte, la récente déclaration d’un Thierry Breton, commissaire européen élu par personne, donne une bonne idée de l’infatuation dans laquelle nos dirigeants se vautrent avec plaisir : dès la prise de pouvoir de Musk sur Twitter, ce dernier n’avait pu s’empêcher de rappeler qu’il entendait limiter les libertés de la plateforme. Avec ce récent abandon du code contre la “désinformation”, le même commissaire met le turbo et déclare sans sourciller qu'”Elon peut courir mais pas se cacher”, autre façon de dire que lui, ses petites pulsions de censure et son appareil législatif entendent bien le poursuivre jusque dans les chiottes à la moindre infraction.

Or, alors qu’une vague de lois liberticides sans précédent s’installe dans les pays membres de l’Union, à partir du 25 août prochain, le nouveau paquet législatif dit “Digital Service Act” rentre en application et Breton compte bien tout faire pour bouter Twitter hors d’Europe ou, au moins, le faire rentrer dans le rang.

D’une certaine façon, le frétillant Kommissaire Politique Breton joue sur du velours : il sait que Musk ne dispose pas d’autant de latitude qu’il pourrait en souhaiter, tant le choix se réduit en matière de diffusion d’information sur sa plateforme entre un bannissement complet sur des pans entiers de territoire ou accepter les (souvent nombreuses) demandes de suppression de contenu, la France se situant d’ailleurs et sans surprise en tête dans les États les plus répressifs en la matière.

Cependant, les commissaires autocratiques européens et les petits ministricules français auraient tort de se réjouir trop vite : si Musk se doit effectivement de composer, au jour le jour, avec leurs pulsions de censure, la menace d’un bannissement de l’Europe toute entière pourrait jouer contre eux.

D’une part, le patron de Twitter pourrait choisir d’appliquer très scrupuleusement la nouvelle loi mise en place. Il va sans dire qu’au vu des performances historiques en matière de faits pour la plupart des comptes Twitter de membres du gouvernement ou de journalistes, la plupart seraient assez rapidement bannis : à ce petit jeu, la première désinformation provient sans conteste des menteurs pathologiques gouvernementaux comme Véran ou Macron ou des corrompus journalistiques, les fact-checkeurs n’étant jamais en retard d’une infox (quand ils ne détournent pas les fonds de Marianne).

D’autre part, il n’échappera à personne qu’une censure massive, au niveau de toute l’Union, pourrait avoir de nombreux effets de bords que les technocrates du calibre de Breton semblent incapables d’envisager : non seulement, on doit se demander si ce genre de tentatives de censurer Twitter ne va pas se transformer en guerre de tranchées juridique dans chacun des États membres, mais en plus doit-on noter qu’un bannissement total de cette plateforme risque d’agacer quelques dizaine de millions d’internautes européens d’un seul coup, parmi lesquels des entreprises, des associations aux militants pas toujours calmes, des journalistes et toute un grosse partie de cette classe jacassante qui a toujours su se faire entendre…

Le retour de bâton pourrait être croquignolesque à observer.

Enfin, il sera difficile d’oublier que la plupart des mesures techniques visant à censurer des plateformes déjà largement implantées au sein des populations se sont jusqu’à présent toutes soldées par des échecs cuisants : le peer-to-peer et le piratage n’ont aucun souci à se faire, Rumble – bien qu’interdit en France – reste très facile d’accès au travers de contournements techniques triviaux à mettre en place, etc. Il y a fort à partir que si bannissement il y a, il sera très partiel, très contourné et puisse transformer l’ensemble de l’exercice en une coûteuse futilité supplémentaire.

Autrement dit, le bras de fer qui pourrait se mettre en place pourrait révéler et coûter beaucoup plus que ce que les politiciens imaginent à présent.

Source

CA RAME

 Gerard Alexandre, grand journaliste devant l'éternel, rame... rame... rame...


ECLAIRCISSEMENT

 

On sait enfin d’où vient l’argent de Conspiracy Watch… et tout s’explique !

 On connaît le rôle de fichage de tout opposant aux narratifs officiels et à la propagande néo-conservatrice américaine fidèlement joué par Conspiracy Watch, organisme jusqu’ici mystérieux dirigé par Rudy Reichstadt, grand paranoïaque qui voit autant de complotistes (même Erdogan l’est, selon lui !) que Blanche-Neige ne voyait de nains dans la version adulte du conte de Grimm.

Auditionné hier par le Sénat, Rudy Reichstadt a enfin révélé le montant de son budget et l’origine de ses fonds. Son intervention, faite d’auto-congratulation où Reichstadt se proclame lui-même organisme de référence (on n’est jamais mieux servi que par soi-même…), jette un éclairage nouveau sur la visée intentionnelle profonde de ses petites fiches mises à jour en mode Je suis partout !


Alors que l’audition, cette après-midi, de Mohammed Sifaoui par la commission d’enquête sur le Fonds Marianne fait les choux gras de certains, l’audition tout aussi intéressante de Rudy Reichstadt, directeur de Conspiracy Watch, est curieusement passée inaperçue. Les révélations qu’un Reichstadt réticent et mal à l’aise, à la diction saccadée, a dû faire sous la pression des sénateurs, valent pourtant leur pesant de cacahuètes. Nous avons, pour vous, réalisé un zapping vidéo de ses interventions (voir ci-dessous). 

