vendredi 23 août 2019

LA LIBERTÉ

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En France on a la liberté de croire ou ne pas croire. Sauf que depuis qu'on a jonglé avec les musulmans par idéologie et clientélisme politique, on leur a donné le droit de condamné même les apostas qui ont quitté l'islam. Menaçant l'un des fondements de la laïcité et de cette liberté d'être respecter et considérer en France en tant que tels. Parce qu'un islam radical, et pas seulement, devient aux yeux de tous, un problème fondamental que nos responsables politiques, administratifs, législatifs et même constitutionnels, refusent d'admettre.



NDL : c'est là le doigt sur cette différence fondamentale entre la culture latine, française et républicain, et la culture anglo-saxonne, britannique, nordique, américaine, qui part d'un principe d'intégration sans vouloir imposer une norme sociétale de bien séance et de droit, laissant proliféré un communautarisme, certes parfois complaisant et compatible, mais aussi contradictoire et provocateur envers les institutions des pays qui en pratique les principes. Il suffit de voir l'état en Grande Bretagne, en Suède, en Norvège, en Allemagne, en Belgique, et en Hollande pour se convaincre que le dérapage va droit à un conflit civilisationnel pour ne pas dire religieux. Et c'est ce en quoi  Zineb El Rhazoui essaye tant bien que mal de faire comprendre a cette France bourgeoise progressiste et humaniste bien pensante, non sans parfois subir des attaques pas seulement de musulmans de divers positionnements mais aussi de contradicteurs qui n'ont en général pas d'autres arguments que les dogmes habituels du multiculturalismes et multiconfessionnels.
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