On le sait, désormais le narratif de certains politiciens tentent d'aller dans les oreilles de ces français pas forcément cultivés, informés, renseignés, pour les convaincre de vérités qui n'en sont pas. Faire des liens, des raccourcis, occulter des détails de l'histoire pour simplifier, remodeler l'opinion dans un sens plutôt que dans un autre. Alors forcément, lorsqu'une première ministre s'accorde a convaincre que le RN est un héritage de l'époque pétainiste pour justifier l'image noire et nauséabonde de ce parti d'extrême droite, ça en devient absurde. D'autant plus absurde que ceux qui sont cultivés s'efforce d'explique ce qu'a toujours été le FN/RN. Un antagonisme fabriquer et fantoche qui servira dés 1973 la focalisation des politiciens de tout bord, a montrer du doigt constamment l'ennemi de la république, pour justifier que l'opinion doit accepter de lutter contre lui, et ne pas s'intéresser a ce qu'ils ont fait pendant ce temps : vous voler votre souveraineté et votre république.
Un parti «héritier de Pétain» : le RN réagit vivement aux propos d'Élisabeth Borne à son sujet
Le président du Rassemblement national Jordan Bardella a dénoncé des propos «mensongers et injurieux» de la première ministre ; Marine Le Pen les qualifie d'«infâmes et indignes».
Le président du Rassemblement national Jordan Bardella a dénoncé dimanche les «propos graves, mensongers et injurieux» tenus à ses yeux par Élisabeth Borne, qui a estimé que le parti était «héritier de Pétain» . «En tenant des propos aussi graves, mensongers et injurieux, Élisabeth Borne insulte le premier parti d'opposition et salit les millions de Français qui votent pour le RN», a-t-il tempêté sur Twitter. «Ce gouvernement est prêt à toutes les indécences pour faire oublier son bilan : personne ne sera dupe», a-t-il ajouté. Marine Le Pen a quant à elle évoqué des propos «infâmes et indignes».
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