JUGEMENT POLITIQUE

Pour avoir participer a une opération rappelant le principe que les frontières, ne sont pas ouvertes à des migrants illégaux dans les Alpes, ayant bloqué un convoi tentant de rentré en France par le Col de l'Échelle, en Avril 2018, Damien Rieu, militant d'extrême droite, vient d'être condamné à 6 mois de prison ferme, 5 ans de privation de droits civiques et 2000 euros d'amende. Son crime, c'est de défendre des idées depuis plusieurs années, que cela soit au sein de "Rebeyne" le groupe lyonnais des identitaires, ou au sein d' SOS Chrétiens d'Orient. Dans son combat idéologique, il est clair que se sont celles ci qui viennent de le faire condamné une fois de plus. Si l'individu a été de combat contre le mariage gay, ou partage la théorie du grand remplacement, sa condamnation semble clairement vouloir condamner "des idées. Même si on ne les partages pas, ou qu'on les considères comme "immondes" par soucis de sensibilité progressiste, on doit néanmoins s'inquiété de cette dérive judiciaire qui, condamne un individu sur des faits qui ne sont que l'application de la loi..... quoi que l'on pense de l'individu, c'est bien une condamnation politique, et quiconque pense que c'est bien parce que c'est un individu aux idées qui ne plaisent pas, est complice de l'usage d'un pouvoir a des fins d'extermination de la liberté de pensée et d'opinion.

 

🔴"6 mois de prison ferme, 5 ans de privation de droits civiques et 2000€ d'amendes pour avoir demandé pacifiquement à l'Etat de faire respecter la loi en protégeant nos frontières.
Je suis plus que jamais déterminé à me battre pour défendre mon pays." ➡️ Partagez cette vidéo ! pic.twitter.com/xbd2jZnf0A

— Damien Rieu (@DamienRieu) August 29, 2019

Cette condamnation intervient alors que les Identitaires, eux aussi ont été condamnés, et sont sous le coup d'une demande de dissolution de la part de bien pensants. Ce qui impose une question éthique fondamentale.
https://www.polemia.com/condamnation-identitaires-faut-il-epurer-corps-judiciaire-jean-yves-le-gallou/

Aujourd’hui, le corps judiciaire rend des décisions idéologico-politiques profondément contraires à l’idéal de liberté et à la volonté populaire :

• En appliquant avec beaucoup de zèle des lois liberticides : poursuites, voire condamnations, pour de simples délits d’opinion de Menard, Camus, Zemmour et tant d’autres. Des lois pénales liberticides qui ne sont pas appliquées de manière restrictive mais au contraire de manière extensive.
• En montrant une extrême indulgence pour les étrangers clandestins, leurs passeurs et leurs complices (affaire Herrou notamment).
• En prononçant de sévères peines de prison pour des délits politiques, comme on l’a vu hier pour les Gilets Jaunes, aujourd’hui pour les Identitaires, et sans doute demain pour la Manif pour tous.
• En étant d’une grande mansuétude avec beaucoup de délinquants immigrés et en refusant toute forme de légitime défense.
• En faisant instruire exclusivement à charge beaucoup d’affaires politiques (Sarkozy, Guéant, Marine Le Pen, Melenchon) par des juges militants (Buresi, Tournaire et tant d’autres).
• De plus en plus de Français ont le sentiment que la « justice » n’est plus rendue en leur nom mais au nom de préjugés idéologiques et politiques et de lobbys étrangers. La «justice » est en train de perdre sa légitimité démocratique. C’est grave !