lundi 26 décembre 2016

POURQUOI

Quels sont les intérêts a vouloir absolument mettre en place des régimes conciliants et "pro U.S." dans des pays ou jusqu'a maintenant, on ne c'est jamais véritablement préoccupé du sort des populations face a des régimes soient disant "dictatoriaux" ?
Majoritairement les gens répondront "le pétrole". Et ils ont en grande partie raison. Car même si l'Ukraine n'est pas particulièrement un lieu très propice a cette raison, elle n'en reste pas moins un pays qui faisait partie de la stratégie d'encerclement de la Russie. Mais en réalité, on peu élargir la raison a quasiment la notion de main mise sur les énergies fossiles. Pétrole Gaz en priorité, mines et terres rares en second. Car dans un monde qui comprend 7,43 milliards d'individus, certains pensent qu'on atteindra d'ici 2030 les 9 milliards, et cela en dépit de ce que la planète est capable de nous offrir. 


Alors forcément, quand des ressources tombent majoritairement entre les mains des mêmes, c'est l'assurance de s'en mettre plein les fouilles, et d'avoir le pouvoir absolu sur tous le monde. Et vu qu'on est pas encore arrivé au point de réduire considérablement nos besoins en pétrole, c'est avec le gaz, la guerre a ceux qui réussiront a prendre le maximum de contrat pour exploiter, et transporter. Car si les printemps arabes et la guerre en Syrie, comme l'Irak et l'Afghanistan, ont été des révolutions, des guerres civiles, comme on les a formatés pour l'opinion public suite à la monté du terrorisme (majoritairement construit, financé, aidé par les américains et ses alliés du moyen orient) c'est bien parce que derrière, c'était aussi des enjeux économiques sur de la matière première. Ressources pétrolifères en Irak, pipeline en Afghanistan, Gazoduc en Syrie. Non sans menacé évidemment, les intérêts d'un autres producteurs et exportateur : la Russie. La Russie qui à un moment c'est dit qu'il fallait dire "stop". Et en Syrie c'est ce qui c'est passé. Le blocage. Car si l'on a mit le bordel en Syrie, c'est bien pour tenter de faire tomber Assad, de mettre un gouvernement fantoche, et permettre au Qatar de tiré son gazoduc jusqu'en Turquie, via Israel au passage, et grillé au poteau le marché dont les russes sont a l'heure actuelle détenteur du marché. Mais tous ne c'est pas passé comme prévu. On peu même dire que çà a complètement merdé. Mais du coup, il faut trouver vite fait une parade pour reprendre la main, et s'octroyé, plus particulièrement avec le pétrole, de nouveau gisement. Non pas parce que on en a besoin, non non ! Parce qu'on ne veut pas que les autres, russes et chinois en tête, ne réussissent a mettre la main dessus. Parce que la population mondiale va augmenté, parce qu'il n'y aura pas a bouffé pour tous le monde, et que ceux qui détiendront la grosse part sur les énergies, auront forcément le pouvoir, pour financé, aidé, ceux qui vont se tapé sur la gueule pour un bout de pain. Et qu'on se le dise, avant que les russes, chinois, américains, saoudiens, israéliens, se foutent sur la gueule, sachez que l'Europe sera sans doute le prochain théâtre d'un désordre mondiale. La preuve, on est en train de faire venir des millions de migrants, que personne en Europe, n'est capable d'assimilés, d'aidés, financés, sans provoqué encore plus d'injustice, de délinquance, de conflit éthnico religieux (car avec les migrants on importe aussi les conflits internes aux régions d'ou ils viennent) et de dumping sociale, exactement comme ce que les américains ont fait chez eux avec les hispaniques, dans certains secteurs économiques, ou pour faire baissé les salaires, ils ont laissé une immigrations massives remplacées petit à petit des américains a des métiers manufacturiers, ouvriers, et prestataires de services (d'ou la raison de la colère de certains états comme le Texas qui sont aujourd'hui présenté comme des moutons noirs mais qui ont finalement bien comprit d'avance le petit jeu de Washington). 
Tous çà pour dire qu'on peu prier tous ce que l'on veux, il y a des solutions, mais nos dirigeants, les états, les multinationales, n'ont nullement l'intention de s'investir dans ce sens et de laisser volontairement le fruit pourrir.


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