samedi 29 avril 2017

DÉNIS

On le sait, dans un certains nombres de pays, le fait qu'une partie de la population se plaignent d'avoir en son sein, des tarés, des idiots en masse, on doit bien reconnaître que la faute en revient a nos systèmes éducatifs, ou tous du moins a son déséquilibre de considération sociale. Car si l'éducation américaine a forgé une population de crétins qui ont voté pour Trump (c'est l'argument en général retenu pour expliqué sa victoire) en France, c'est exactement le même dilemme. Si le FN monte, c'est que c'est la faute des cons. Et s'ils sont cons, c'est bien la faute en partie d'une éducations qui a faillit. Il est une vérité qu'il est toujours facile de montré du doigt les crétins quant son enfant se trouve dans de bonne école, sans problèmes majeurs, loin des zones "craignos", ou hors des établissements dit "en ZEP" (Zone d'Education Prioritaire, c'est à dire les établissements confronté a de lourds cas sociaux, problèmes d'intégrations et d'éducations parentales défaillante). Et de ce fait, juger son prochain pour l'influence qu'il a légitimement de droit d'avoir au même titre que vous, sans s'intéresser a ses conditions économiques et sociales, qui explique le pourquoi de l'orientation populiste de leurs votes. Chacun chez soit et dieu pour tous, mais quand le populisme monte en grade, c'est la fin du monde, parce qu'on a été ignorant, aveugle, ou hypocrite de voir autrement la société, le monde, autrement que dans son petit style de vie confortable et individualiste. Sans parler que nos sociétés ne se sont pas arrangées avec le renfermement sociétale par le communautarisme, la religion ou le consumérisme exacerbé, poussant des gens a mettre plus d'importance a suivre des téléralité, plutôt que s'instruire un minimum sur la façon dont tourne réellement le monde.

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