jeudi 31 juillet 2025
L'ELECTRONIQUE PANIQUE
C'EST PAS FAUX....
🇷🇺 ÉRUPTION DANS LE KAMTCHAMKA.
— Pascal Laurent (@Pascal_Laurent_) July 31, 2025
Dans l'est de la Russie, suite au tremblement de terre de 8.8 sur l'échelle de Richter, le volcan Klyuchevskoï est entré en éruption.
Sans faire de l'alarmisme, il convient de noter une augmentation des événements sismiques et volcaniques dans la… pic.twitter.com/J89VrHIQja
DELIRE
Vent debout, les wokistes ultra féministe et non binaire américains qui trouvent cette publicité de la marque de jean American Eagle "raciste".
mercredi 30 juillet 2025
DECONNECTION
Enfin la réaction de Macron au deal américano européen.... on est pas déçu, c'est tout autant lunaire que démonstratif de la déconnection grandissante du président français de l'échiquier international.
CULTIVER LA HAINE
Une étudiante gazaouie admise à Sciences Po Lille y appelle à l’extermination des Juifs, félicite Hitler, et rêve d’une France « sans descendance juive ».
Les discours de haine antisémite tenus par cette étudiante donnent évidemment le vertige aux pro palestinien tant ils tentent de cacher le fait que la dualité antisémite et islamophobe dans les deux camps augmentent de plus en plus.TREMBLEMENT DE TERRE
Un tremblement de terre en Russie dans les environs de Kamchatka, d'une magnitude 8.8 avec alerte au tsunami.
Alerte au tsunami également déclenchée au Japon, Hawaï et la cote ouest du continent nord américaine.
mardi 29 juillet 2025
CE N'EST PLUS DE LA SF
Les tracteurs autonomes pilotés par Intelligence Artificielle vont révolutionner l’Agriculture
— Docteur Laurent Alexandre (@dr_l_alexandre) July 29, 2025
La Chine est leader
L’Europe va prendre 20 ans de retard
Une fois de plus pic.twitter.com/sV1AIzNAHV
UN PETIT TRUC EN PLUS
Il y a des moments ou la nature se rappelle a vous....
Charlotte Cardin a-t-elle un petit truc en plus pour réussir et percer réellement ? 🤷🏻♂️😂 pic.twitter.com/VZUokYc74d
— 🇫🇷🇫🇷🇫🇷.fan rob.🇫🇷🇫🇷🇫🇷 (@fanrob1982) July 29, 2025
CA PIQUE
« Si tu veux ruiner ta réputation, frotte-toi à Candace ! » disait un rappeur US. Candace démonte Éric Dupond-Moretti !
Candace dément d'abord les allégations de Dupond-Moretti sur son amitié avec les Le Pen. Elle précise qu'en 2018, elle soutenait Marine Le Pen, en tant que conservatrice, rien de plus.
Candace lâche sa première bombe : l’affaire Denis Mannechez, ingénieur d’Amiens (décidément!), accusé d’avoir mis sa fille enceinte trois fois. Défendu par Dupond-Moretti, qui l’a fait libérer en plaidant un prétendu « inceste heureux ». Curieux, non ?
Lisez ce que dit Wikipédia de cette affaire. Oui Denis Mannechez a pu vivre en couple avec sa fille et a même eu un enfant avec elle! Ceci se passe en France! La suite est que Denis Mannechez a fini par tuer sa fille en 2014!
Candace souligne que la deuxième fille de Denis Mannechez, victime de viol et d’inceste, a écrit un livre pour dénoncer la nomination de Dupond-Moretti comme ministre de la Justice sous Macron. Le livre s'intitule: ce n'était pas de l'amour.
Cette affaire connu dans les cercles français est maintenant exposée aux yeux du monde entier, du Japon jusqu'aux Etats-Unis.lundi 28 juillet 2025
FAITES GAFFE AU R.S.
« Ce matin, j'ai reçu un SMS de mon patron qui disait : « Salut, j'ai besoin de te parler. » J'ai eu un pincement au cœur. Quelques minutes plus tard, il m'a envoyé des captures d'écran montrant que Facebook avait signalé l'une de mes publications concernant le Dr Moore et la COVID… et que leur système d'IA l'avait contacté pour lui demander si ma publication correspondait à ses valeurs.
Oui, un algorithme a essayé d’entraîner mon patron dans une « évaluation morale » de ma publication personnelle sur Facebook.
