vendredi 31 mars 2017

FRICTION

Le contretemps de Washington entre Trump et l'establishment, pose par contre un problème. Dans les médias, certains journalistes, qui ont encore un cerveau, commencent a se rendre compte que çà risque de mal finir. Que le vent tourne. Et certains commencent a admettre en coulisse que leur travail a été en effet corrompu depuis des années, pour servir l'idéologie imposé par leurs patrons, aussi bien dans le public, que dans le privé. Voir Asselineau en faire l'écho depuis qu'il a fait la tournée des popotes, en disant que finalement, beaucoup de journalistes sont pour ainsi dire "contraints" au risque de perdre leurs boulots, voir d'être blacklisté, n'est pas dénué de bon sens.
Mais au USA, il est plus risqué de trop affiché ses doutes et ses sentiments. Même si en OFF, certains journalistes et grandes plumes admettent désormais que tous les médias Meanstream sont tellement politisé, tellement manipulé, tellement contrôlé par des groupes, qu'on y trouve quasiment plus de vrai journaliste avec une indépendance d'esprit suffisante. Certains ont trouvé dans le net, une porte de sortie pour pouvoir y trouver une liberté d'expression. Mais majoritairement, les américains sont encore sous la chape de plomb de média qui les trompes et trahisses chaque jour.
Rappelons qu'au début des années 80, l'ensemble des grandes télés appartenaient a 50 sociétés différentes. Aujourd'hui elles ne sont plus que 6 a ce partagé les centaines de chaînes gratuites, ou privées (appartenant a des bouquets payants).

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