Un budget à 50% apporté par l’Etat

Comme l’indique Rudy Reichstadt dans les interventions dont nous avons extrait quelques éléments, on découvre que Conspiracy Watch est subventionné par l’Etat depuis 2019, après des discussions initiées en 2018. Tiens ! comme c’est bizarre, ce calendrier correspond à l’arrivée d’Emmanuel Macron au pouvoir… De là à affirmer que Conspiracy Watch est une officine de propagande et de fichage macroniste, il n’y a qu’un pas que nous laissons chacun libre de franchir.

Voici, en tout cas, le détail des interventions de Rudy Reichstadt, qui éclaire la façon dont la macronie lui a proposé un bon petit chèque pour diffuser la propagande officielle :


Rudy Reichstadt révèle ses sources de financement

Durant son audition, Rudy Reichstadt a expliqué qu’il rendait compte environ par mois à son donneur d’ordre (en l’espèce le gouvernement) sur le respect de son cahier des charges. On ne pouvait pas être plus clair sur ce qu’on appelle la propagande, parfaite négation de la liberté de la presse : Macron paie Conspiracy Watch pour produire des contenus précis, conformes à la politique gouvernementale. Et Rudy Reichstadt semble convaincu que rien ne cloche dans ce mode de fonctionnement.

Pire : on découvre qu’il dispose du pouvoir, auprès de Google, de faire passer ses contenus en tête d’affiche pour bénéficier de plus de portée auprès des lecteurs !
Une subvention annuelle de la Fondation pour la mémoire de la Shoah

Comme le précise Rudy Reichstadt, si 50% de son budget provient de l’Etat, les 50% restants proviennent d’une subvention annuelle versée par la Fondation pour la mémoire de la Shoah, présidée par David de Rothschild. On en trouve effectivement la trace (sans en connaître le montant) dans le rapport annuel de la Fondation.

On remarquera à cette occasion que la Fondation soutient également un projet appelé InfoHunter, qui consiste lui aussi à produire de la contre-influence sur Internet.

Quel est le lien entre le fichage systématique des opposants au narratif mondialiste et la commémoration de la Shoah ? La question est ouverte. Mais on comprend en tout cas que des moyens importants sont consacrés par cette Fondation à la production d’une contre-influence mondialiste sur Internet. Les méthodes utilisées par Rudy Reichstadt honorent-elles vraiment les victimes de la Shoah ? La réponse est dans la question. 

Source : https://lecourrierdesstrateges.fr/2023/05/31/alerte-on-sait-enfin-dou-vient-largent-de-conspiracy-watch-et-tout-sexplique/

GIFLE

 


EVIDENCES

Un bombardement est survenu à Belgorod plusieurs heures après une attaque aux drones sur Moscou, qui a fait des dégâts «mineurs» et deux victimes légères, mardi 30 mai à l'aube, d'après les autorités russes.

Gouverneur de Belgorod : "que cela plaise ou non, nous sommes de facto en état de guerre"

En suivant les lignes d'information, l'on note que les zones frontalières de la région de Belgorod sont sous le feu quotidien de l'armée atlantico-ukrainienne depuis la semaine dernière. Après l'incursion du 22 mai et les frappes par drones du 23, la situation ne se stabilise pas. A tel point que le gouverneur Viasheslav Gladkov met les points sur les i : c'est la guerre, une vraie guerre, que cela plaise ou non.

Au moment où j'écris ces quelques lignes, la région de Belgorod est à nouveau sous le feu nourri de l'armée atlantico-ukrainienne. Et la localité de Shebekino n'en fini pas d'être prise pour cible :

"Le village de Mourom, district de Shebekino, est sous le bombardement des forces armées ukrainiennes. Il n'y a pas eu de victimes. Le grenier d'une entreprise agricole a été attaqué par un drone. Toit cassé. Les employés de l'entreprise ont été évacués à une distance de sécurité. La ligne électrique a également été endommagée dans le village. Des équipes de secours et des services opérationnels sont sur place pour éliminer au plus vite les conséquences du bombardement."

Et vous pouvez lire ces déclarations tous les jours sur le canal Telegram du gouverneur de la région de Belgorod. L'on cherche les cibles militaires. Ce matin aussi :

"Dans le village de Bezlyudovka, un tir le territoire du centre de loisirs a également été enregistré. L'obus a touché l'un des bâtiments, provoquant de la fumée. Services opérationnels en route.

Dans le village de Belyanka, un objet inconnu a été largué en parachute près d'un immeuble d'habitation privé. L'endroit est bouclé, l'équipe d'enquête travaille."