Réfléchissez bien : l'IA, ni une personne réelle ni un modérateur humain, a décidé que mon contenu était suffisamment controversé pour alerter mon employeur et déclencher une vérification de ses valeurs. Voilà où nous en sommes.
Heureusement, j'ai un patron formidable qui a immédiatement mis fin à la discussion avec deux réponses cinglantes défendant mon droit de parole. Mais qu'une IA soit désormais programmée pour impliquer votre entreprise dans des conflits de contenu ? Cela devrait terrifier tout le monde. »
This morning, I got a text from my boss that said, “Hey, I need to talk to you.” Instantly, my stomach dropped. A few minutes later, he sent me screenshots Facebook had flagged one of my posts about Dr. Moore and COVID… and their AI system actually reached out to him to ask if…
— Smokahontas (@Smokahontas2024) July 28, 2025
PLUS D'EUROPE
Les fédéralistes européens (ceux qui veulent une entité supranationale) montrent le fait que ce manque de fédéralisme a provoquer n'inacceptable. Ils ne perdent pas le nord pour vous vendre la fin de votre souveraineté.
The EU just accepted a trade deal where the US imposes 15% tariffs on most EU goods, keeps 50% on steel and aluminium — while Europe commits to buying $750B in US gas and investing $600B in the US.
— European Federalists (@federalists) July 27, 2025
This isn’t a deal.
It’s the cost of not being a federal Europe. pic.twitter.com/ONXKtwV3O8
ET COMMENT CE FAIRE ENCULER
Quand des souverainistes européens viennent de comprendre que les règles économiques font une réalité autrement que les délires et fantasmes européistes maîtres du monde.
🇪🇺🇺🇸 Ursula a négocié de toutes ses forces le nouvel accord commercial USA-UE:
— Le Réveil d'Atlas (@lereveildatlas) July 27, 2025
Douanes : nous payons 15 %, eux 0 %
Gaz : nous achetons 2x plus cher qu'aux Russes
Investissements : l'UE investit $600 mds, les USA $0
Armes : nous achetons chez eux, eux n'achètent pas chez nous. pic.twitter.com/wfMG5NXSeC
D’après les premiers éléments, il s’agit d’une capitulation totale de la part d’Ursula von der Leyen.
— Charles-Henri Gallois 🇫🇷 (@CH_Gallois) July 27, 2025
❌ 15 % de droits de douane pour les produits européens exportés aux États-Unis.
❌ L'UE s'est engagée à 750 milliards de dollars d'achats d'énergie et à 600 milliards… https://t.co/WCEEBgjBuC
1⃣Quand la présidente de l'Union européenne capitule face aux Etats-Unis de Trump👇
— Aurélie Trouvé (@TrouveAurelie) July 27, 2025
Cet accord est une humiliation, une soumission. Il détruira notre souveraineté énergétique, économique, militaire. Et le climat
La France doit le dénoncer et le bloquer ! Il en va de notre avenir pic.twitter.com/NVz71eVYF5
Nous sommes des abrutis ! Cette @vonderleyen est une nulle ! Sa négociation pour sauver l’industrie allemande est le signe de l’échec de la construction européenne ! Ou est la France et comment laisser à une greluche corrompue @vonderleyen le soin de négocier pour la France ? https://t.co/b2JveOoerW
— Yves Pozzo di Borgo (@YvesPDB) July 27, 2025
Et même celle qui, lors de la reconduction de Von Der Leyen, lui a fait la bise et l'accolade....
Allez-vous censurer la commission Von der Leyen comme nous le proposons avec notre groupe @Left_EU ou les socialistes européens vont-ils continuer à soutenir aveuglément cette commission qui nous vassalise (et que vous avez élue) ?
— Manon Aubry (@ManonAubryFr) July 28, 2025
Parler est une chose. Agir en est une autre. https://t.co/r7g08Sqj4X
dimanche 27 juillet 2025
DANS LE CUL
Tous les véhéments et rageux contre Trump dans l'UE, viennent de se la faire mettre bien profond....
Droits de douane: l'Union européenne et les États-Unis ont conclu un accord commercial
Le président américain Donald Trump et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen ont trouvé un accord commercial ce dimanche 27 juillet. L'accord établit un tarif de 15% sur les produits européens importés aux États-Unis.
