samedi 28 mai 2016

MAUVAISE NOUVELLE

En effet, on peu spéculé, analysé la potentielle et probable nocivité de produits ou de pratique, sans pour autant avec des cas suffisamment probant pour affiné le propos. Le recule doit ce faire avec les années, afin d'avoir des données plus concrètes.
C'est ce que l'usage du téléphone portable va devoir affronté de façon plus concrète. Car jusqu'a maintenant, les études se basaient sur de la théorie et des cas cliniques qui ne pouvaient pas servir comme acquis dans la démarche, tant chaque individus est différents et susceptibles de développé des problèmes dues a l'usage d'outils ou de pratiques récurrentes. Mais aujourd'hui les statistiques s'affinent et avec 20 ans de recule, on a déjà des éléments qui ne sont plus contestables.
Même si les sensibilisations aux risques ont plutot bien fonctionné auprès d'utilisateurs qui, par mesure de précaution, ont souvent utilisé des kits mains libres, l'usage du téléphone portable c'est tellement généralisé qu'il est devenu comme une partie intégrante physiquement et psychologiquement chez certains individus. Si bien que l'usage en devient viral, excessif, maladif. Ce qui a permis aujourd'hui d'avoir une vision un peu plus claire sur les réels risques, que suscite l'usage immodéré du téléphone portable. Et ce sont les américains qui ouvrent le bal avec une étude de la National Toxicology Program, une agence essentiellement financé par des fonds publics, qui démontre le potentiel dangereux et cancérigène d'un usage excessif, sans retiré non plus que l'usage modéré n'échappe pas a des conséquences possibles chez certains individus.

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