Nous avions parlé ici de l'importante attaque atlantico-ukrainienne du 22 mai (voir notre texte), qui a été caractérisée par les pouvoirs locaux comme l'une des plus importantes depuis le début du conflit armé. Nous venons d'apprendre, qu'à l'encontre du discours occidental voulant en faire porter la responsabilité soit à des Russes mécontents de la politique du Président Poutine, soit à de grands défenseurs ukrainiens de leur Patrie en danger, à côté de quelques Ukrainiens, il y avait surtout dans ces groupes des Américains et des Polonais. Le sentiment patriotique, rien de tel en effet ... La question restant de savoir de quelle patrie, il s'agit.

Si les tirs se produisent quotidiennement, le 27 mai fut une nouvelle date phare : la région a été touchée 241 fois dans la journée. Comme l'a déclaré le gouverneur :

"Gladkov a déclaré que lors du bombardement par les forces armées du district de Shebekino, un homme a été tué et une fille de 15 ans et un garçon de 17 ans ont également été blessés. Un autre homme n'a pas eu besoin d'être hospitalisé. Il a été assisté par les médecins de l'hôpital du district central - ils ont soigné la dissection du cuir chevelu, a ajouté le gouverneur de la région.

Des dégâts ont également été enregistrés dans 70 appartements répartis dans 11 immeubles d'habitation. En outre, il y a des destructions dans six maisons privées, deux grandes entreprises, trois installations commerciales et 12 voitures."

Je ne continuerai pas plus longtemps la liste des attaques. Déjà ainsi, l'on comprend le coup de gueule du gouverneur, quand on lui demande quelle est la solution pour mettre un terme à cela :

"Joindre Kharkov à la région de Belgorod. C'est la meilleure façon de résoudre le problème des bombardements dans la région de Belgorod." 

Maîtriser le territoire, c'est pouvoir le sécuriser et les fameuses "guerres hybrides" n'ont rien à voir ici, la solution est militaire. La comm pourra alors tranquillement suivre. Le retrait des forces militaires russes de la région de Kharkov coûte ainsi très cher à cette zone frontalière. Des forces de défense territoriales, mises en place parmi les habitants et sur leur propre initiative s'accélèrent, avec l'aide du Gouverneur. "Nous ne laisserons pas notre terre!", tel est leur motivation. 

Car, au-delà du discours moscovite confortable de la douce Opération à peine militaire très spéciale, la réalité s'impose dans une toute autre dimension, celle de la guerre. Certes, inconfortable.

"Nous vivons de facto dans des conditions de guerre. Que cela plaise à certains ou déplaise, elle se déroule. L'ennemi entre, cinq groupes de sabotages sont entrés avant les derniers événements à Grayvoron."

Nier la réalité ne l'a jamais empêchée d'exister, cela empêche simplement d'y faire face de manière adéquate. 

MACHINE A LAVER

 Ursula Von der Leyen et son mari, Heiko Von der Leyen, peuvent désormais dormir sur leurs deux oreilles.


En effet, en octobre 2022, Lecourrier-du-soir.com, en se basant des sources italiennes fiables, avait révélé que le laboratoire Orgenesis, dont le mari d’Ursula Von Der Leyen est l’un des PDG, avait été choisi dans un projet de 320 millions d’euros financé par l’Union Européenne et destiné au centre de thérapie génique de l’université de Padoue pour le développement de la technologie ARN Messenger.


Jusqu’ici tout va bien. Mais, il y a un couac. Et le problème est que que le mari de Von Der Leyen, Heiko Von Der Leyen, est membre du conseil de surveillance dudit centre, ce qui laisse penser qu’il y a un gros risque de conflit d’intérêts. Un scandale qui a déclenché l’immense courroux des euro-députés ces derniers mois.


D’ailleurs, en décembre dernier, un groupe de huit euro-députés avaient brisé le silence exigeant une enquête sur les activités d’Heiko Von Der Leyen. En effet, ce 16 décembre, dans une lettre adressée à l’UE, les députés avaient fait part de leur préoccupation concernant les activités d’Heiko dont le labo a bénéficié d’un financement de 320 millions d’euros de la part de la Commission Européenne dirigée par sa femme.


Et une semaine après la publication de cette lettre par l’eurodéputée Michelle Rivasi sur son compte Twitter, la réponse de l’UE ne s’est pas fait attendre comme l’a révélé le média italien EUNews.it. A en croire cette source, les activités douteuses de l’époux de Von Der Leyen ont été, pour la première fois, soulevées au Parlement Européen par les députés européens.


Ainsi, face à ses camarades, la députée Rosa D’Amato, membre du groupe Les Verts, n’a pas voulu tourner autour du pot. Evoquant les financements dont a bénéficié le mari de Von Der Leyen, elle pose la question suivante : « la Commission peut-elle préciser si elle croit qu’il y a un potentiel conflit d’intérêts impliquant la présidente Ursula Von Der Leyen? ».


D’après le média italien, l’affaire n’a non plus pas laissé indifférents les autres groupes parlementaires, dont les Conservateurs du parti ECR (Parti des Conservateurs et Réformistes Européens) et les souverainistes qui n’ont pas manqué de souligner les liens très étroits qui existent entre le labo Orgenesis et les grands groupes pharmaceutiques, dont Pfizer. Ainsi, après avoir longuement retracé ces liens, les conservateurs et souverainistes ont posé la question suivante : « comment la Commission Européenne envisage-t-elle de résoudre ce grave conflit d’intérêts? ».