VIRAL
Depuis que South Park a été retiré de toutes les plateformes étrangères en dehors des USA, les auteurs ont décidé de provoquer le destin du litige juridique en poussant encore plus loin le curseur. Un épisode récemment diffusé met en vedette (si l'on puis dire) Donald Trump qui, évidemment, n'y est pas a son avantage. L'épisode est devenu tellement viral aux USA, que des artistes en ont fait une fresque sur un mur à Los Angeles.
samedi 26 juillet 2025
CENSURE
Les États-Unis dénoncent la censure en France sous le slogan de la liberté.
Par Pierre Duval

Le département d’État des États-Unis critique ouvertement la France pour son slogan «En Europe, chacun est libre de s’exprimer, pas de diffuser des contenus illégaux». La plus grande démocratie du monde s’inquiète du virage amorcé en Europe sur le droit de dire ou de publier ce que les habitants du pays souhaitent.
La France épinglée par les États-Unis. Ce n’est pas seulement un média US qui dénonce le manque de liberté de parler et de publier librement, mais c’est directement le département d’État des États-Unis avec à sa tête Marco Rubio qui intervient en public sur X pour dénoncer la décision de la France et de l’UE de promouvoir le slogan: «En Europe, chacun est libre de s’exprimer, pas de diffuser des contenus illégaux».
«En Europe, des milliers de personnes sont condamnées pour avoir critiqué leur propre gouvernement. Ce message orwellien ne trompera pas les États-Unis. La censure n’est pas synonyme de liberté», a publié sur son compte X le département d’État des États-Unis en republiant le message de la France: «En Europe, chacun est libre de s’exprimer, pas de diffuser des contenus illégaux». La question est de savoir qui décide sur l’illégalité des contenus et pourquoi des contenus seraient illégaux.
Les États-Unis font mouche. La France, qui se targue d’être une grande démocratie et de respecter la liberté de parler, fait en réalité l’inverse. Force est de constater que des individus, qui siègent dans des organes de décision du pays, décident de ce qu’aujourd’hui les habitants ont le droit de dire et de publier en particulier sur les réseaux sociaux. Les États-Unis utilisent: «message orwellien». Ils font référence au livre 1984 de George Orwell, qui était lu et étudié en France dans les lycées quand la majorité des responsables politiques d’aujourd’hui n’étaient pas encore nés ou étaient en train de voir le jour comme Aurore Bergé née en 1986 à Paris.
Instauration de la délation d’État en France. Aurore Bergé, ministre déléguée auprès du Premier ministre, chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations, a annoncé – selon TF1 – au début du mois de juillet «la création d’une coalition d’une dizaine d’associations chargées de signaler les contenus haineux en ligne auprès de l’Arcom, le gendarme de l’audiovisuel et du numérique».
Il est question de la «lutte contre la haine en ligne». Le slogan de 1984 est: «La guerre c’est la paix. La liberté c’est l’esclavage. L’ignorance c’est la force». Les significations des mots sont inversées d’où la remarque des États-Unis: «La censure n’est pas synonyme de liberté».
«Le combat pour la régulation des plateformes et des réseaux sociaux est un combat que toutes nos démocraties doivent mener. Pour nos enfants et adolescents, pour notre société, pour que la haine n’ait jamais sa place ni hors ligne, ni en ligne», a publié sur X, Aurore Bergé.
La décision de la France par Aurore Bergé fait suite à la création du règlement européen sur les services numériques (DSA) vise une responsabilisation des plateformes d’avril dernier qui dévoile le vrai objectif sur la volonté de la France de contrôler et de punir les habitants.
Le DSA doit lutter contre la haine, mais contre la manipulation et surtout ce que les responsables politiques actuels appellent la désinformation ou les contrefaçons. Officiellement, le DSA c’est pour protéger les Européens. Comme la loi sur le contrôle des paroles, des écrits, donc de la pensée, a été mise en place d’abord par l’UE, Aurore Bergé ne semble qu’appliquer les directives (ordres) de l’UE.
En dehors des États-Unis, il y a aussi des voix qui se lèvent contre le DSA. «Le DSA devait permettre une protection du marché intérieur, il est devenu un outil de censure avec von der Leyen!», a fait savoir sur X la députée européenne du RN, Virginie Joron.
Pour le journal Musulmans en France, la création de cette coalition d’associations soutenues par l’État «pose en réalité deux problèmes. Le premier concerne les intentions véritables d’Aurore Bergé qui ne donne pas le même poids, et c’est le moins que l’on puisse dire, à l’antisémitisme et à l’islamophobie, laquelle est pourtant tout aussi présente et mortifère que la première».
