mercredi 24 avril 2019

CONSEQUENCE

Gaspard Glanz libéré, vous avez peut être vu sa vidéo de sortie, et ce qu'il dit. Du coup la presse, par peur que le bonhomme devienne trop populaire et symbolique, on lui tire un portrait, pas franchement positif. Parce que dans le cadre de son travail, il a été amener a approché des mouvances qui aujourd'hui, lui vaut d'être presque étiqueté "sympathisant" par les forces de l'ordre. Le problème, c'est que tous les journalistes, avec cartes de presse (que Glanz n'a pas car indépendant et donc dérangeant l'establishment) qui ont été faire des reportages chez des mafieux, des terroristes, des mouvements d'extrêmes droites comme néo nazis, ont ils eux aussi été catalogué de la sorte ? L'autorité et les médias alignés ne seraient ils pas en train de faire insidieusement un procès d'intention a Glanz parce que déterminé a ne rien lâché ? Réponse samedi prochain lorsqu'il sera présent à la manif, alors qu'il y est interdit par le juge. On verra si Ganz risque de devenir une erreur stratégique de l'autorité contre une presse indépendante, croyant faire un exemple, pour faire peur aux autres.

Cet article du "Point" est clairement à charge, alors qu'en réalité, il est bien question d'usage de la force et de la justice pour tenter de l'intimider sur des prétextes fallacieux.

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