Hélas, finalement, il n’arrivera rien au couple Leyen. Car, le 10 mars, le média Politico nous a appris l’existence d’une lettre rédigée par Věra Jourová, vice-présidente de la Commission Européenne chargée des Valeurs et de la Transparence. A en croire la source, Jourová ne voit aucun conflit d’intérêts dans le fait que le mari de Von der Leyen travaille dans une entreprise qui a touché de l’argent de l’UE.


« L’entreprise Orgenesis et le professeur Heiko Von der Leyen ont déclaré qu’il (Heiko, ndlr) n’avaient pas été impliqués dans l’octroi de ce financement ni dans les procédures ayant permis sa réalisation. En conséquence, un conflit d’intérêts de la Présidente (Ursula Von der Leyen, ndlr) peut être exclu pour ces raisons », souligne la lettre qui clôt ainsi un débat qui a attisé, ces derniers mois, de vives tensions au sein de l’Union Européenne.

https://lecourrier-du-soir.com/scandale-a-bruxelles-la-commission-europeenne-blanchit-le-mari-de-von-der-leyen-qui-a-touche-320-millions-de-lue/

REVISIONNISME

 Éric Piolle propose de les remplacer par des fêtes laïques liées à la République, à l'abolition de l'esclavage ou aux droits des personnes LGBT.

Les propos du maire de Grenoble Éric Piolle ont fait réagir fortement. Sur le réseau social Twitter, l'édile grenoblois a d'abord proposé de supprimer les jours fériés religieux afin de «rendre le calendrier plus pluraliste». Invité par la suite sur BFMTV ce lundi, l'élu EELV a détaillé sa proposition, en plaidant pour la possibilité de choisir ses jours fériés «en fonction des convictions spirituelles».


https://www.lefigaro.fr/actualite-france/le-maire-eelv-de-grenoble-reclame-la-suppression-des-jours-feries-religieux-20230530

A L'ARRET ?

 Crise immobilière

 Une enquête consacrée à la crise du logement a commencé pour une semaine. Entre autres, les difficultés à acheter et à vendre se font sentir. Pourquoi ce secteur sombre-t-il dans une crise majeure ? Tout le secteur de l'immobilier est en crise, et souffre de la hausse des taux d'intérêts.

https://www.bfmtv.com/economie/patrimoine/immobilier/faillites-d-agences-de-promoteurs-et-de-constructeurs-les-chiffres-inquietants-de-la-crise-immobiliere_VN-202305290424.html

FUITE EN AVANT

 Source Insolentiae

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Le pire n’aura pas lieu, et objectivement, les Républicains, enfin le « Speaker » républicain Kevin McCarthy s’est plutôt écrasé et l’accord auquel ils sont arrivés de manière théorique entre McCarthy et Biden penche sans conteste pour une victoire presque par KO de la Maison-Blanche.

En effet, le plafond de la dette n’est pas relevé de quelques dizaines de milliards, ou même de quelques centaines.

Non.

Il est tout simplement supprimé.

Que dis-je, il est suspendu.

C’est un mode « no limit » qui est désormais possible pour la Maison-Blanche.. jusqu’en 2025.

Tout cela reste un accord provisoire dans la mesure où il doit être validé par les représentants à la Chambre mais il s’est passé quelque chose aux Etats-Unis.

Quand on regarde en détail l’accord prévu, il ne se passe globalement rien. Les dépenses sociales ne sont pas coupées, pas plus que les dépenses environnementales, disons simplement qu’ils se sont mis d’accord pour construire plus d’éoliennes et également plus de puits de pétrole ! Mais là encore ce n’est pas l’important. Pas plus que le fait de cesser de dépenser les fonds « Covid » n’est significatif d’un point de vue économique.

Passons donc à l’essentiel que cet accord ne dit pas.

Ne vous dit pas.

Et que personne n’a relevé.

Mais pourquoi passer en mode « no limit » et plus de plafond jusqu’en 2025 ?

Pourquoi ?

Pourquoi ne pas rajouter une limite de 2000 milliards, allez, soyons fous, la dette actuelle est de plus de 31 000 milliards de dollars, on aurait même pu rajouter 5 000 milliards de dollars pour se donner du mou.

Ici, c’est sans limite.

Le plafond n’existe plus pour les deux prochaines années ?

Pourquoi ?

Certainement pas à cause de l’inflation puisqu’il faut au contraire la « casser » avec la hausse des taux et la raréfaction de l’argent disponible.

Si vous analysez attentivement la situation, il n’y a qu’un seul cas de figure qui nécessite la suspension du plafond de la dette.

L’économie de guerre.

La question qui se pose après cette décision est celle-ci.

Les Etats-Unis vont-ils devoir mobiliser l’ensemble de leurs moyens pour affronter la Russie et la Chine simultanément, dans une confrontation armée, ou dans une démondialisation forcée, peu importe ?

Cette suspension de plafond de la dette n’est à mon sens pas une bonne nouvelle, car cela est un signal faible porteur de grandes menaces.