Le journal explique que la ministre en charge de la lutte contre les discriminations crée des discriminations et au contraire incite à la haine en interdisant d’autres groupes de la population française d’avoir le droit de s’exprimer.
Comme le DSA, la création d’une coalition d’une dizaine d’associations chargées de signaler les contenus haineux en ligne auprès de l’Arcom, l’objectif est d’interdire les voix des opposants à la politique du pouvoir en place en UE ou en France. En outre, cela va encore séparer encore plus les populations qui partagent un même territoire et augmenter les tensions et la haine, et cette fois – pas seulement en ligne – mais dans la vraie vie.
Pierre Duval
MAGOUILLES ET COMPAGNIE
Vengeance ou justice ?
Rédigé par Victor Davis Hanson,
La directrice du renseignement national, Tulsi Gabbard, vient de publier une série de documents apparemment classés secret défense, avec la promesse que bien d'autres suivront.
Ces nouveaux documents décrivent le rôle des directeurs du renseignement et des enquêtes de l'administration Obama – apparemment aux côtés de l'ancien président Barack Obama lui-même – dans l'affaiblissement de la campagne présidentielle de Trump en 2016. De plus, leurs efforts ont porté sur le sabotage de la transition présidentielle de 2016-2017 et, par extension, des trois premières années de la présidence Trump.
Les documents publiés ajoutent de nouveaux détails à ce qui est devenu une connaissance acceptée au cours de la dernière décennie.
Les commissions du Congrès, les procureurs spéciaux et les inspecteurs généraux avaient tous déjà publié des rapports qui confirmaient en grande partie les grandes lignes des magouilles qui avaient débuté en 2015-2016.
La campagne d'Hillary Clinton, aidée plus tard par les plus hauts échelons du FBI, de la CIA et du directeur du renseignement national, a cherché – à tort – à semer le récit selon lequel Trump aurait collaboré directement avec la Russie pour remporter injustement l'élection de 2016.
Lorsque cette stratégie de campagne n’a pas réussi à modifier les résultats de 2016, l’administration Obama a redoublé d’efforts pendant la transition pour saper la présidence entrante de Trump.
Ensuite, l'équipe juridique « d'exception » du procureur spécial Robert Mueller n'a trouvé aucune preuve de collusion directe entre Trump et Poutine pour détourner l'élection. Cependant, son enquête a saboté 22 mois du premier mandat de Trump, marqués par des fuites constantes et des rumeurs hystériques selon lesquelles Trump serait bientôt condamné et emprisonné pour « ressource russe ».
En 2020, les agences de renseignement frustrées et les anciennes « autorités » ont encore plus menti de manière absurde en affirmant que l’ordinateur portable incriminant Hunter Biden présentait « toutes les caractéristiques » — une fois de plus — d’une ingérence russe.
Alors, qu'est-ce qui pourrait être nouveau dans la dernière sortie de Gabbard ?
Premièrement, après l’élection de Donald Trump en 2016, mais avant son investiture, Obama a convoqué une étrange réunion avec ses chefs sortants des services de renseignement et d’enquête : le directeur de la CIA John Brennan, le directeur du renseignement national James Clapper, le directeur du FBI James Comey, la conseillère à la sécurité nationale Susan Rice et quelques autres.
Contrairement à un discours du Parti démocrate, vieux de quatre ans, selon lequel « 18 agences de renseignement » avaient depuis longtemps affirmé une collusion russe, les principaux directeurs ont informé Obama que leurs collègues experts n'avaient trouvé aucune preuve de collusion entre Trump et Poutine.
Pourtant, le président sortant Obama leur aurait ordonné d'ignorer cette évaluation. Au lieu de cela, ils ont commencé à propager des rumeurs selon lesquelles le président élu Trump aurait collaboré avec les Russes.
Les fuites ont suivi. L'hystérie médiatique a atteint son paroxysme. Et bientôt, Mueller et son équipe d'avocats de gauche ont pris le président Trump pour cible.
De nouvelles informations pourraient confirmer que la CIA de Brennan — et ceux qu’il a informés dans le Bureau ovale — savaient depuis un certain temps que les Russes eux-mêmes étaient confus quant aux raisons pour lesquelles ils étaient faussement accusés de collusion avec Trump pour truquer les élections.
