Apparemment, le sujet d'un risque sur la "forêt" avait été le sujet d'un rapport commandité par le CNRS, le Centre national français de la recherche scientifique. C'est le quotidien économique italien Il "Sole 24 Ore" qui nous révèle le 16 avril, au lendemain de l'incendie, l'existence de ce rapport, dont l’auteur, Paolo Vannucci, spécialiste des questions d’ingénierie mécanique à l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines et spécialiste de la structure des monuments historiques et de leur capacité à résister aux chocs sismiques ou thermiques, avait établit un risque majeur dès 2016. Un rapport qui étrangement, à été "classifié", car parlant d'un risque dû à la concentration de poussière, stratifiée au cours des siècles, qui peut avoir un effet explosif.
Demandé dans le contexte des attentats terroristes de novembre 2015, le rapport à été classé «confidentiel-défense» du fait d'abordé les aspects techniques des risques encourus tant par Notre-Dame que d’autres monuments emblématiques en France, potentiellement des cibles. Seul le magasine Mariane à prit connaissance de l'existence de ce rapport et à interviewé Vannucci le 18 avril.
Pour mieux connaitre le travail de Vannucci, voici l'une de ses études justement, réalisé en Mars 2019 sur les résistances aux vents des structures de cathédrale, avec justement un exemple technique concret sur Notre Dame. https://www.researchgate.net/publication/330202346_A_nonlinear_approach_to_the_wind_strength_of_Gothic_Cathedrals_The_case_of_Notre_Dame_of_Paris
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