Bref,

Quand le plafond de la dette est déplafonné… cela indique que l’on va se faire s’emplafonner !

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

mardi 30 mai 2023

BOUFFER A TOUT LES RATELIERS

 La communauté "religieuse" musulmane appréciera !


LA DESINFORMATION

 


TENSIONS

 

LE FASCISME GRIS

 

Le “fascisme gris”, devant la défaite géopolitique annoncée, va-t-il se radicaliser?


Je reprends et j’approfondis la notion de “fascisme gris”, qui me semble la plus opératoire pour comprendre le moment occidental que nous vivons. Nous devons approfondir tout ce qui a été dit à propos du “Great Reset”. Ce dernier reposait – en tout cas dans la tête de Klaus Schwab – sur la coopération entre le système occidental et le système chinois. A partir du moment où l’Occident fait de la Chine de Xi Jinping son ennemie, il devient plus facile d’isoler les caractéristiques du système occidental progressiste en phase terminale, en particulier pour en anticiper les raidissements et les derniers spasmes, qui ne manqueront pas d’être très dangereux pour nos sociétés.
  Juste après la mise en place du “passe sanitaire” par Emmanuel Macron à l’été 2021, j’avais proposé de désigner le régime occidental actuellement dominant en Occident comme “fascisme gris“. 

Le “fascisme gris”: définition

J’appelle “fascisme gris” le système de pouvoir qui se met en place dans les pays occidentaux et dont Emmanuel Macron est devenu le visage en France. Ce système politique est l’expression totalitaire du progressisme occidental entré en phase terminale.

Ce néo-fascisme est gris parce qu’il veille à rester indéfinissable, en termes de régimes politiques, nie son essence dictatoriale et conserve autant que possible, les apparences de la démocratie. Mais c’est l’une des caractéristiques du fascisme – sa grande différence avec le communisme – que de vouloir apparaître “présentable”, sauver les apparences. 

Le capitalisme de connivence et son système monétaire

Comme le fascisme historique, le système qui se met en place est fondé sur l’alliance entre les grandes entreprises, les grandes fortunes, la haute fonction publique, les élites culturelles, politiques, militaires, les grands médias, pour confisquer le pouvoir à leur profit.

Le “fascisme gris” est une version avancée du capitalisme de connivence. Mais sa lignée est bien identifiable. Dans L’Aigle et le Léopard, récemment paru, Eric Branca rappelle de manière opportune comment la finance britannique et américaine a largement financé le fascisme italien et le national-socialisme en ascension. Dans Liberal Fascism, Jonathan Goldberg montre comment le progressisme américain, largement inventé par Wilson et progressivement mis en place par le parti démocrate américain tout au long du XXè siècle, est, dans sa rhétorique, dans ses références économiques, dans ses manipulations monétaires, un cousin du fascisme.

Joël Kotkin a raison de souligner ce qui le différencie du néo-maoïsme de Xi Jingping. En Chine, l’Etat est aux commandes, en Occident ce sont de très grandes entreprises qui donnent le la. Mais il faut aller plus loin. Le fascisme a toujours détesté l’étalon-or et l’idée d’un système monétaire non manipulable. Du banquier de Hitler, Hjalmar Schacht aux banquiers centraux d’aujourd’hui, il y a la mise en place d’un système intégral de “fiat currency”, destiné à permettre toutes les manipulations. Ce n’est pas un hasard si la Banque des Règlements Internationaux, créée pour escamoter la question des réparations allemandes, est devenue aujourd’hui la clé de voûte du fascisme monétaire abouti: le système de l’étalon-dollar. 

Capitalisme de surveillance

Fondé sur le potentiel de contrôle maximal des outils numériques, le “fascisme gris” repose sur ce que Shoshana Zuboff appelle capitalisme de surveillance. En réalité, contrairement à la thèse marxiste, le fascisme a toujours aspiré à utiliser le capitalisme comme un instrument de contrôle social.

Le fascisme historique s’est construit sur la montée en puissance des technocrates. Bruno Rizzi, qui avait fui l’Italie fasciste puis James Burnham, auteur du livre bien connu, The Managerial Revolution, ont dressé le portrait, dès les années 1930, d’une “bureaucratisation du monde”. La grande entreprise est depuis longtemps le lieu d’une surveillance de ses employés. Elle est devenue aujourd’hui, l’un des lieux d’embrigadement idéologique (woke) les plus marqués.

Le capitalisme de connivence et de surveillance est à la pointe de la fabrication et de la diffusion d’outils de contrôle des citoyens et des sociétés. Il est moteur dans la mise en place d’une censure de la liberté d’expression. 

Malthusianisme, contrôle des naissances, eugénisme, contrôle sanitaire, écologie punitive, anti-spécisme

Le “fascisme gris” est fondé, comme le nazisme, sur une ambition prométhéenne de contrôle de la démographie – transposée à l’échelle mondiale. Ses penseurs analysent les défis environnementaux selon les termes d’une version à pleine modernisée de “l’espace vital”. A cela, rien d’étonnant. Le malthusianisme est une invention britannique. Le social-darwinisme, l’eugénisme ont conquis l’espace anglophone et scandinave avant même que l’Allemagne nazie ne les portent au gouvernement.