Bien sûr, les agents russes, comme leurs homologues chinois, cherchent souvent à semer le chaos au sein des institutions américaines, notamment en piratant des courriels ou en diffusant de fausses informations en ligne. Mais ils étaient peut-être néanmoins curieux de savoir pourquoi Hillary Clinton lançait de telles fausses accusations selon lesquelles ils travailleraient directement avec Trump, et pourquoi l'administration Obama agissait en conséquence.
Obama a maintenant déclaré que ces nouvelles accusations étaient scandaleuses et indignes de la présidence.
Il n'a cependant pas catégoriquement contredit les nouvelles informations. Il aurait dû nier catégoriquement qu'il n'avait jamais ordonné à ses chefs du renseignement, en décembre 2016, d'ignorer les évaluations de leurs associés et de présumer une collusion entre Trump et Poutine.
Ces efforts soutenus de la campagne Clinton, des personnes nommées par Obama, des anciens chefs du renseignement et de leurs homologues des médias entre 2015 et 2020 ont gravement miné la campagne Trump de 2016.
Ils ont saboté la transition présidentielle de 2017.
Ils ont paralysé la présidence de Trump.
Et ils pourraient bien avoir nui à la candidature de Trump aux élections de 2020.
En résumé, voici les dommages causés par les mensonges de la collusion Trump-Poutine :
1. Ils ont encouragé les « experts » en 2020 à mentir à nouveau de manière flagrante et éhontée au peuple américain en affirmant que l'ordinateur portable incriminant Hunter Biden était un autre faux produit de l'ingérence russe pour aider à réélire Trump.
2. Les médias ont été tout aussi coupables. Des journalistes se sont associés à des personnalités actuelles et anciennes nommées par Obama en diffusant de faux documents, comme le dossier Steele, et en collaborant avec des géants comme Twitter et Facebook. Pendant la campagne de 2020, le FBI et les réseaux sociaux ont cherché à censurer des informations véridiques affirmant que l'ordinateur portable était bel et bien authentique et déjà vérifié comme tel par le FBI.
3. Ces opérations pourraient avoir de graves conséquences pour la politique étrangère américaine. La Russie dictatoriale est un adversaire des États-Unis.
Mais en affirmant inutilement et faussement que la Russie était intervenue dans deux élections directement pour s'associer à Trump, les responsables de l'ère Obama et les militants de la campagne de Clinton ont détruit la crédibilité du président Trump lui-même pour maintenir une relation viable avec une Russie nucléaire.
De plus, les opérations mensongères et extrajudiciaires du FBI et de la CIA n’ont fait que convaincre davantage les Russes paranoïaques qu’ils ne pouvaient pas faire confiance au gouvernement américain , étant donné qu’il s’était livré à des mensonges de conspiration qui ressemblaient davantage aux siens qu’à ceux de l’Amérique.
Obama, Brennan, Clapper, Comey et d’autres n’auront probablement jamais à faire face aux conséquences juridiques des dommages qu’ils ont causés à nos institutions et à notre politique étrangère.
Mais cela ne signifie pas qu’ils doivent être exemptés d’un effort continu et désintéressé pour trouver et finalement exposer toute la vérité.
GHISLAINE
L'appel de Ghislaine Maxwell se profile alors que son avocate déclare avoir parlé de « 100 personnes différentes » lors d'un entretien avec DAG
Au milieu d'un mécontentement bipartisan constant et bouillonnant face à l'échec de l'administration Trump à ouvrir les dossiers d'enquête sur Jeffrey Epstein à l'examen public, une autre source potentielle d'indignation se cache discrètement en arrière-plan : la co-conspiratrice d'Epstein dans le trafic sexuel, Ghislaine Maxwell, pourrait voir sa condamnation et sa peine de 20 ans annulées par la Cour suprême en juin prochain.
L'appel de Maxwell repose sur l'accord de plaidoyer incroyablement généreux que le procureur fédéral de l'époque, Alex Acosta, lui a accordé en 2007. En échange de son plaidoyer de culpabilité pour deux chefs d'accusation en Floride, Acosta a non seulement abandonné la procédure fédérale contre Epstein, pourtant pourtant solidement établie, mais a ajouté une clause à son accord de non-poursuite stipulant que « les États-Unis s'engagent également à ne pas engager de poursuites pénales contre d'éventuels co-conspirateurs d'Epstein. » (C'est nous qui soulignons)

Le premier obstacle majeur pour Maxwell sera de convaincre la Cour suprême d'examiner son appel . La concurrence sera rude, car la Cour suprême examine généralement quelque 4 000 demandes d'appel par an, n'en examinant que 70 ; il faut que quatre des neuf juges s'accordent pour accepter une affaire. Leur décision sur l'examen de l'appel de Maxwell est attendue fin septembre.
