vendredi 27 décembre 2019

AFFRONT

La grande prêtresse progressiste et anti Trump du paysage médiatique américain, Rachel Maddow, va devoir s'expliquer. Car si aux USA, il y a une liberté d'expression notoirement respecté, on ne peut pas dire n'importe quoi non plus. Et cette présentatrice d'un show assez populaire chez les progressistes, a cru qu'il suffisait de croire d'être du bon coté de la barrière pour s'octroyé le droit d'accuser des homologues de "payé par les russes". Le seul problème c'est que cette insistance a vouloir convaincre d'un Russia Gate qui n'a finalement rien donné de probant (car évidemment le Pentagone a quand même mit son grain de sel pour ne pas voir tous les jeux d'influences, y compris américains, étalés en place public) la dame n'a pas voulu admettre cette déconvenue, au point d'en venir à accusé certains autres médias de complices. Plus précisément OAN, One America News Network, une chaîne alternative créée en 2013, considéré comme politiquement très à droite, conservatrice, voir d'extrême droite. Les bons clients sur qui taper gratuitement, sauf quand ceux ci décide de traîner Maddow devant la justice pour propos diffamatoires. Maddow tente de défendre sa position par de la conviction, mais cela ne suffira pas devant la justice devant laquelle elle risque de perdre sa crédibilité, passant plus pour une progressiste hystérique psychopathe, image qu'elle s'est déjà construite auprès d'une amérique plus prompt a être dans la raison gardé et dans l'intelligence, et non dans la dictature de la pensée unique, dont elle est l'une des prêtresses médiatiques.

NDL : Cette star de la télé américaine, commence a se voir déstabilisée dans son image, même de la part de ses confrères progressistes qui pensent qu'elle a parfois été trop loin dans son combat contre Trump et les conservateurs républicains.
https://www.zerohedge.com/commodities/maddow-meltdown-defense-oan-lawsuit-host-argues-her-words-are-not-facts

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