Après 1945, on n’a pas vraiment dénazifié les mentalités anglo-américaines de ce point de vue! L’obsession de la surpopulation de populations considérées comme sous-éduquées a été un moteur puissant pour répandre ce que le pape Jean-Paul II appelait une “culture de mort”. On lira à ce propos les livres du Père Michel Schhooyans qui révélait, dès les années 1980 combien, derrière le discours d’émancipation des femmes du monde entier grâce à la contraception et à l’avortement, le gouvernement américain et l’ONU poursuivaient une politique d’extinction d’une partie de la population mondiale.

Pour mieux comprendre la manière dont le nazisme a porté au pouvoir un mélange explosif d’écologie, d’antispécisme, d’eugénisme et de contrôle social par une médecine instrumentalisée, on lira les enquêtes stimulantes de Mikko Paunio.

Ici même, Jean Goychman, a publié plusieurs article sur la naissance de l’écologie punitive moderne, sous l’impulsion de la Fondation Rockefeller et des architectes de la finance occidentale, pour insuffler la peur à la population du monde après la fin de la Guerre froide et poser les bases d’un gouvernement mondial.

Nous proposons, depuis plus de deux ans un décryptage des politiques sanitaires mondiales comme politiques de contrôle, qui doivent servir elles aussi, à l’établissement d’un gouvernement mondial. Le cas de la vaccination contre le COVID, en Occident, est intéressant dans la mesure où la constellation Big Pharma/gouvernements/organisations internationales exprime bien la réalité du “fascisme gris”.

Le “fascisme gris” a sa dystopie, comme le nazisme. La planète doit être aménagée pour une minorité de “seigneurs” ayant accès aux technologies du transhumanisme pour acquérir l’immortalité tandis que le reste de la population doit être soumis au contrôle des naissances et à des logiques mortifères de décroissance. Si l’on pense que j’exagère, j’ai entendu de mes propres oreilles Jeffrey Sachs expliquer dans un cadre universitaire que la terre se porterait mieux avec 250 ou 300 millions d’humains seulement. 

La théâtralisation de la guerre, le dépassement de la nation et l’épouvantail “d’extrême-droite”

Plus proche, cette fois, du modèle mussolinien que de la référence hitlérienne, le “fascisme gris” met en scène des guerres “théâtrales” – qu’il a d’ailleurs autant de mal à gagner que l’Italie des années 1930, comme le montre le fiasco afghan, déjà acté ou, celui, encore nié par les médias, de la guerre d’Ukraine.

A première vue, le “fascisme gris” a pris ses distances avec le culte de la guerre qui caractérisait les années 1920 et 1930 en Allemagne et en Italie. En réalité, on ne comprend pas le fascisme italien, ni même son homologue allemand, si l’on fait abstraction d’un décalage très important entre l’exaltation verbale de la guerre et l’adulation des populations pour leurs dictateurs tant qu’ils gagnaient leurs batailles diplomatiques sans avoir besoin de faire la guerre.

Le “fascisme gris” nous offre d’ailleurs un cas d’école: l’exaltation par procuration du nationalisme ukrainien, qui vit en grande partie du culte de la guerre et a laissé prospéré les bataillons néo-fascistes en son sein. Les fascismes n’exaltaient leur nation que pour mieux la dépasser: dans un nouvel “empire romain” ou dans la fusion des races nordiques. Aujourd’hui, nous avons une situation qui n’est aberrante qu’en apparence, si l’on ne connaît pas la véritable histoire du fascisme; les Européens d’aujourd’hui exaltent Zelensky à la manière dont les Italiens fêtaient Mussolini; tant que la guerre restait loin ou objet de discours.

Le “fascisme gris” est allé au bout de la mutation entamée après 1945; de nationaliste, il est devenu internationaliste; de raciste il est devenu antiraciste. Ses milices se disent “antifa” mais dès qu’on les laisse faire elles emploient une violence de rue stratégiquement pensée au service du pouvoir débouchant immanquablement sur un désir d’ordre dans les populations – selon une mécanique dont Mussolini l’ancien homme d’extrême gauche, avait expérimenté le succès.

Le “fascisme gris” est même allé plus loin: il dénonce en permanence “l’extrême-droite”. Il rejette de manière démonstrative et théâtrale tout ce qui caractérise l’échec et les crimes du fascisme historique. Mais c’est pour mieux dissimuler que la plus grande partie du fascisme a survécu, au cœur du monde occidental, en se métamorphosant. 

La construction européenne

John Laughland, et bien d’autres auteurs depuis son ouvrage fondamental de 1997, The Tainted Source, que j’ai traduit en français au début des années 2000, sous le titre La liberté des nations, ont montré l’importance qu’eut pour le fascisme italien ou allemand, la perspective d’une unification de l’Europe qui dépasse les nations!