En faveur de Maxwell, son appel donne à la Cour l'occasion de régler un désaccord entre les différentes cours d'appel fédérales régionales, également appelées cours de circuit. « La question de savoir si un accord de plaidoyer conclu par un bureau du procureur fédéral américain lie l'ensemble des autres poursuites fédérales est une question sérieuse qui divise les cours de circuit », a déclaré à Reuters l'ancien procureur fédéral Mitchell Epner . L'accord d'Epstein a été fourni par le district sud de Floride, tandis que Maxwell a été condamné par le district sud de New York.
Maxwell a répondu aux questions des responsables du ministère de la Justice sur « 100 personnes différentes » liées au défunt pédophile Jeffrey Epstein, a déclaré l'avocat de Maxwell, David Markus.
« Si le gouvernement peut promettre une chose et en tenir une autre – et que les tribunaux le laissent faire – cela érode l’intégrité du système judiciaire », a ajouté Markus.
« Il ne s'agit pas seulement de Ghislaine Maxwell. Il s'agit de savoir si le gouvernement tiendra parole. » L'Association nationale des avocats de la défense pénale a déposé un mémoire d'amicus curiae exhortant le tribunal à se saisir de l'affaire, affirmant que l'absence de limite géographique dans l'accord de non-poursuite Epstein signifie qu'« aucun service du ministère de la Justice ne peut engager de poursuites pénales contre un co-conspirateur dans aucun district ».
Ce qui va à l'encontre de la demande de Maxwell d'obtenir une audience devant la Cour suprême, c'est le fait que son appel se concentre sur la disposition protégeant « tout co-conspirateur potentiel » d'Epstein, une stipulation si extraordinaire qu'une décision de la Cour suprême sur l'affaire pourrait ne pas résoudre entièrement la controverse de la cour de circuit.
Enfin, il y a un facteur dans le calcul de la Cour suprême qu'aucun juge n'admettra jamais . Sachant qu'il ne s'agit en fin de compte que de neuf politiciens en robe, les juges pourraient ne pas vouloir participer à une affaire qui pourrait aboutir à la libération de l'un des criminels les plus notoires de notre époque.

Interrogé sur l'accord de non-poursuite alors qu'il était en cours de sélection pour le poste de secrétaire au Travail de Trump, Acosta aurait déclaré : « On m'a dit qu'Epstein "appartenait aux services de renseignement" et qu'il fallait laisser tomber. » Cette citation a alimenté de nombreuses spéculations selon lesquelles la fourniture présumée de mineurs par Epstein à des personnes influentes faisait partie d'un système de pots de miel au profit du Mossad, le service de renseignement israélien.
Dans son récent examen approfondi de l'affaire Epstein sur le podcast de Tucker Carlson, Darryl Cooper a souligné à quel point la décision d'Acosta de ne pas poursuivre une condamnation fédérale dans une affaire sensationnelle et évidente avec des dizaines de témoins était stupéfiante :
Un procureur américain est haut placé… C'est une affaire qui mérite une carrière pour un procureur comme Acosta. Un jour, vous serez procureur général derrière cette affaire. Vous parlez d'un milliardaire playboy – et vous le condamnez à une peine de prison à perpétuité pour abus sexuels sur des mineures depuis des années. Ça fait toute votre carrière. Et donc, pour en finir avec ça, il n'y a que quelques personnes et quelques raisons pour lesquelles quelqu'un comme lui accepterait de faire ça.
Le peuple américain mérite de connaître ces raisons. Bien que la commission de surveillance de la Chambre des représentants vienne de citer Maxwell à comparaître, nous aimerions également qu'Acosta soit interrogé publiquement
DECLIN DE L'EMPIRE
Farage : la Grande-Bretagne est confrontée à un « effondrement sociétal » complet
Rédigé par Steve Watson via Modernity.news,
Le chef du parti Reform UK, Nigel Farage, a averti que si aucun changement n'était mis en œuvre rapidement, la Grande-Bretagne succomberait bientôt à un effondrement sociétal complet.
