CLAIREMENT

Asselineau est passé à la convention des Maires de France, comme la coutume le veux en période de campagne électorale pour tous les candidats officielles. Mais a la différence de ses homologues aux discours policés, consensuels, et complaisants à fond, François Asselineau a rappelé a ces élus de collectivités, le sort que leur réserve l'Union Européenne. Tout bonnement, la disparition de beaucoup d'entre eux, par le regroupement de plusieurs communes en une seule entité, en une seule collectivité locale, mettant ainsi plusieurs villages sous la coupe d'une seul Maire. Une façon évidente de supprimer un mille feuille administratif, qui pourtant, ne coûte pas le plus cher à la collectivité. Par contre, permettra ainsi au région, de dilué de la dette. Car oui, si 10 communes sont regroupées au sein d'une même entité de gestions administratives, cela veut dire, que si, une ou deux de ces communes sont déjà endettés jusqu'au cou, et bien elles vont pouvoir aller puisé des recettes fiscales sur l'ensemble des communes pour tenté de bouché les trous. Une issue que peu de promoteurs de l'idée se vantent auprès de leurs contribuables, évidemment. Je vous laisse imaginé les désastres fiscaux que cela impliquera. Par exemple, chez des agriculteurs retraités qui touchent 900 euros de retraites par mois, dans une petite bourgade sans grand frais, et qui, parce que intégré a une communauté de collectivités, devront payé la facture de la commune d'a coté, pour remboursé le super grande salle des fêtes, dix fois trop grande, et qui aura coûté la peau du cul. Et enfin autre conséquence, c'est qu'au lieu d'avoir des interlocuteurs locaux, souvent connus, reconnus, et souvent même des enfants du pays, parfois étiqueté d'un parti, mais sans en faire le prosélytisme, ni même de militantisme, les villageois, les habitants de petits villages, se retrouveront avec une machine administrative, ou le maire n'existera plus, laissant la place à un président, qui sans doute, aura un coût bien plus élevé qu'un simple petit Maire, avec une structure qui finalement prendra l'allure des mêmes administrations auxquelles on se casse le nez souvent. Bref, la mort définitive d'une tradition française de gestion de village, au profit de structures bureaucratiques qui broieront sans vergogne tous ceux qui gagnent une misère, du fait qu'ils devront payé, payé, toujours payé, les frasques et les excès de hauts fonctionnaires, y compris leurs avantages et privilèges.