Beaucoup de fascistes, de nazis, de collaborateurs, se sont recyclés plus facilement, après 1945, non seulement grâce à la Guerre froide et l’anticommunisme mais aussi grâce à l’exaltation d’une technocratie européenne permettant de dépasser les nations, selon un modèle pensé en pleine guerre et dans la collaboration.

On ne comprend pas l’absence de démocratie dans la construction européenne si on ne voit pas cette filiation (partielle) venue du fascisme. 

Le fascisme de populations vieillissantes.

Le néo-fascisme qui s’est emparé de nos sociétés est gris comme le “pouvoir gris“, le vote des classes âgées, dont il a tiré à l’origine sa puissance électorale. Il s’est imposé dans des populations vieillissantes, en flattant le désir de stabilité de la rente et de monnaie forte, aux dépens de l’investissement, de l’éducation et des jeunes générations.

A l’abri de ce qu’il a pensé être, pendant longtemps, une machine militaire inexpugnable, le fascisme gris a prétendu imposer son système au monde entier. Sa monnaie et ses “valeurs”. Pendant longtemps, il a d’ailleurs bombardé de petits pays qui refusaient soit ses “valeurs”, soit sa monnaie; le dollar.

Une des caractéristiques du “fascisme gris” est que beaucoup des valeurs qu’il entend imposer tournent autour de sexualités “post-modernes”. L’idéologie du genre repose sur un transfert du volontarisme fasciste de la collectivité à l’individu. Mais il s’agit toujours de se créer une “identité”. Il est d’ailleurs fascinant de voir des drapeaux ukrainiens lors des gay prides. Le “Make Love Not War” de 1968 a laissé la place au fantasme sur la guerre comme un “aphrodisiaque”. J’avais identifié ce transfert, en compagnie de Michel Terestchenko lorsque, dans Les Complaisantes, nous avions analysé le succès (malsain) du (très mauvais) roman de Jonathan Littel, Les Bienveillantes.

Plus récemment, le “fascisme gris” a exprimé son identité dans “cinquante nuances de gris” livre et film culte de classes moyennes supérieures fascinées par le sado-masochisme. Christian Grey est le symbole archétypique de l’élite mondialiste et le contrat qui le lie à la jeune Anastasia Steele – un contrat sans cesse remise en cause et reformulé par le renforcement de la pulsion dominatrice de Grey – est le symbole parfait de la manière dont les élites mondialistes et leurs soutiens “bobos” conçoivent le gouvernement des peuples. Le passe sanitaire en est une transposition au domaine de la santé. 

Vers une radicalisation du “fascisme gris”?

Le grand problème des débats sur le basculement de régime que nous vivons, c’est qu’on n’a pas en tête la modernité du fascisme – comparé au communisme – largement fondé sur la coopération volontaire des administrés aux politiques de coercition et la sélection d’une élite complice dont on flatte les pulsions individualistes au service de la cause. Tout ce que nous a appris la réflexion sur le totalitarisme, depuis presque un siècle, c’est que ce dernier est d’autant plus efficace qu’il est indirect et se vêt des atours de la liberté.

La question se pose, malgré tout, d’une radicalisation, dans les mois à venir, du “fascisme gris”. L’inéluctable défaite dans la “guerre menée jusqu’au dernier Ukrainien” et le basculement géopolitique du monde – l’Amérique latine, l’Afrique, la plus grande partie de l’Asie rejettent la manière typiquement fasciste dont l’Occident gère les relations internationales: reniement de la parole donnée, incapacité de respecter les frontières reconnues par les traités, recours à la guerre dès que l’on n’obtient pas ce qu’on veut….. Comme je le montre dans mes chroniques géopolitiques, la partie est perdue pour l’Occident.

Du coup, ce dernier va-t-il être tenté de compenser sa défaite extérieure par une radicalisation au sein des sociétés qu’il domine?

La dédollarisation en cours du monde débouche-t-elle inévitablement sur le dollar et l’euro numérique conçus comme des instruments de renforcement du capitalisme de connivence et de surveillance? Va-t-on aboutir, du fait de l’échec des sanctions contre l’Ukraine, à une concentration toujours plus forte du capital occidental? Est-on condamné à une militarisation croissante de l’économie – ce qui d’ailleurs ramènerait le danger de guerre ?

Le passe carbone, l’hystérisation croissante du discours sur l’écologie, la mise en scène d’une nouvelle pandémie. Tout est envisageable, dans les prochains mois. Attendons-nous à une censure renforcée, à une surveillance renforcée des individus, à la fuite en avant dans les lois dites sociétales. Elle risque d’être d’autant plus frénétique que l’establishment perd la main.

Il est probable, en particulier, que le cœur du “fascisme gris”, aux États-Unis fera tout pour empêcher un retour de Donald Trump à la Maison Blanche. Mais attendons-nous aussi à un renforcement de la fuite en avant des hauts fonctionnaires européens dans une fédéralisation des institutions. Et, en France, à la multiplication des entorses à la constitution par le régime Macron.

Cependant, quand nous savons nommer l’adversaire, il est plus facile de le combattre. 
 
Source : https://lecourrierdesstrateges.fr/2023/05/29/le-fascisme-gris-devant-la-defaite-geopolitique-annoncee-va-t-il-se-radicaliser/

BLUFF OU PLAN ?