« Nous vivons de plus en plus dans une Grande-Bretagne sans loi… la plupart des gens pensent que la Grande-Bretagne est devenue sans loi », a déclaré Farage lundi lors d’une conférence de presse pour lancer une nouvelle plateforme politique sur la loi et l’ordre.
« Dans de nombreuses régions de notre pays, nous sommes confrontés à un véritable effondrement sociétal », a averti Farage, ajoutant : « Les gens ont peur de sortir faire les magasins, peur de laisser sortir leurs enfants. Cette société se dégrade, et cela se produit très, très rapidement. »
Farage a également suggéré que la Grande-Bretagne quitte la Cour européenne des droits de l’homme afin de rétablir une dissuasion pénale efficace.
Farage soutient que la CEDH compromet la capacité du pays à expulser les criminels étrangers, les terroristes et les migrants illégaux, affaiblissant ainsi la dissuasion criminelle.
Il soutient que la sortie du système supprimerait les barrières juridiques imposées par les juges étrangers et permettrait au Royaume-Uni d’expulser rapidement les individus dangereux, de libérer de l’espace carcéral, de réduire la charge des contribuables et d’envoyer un message fort selon lequel les crimes commis par des non-citoyens entraîneront une expulsion certaine.
Selon lui, cela permettrait de rétablir une dissuasion efficace en garantissant que les conséquences soient appliquées sans interférence, décourageant ainsi à la fois l’activité criminelle et l’immigration illégale.
Parmi une série de mesures qu'il a décrites pour éviter une descente vers l'effondrement de la société, Farage a suggéré d'externaliser les criminels endurcis dans des prisons étrangères et d'appliquer une règle stricte du « trois coups et vous êtes dehors », ce qui signifie qu'après trois condamnations, il n'y aurait plus de réhabilitation pour les délinquants.
Il a souligné que l’un des aspects les plus flagrants de l’effondrement est que le gouvernement est obsédé par l’idée de faire comprendre au peuple britannique que tout s’améliore lorsque les citoyens peuvent voir la dégradation rampante tout autour d’eux.
« Un nombre considérable de Britanniques respectueux des lois et contribuables ont également perdu le respect pour la police, mais d'une manière différente. L'idée, le concept selon lequel nous vivons dans un système de police et de justice à deux vitesses, sous la direction d'un Keir à deux vitesses, a véritablement pris racine », a insisté Farage.
Farage a souligné que des crimes tels que le vol à l'étalage et la consommation de drogue sont devenus partie intégrante de la vie quotidienne dans les villes, et qu'un Londonien sur trois a désormais été victime d'un vol de téléphone portable.
Il a promis que son parti s'efforcerait de réduire de moitié la criminalité en cinq ans s'il était élu au Parlement, en devenant « le parti le plus dur en matière de loi, d'ordre et de criminalité que ce pays ait jamais connu » et en instaurant une « politique de tolérance zéro ».
Farage a également évoqué l'idée de centres gérés par l'armée pour les petits criminels récidivistes qui seraient détenus et soumis à un programme de réforme.
Il a cité le mandat de Rudy Giuliani en tant que maire de New York comme exemple de la manière de rétablir la loi et l'ordre dans une société en ruine.
« Nous empruntons sans vergogne le manuel de Giuliani. Je pense que ce que Rudy Giuliani a fait à New York dans les années 1990 n’était rien de moins qu’un miracle », a déclaré Farage.
Il a ajouté : « Ayant travaillé pendant plus de 20 ans pour des entreprises américaines, j'étais un habitué des trajets transatlantiques et j'ai vu ce qu'un dirigeant courageux et inspiré, au sein du département de police de New York, souhaitait collaborer avec lui… J'ai vu ce qui pouvait arriver, quel était le potentiel. Je crois que Londres a besoin d'un Giuliani, pas d'un Sadiq Khan. »
Les commentaires complets de Farage sont ci-dessous :
Les commentaires de Farage interviennent après les accusations de grands distributeurs selon lesquelles la police a effectivement cessé de traiter le vol à l'étalage comme un crime.
Ils enquêteront cependant en profondeur sur les publications épicées sur les réseaux sociaux que les gauchistes trouvent offensantes.
Comme nous l’avons récemment souligné, les centres-villes britanniques sont devenus de véritables enfers sans loi.
C'est tellement grave que même les gens normaux remarquent la forte baisse vers l'abîme.