 L'OMS nous préviens. Une prochaine pandémie arrive et sera plus mortelle ! ! ! 

https://lemediaen442.fr/florian-philippot-mysterieuse-maladie-x-que-mijote-vraiment-loms/



TEMOIGNAGE

 

Les 10 points clés très inquiétants du témoignage sur l’I.A de Sam Altman, PDG d’OpenAI, devant le Congrès américain.

Dans cette vidéo, Rudy io, expert dans le marketing digital, discute des principaux points du témoignage de Sam Altman, PDG d'OpenAI, devant le Congrès américain sur l'intelligence artificielle (IA).

Les sujets abordés comprennent la conscience de soi dans les IA, les seuils de capacité de GPT-5, les applications potentielles dans le domaine militaire, et les pertes d’emplois potentielles en raison de l’avènement de ces technologies. Altman émet des recommandations de sécurité pour le contrôle des IA, comme la création d’une agence de surveillance gouvernementale dédiée aux IA, l’établissement de drapeaux rouges basés sur la vitesse de calcul et d’autres facteurs, et l’obligation pour les entreprises de faire auditer leurs IA par des experts externes.

Le Média en 4-4-2.

DENI DE DEMOCRATIE

 

Abrogation de la réforme des retraites : l'exécutif veut empêcher le vote

CHATOUILLER LA MOUSTACHE

 Face-à-face aérien : La Russie et les États-Unis se provoquent en mer Baltique

Plusieurs incidents au cours des dernières semaines entre la Russie et les États-Unis

La Russie a annoncé jeudi qu’elle avait fait décoller des avions de combat pour intercepter deux bombardiers stratégiques américains en approche, afin de les empêcher de « violer la frontière de l’État » au-dessus de la mer Baltique.

Il s’agit du deuxième incident d’interception dangereuse de ce type en l’espace de trois jours seulement.

Si de tels incidents au-dessus des mers Noire et Baltique ne sont pas rares, il est inhabituel que plus d’une rencontre soit signalée en l’espace de quelques jours seulement, ce qui suggère que les deux superpuissances se heurtent de plus en plus l’une à l’autre dans la région, dans le contexte imprévisible de la guerre en Ukraine.

L’armée russe a indiqué qu’un avion de combat Su-27 et un Su-35 avaient été déployés après avoir identifié « les cibles aériennes comme étant deux bombardiers stratégiques B-1B de l’armée de l’air américaine ».

Image RBTH.com/La vitesse maximale du Su-35S atteint 2.400 km/h. Source : sukhoi.org

« La violation de la frontière nationale a été évitée »a déclaré le ministère de la défense.

« Les jets russes sont retournés en toute sécurité à leur base aérienne. »

« Le vol d’interception a été effectué en stricte conformité avec les règles internationales d’utilisation de l’espace aérien. ».

– Barron’s

Outre les interceptions d’avions américains de cette semaine, d’autres avions occidentaux, notamment des avions de surveillance français et allemands, ont été suivis par des avions russes au cours des dernières semaines.

Mardi, un incident similaire s’est produit, impliquant également deux bombardiers américains.

Le Pentagone a toutefois minimisé l’importance de l’incident, estimant qu’il n’avait « rien de significatif ».

Le centre de contrôle de la défense nationale de la Fédération de Russie a décrit l’incident de mardi comme suit :

« L’équipage du chasseur russe a identifié les cibles aériennes comme étant deux bombardiers stratégiques B-1B de l’US Air Force et a occupé la zone de surveillance aérienne établie. »

Le secrétaire de presse du Pentagone, le général de brigade Pat Ryder, l’a également confirmé :

« Je crois comprendre qu’il s’agissait d’une interaction sûre et professionnelle avec les avions russes. Il n’y a donc rien d’important à signaler à ce sujet », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse.

Les États-Unis pourraient recommencer à sonder le périmètre de défense aérienne de la Russie à la suite d’un incident survenu à la mi-mars, au cours duquel un drone américain MQ-9 s’est écrasé en mer Noire.

Vidéo de l’incident survenu à la mi-mars :

Traduction :
L’armée américaine publie une vidéo déclassifiée spectaculaire prise par un drone MQ-9 Reaper qui montre le moment où un avion de chasse russe Su-27 est entré en collision avec le drone après avoir tenté de l’asperger de kérosène.

Le ministère américain de la défense a ensuite publié une courte vidéo montrant un avion de chasse russe effectuant une manœuvre dangereuse tout en déversant du kérosène sur le drone, l’endommageant et provoquant finalement son écrasement.

Les États-Unis ont déclaré qu’ils allaient temporairement réduire le nombre de leurs patrouilles aériennes près des frontières russes.

Visionnez notre entretien avec Jacques Cheminade, ex-candidat aux Présidentielles et Président du parti Solidarité et Progrès, qui nous explique comment Macron et son gouvernement aux ordres de l’OTAN et des États-Unis, nous emmène vers la 3e guerre mondiale :

Source: Zero Hedge

Géopolitique-Profonde