Et si Biden perdait des grands électeurs sur un défaut électoral ? Réponse le 15 décembre, lorsque les grands électeurs décideront... ou non, de validé le choix du peuple de les désigner en faveur de l'un ou de l'autre des candidats. Mais déjà, le Texas et le Missouri ne voit plus les choses dans ce sens.
Le Texas poursuit la Géorgie, la Pennsylvanie, le Michigan et le Wisconsin devant la Cour suprême pour « irrégularités inconstitutionnelles » dans le processus électoral, affirmant que les États ont utilisé la pandémie de coronavirus pour justifier « l’ignorance des lois des États » en ce qui concerne le vote par correspondance.
En effet, ce sont les états qui majoritairement on interrompu le décompte le 3 novembre pour soit disant "attendre" des votes par correspondance qui n'avaient pas été envoyer en temps et en heure, ou qui avaient été perdu dans la nature, ou encore d'autres raisons qui ont suffit a "légalisé" cette interruption.
Le procureur général du Texas, Ken Paxton, a intenté une action en justice mardi, alléguant que les quatre États swing ont violé les lois fédérales et étatiques en modifiant les procédures électorales. Les quatre États du champ de bataille énumérés dans le procès ont été la clé du chemin du président Donald Trump vers la victoire en 2016 et ont été vitaux pour sa candidature à sa réélection. Compte tenu du nombre de votes électoraux en jeu, les plaignants ont fait valoir que les États « détermineront le résultat de l’élection »…
Non comptant que le Texas se lance dans une procédure qui a peu de chance d'aboutir, le Missouri emboîte le pas.
Eric Schmitt, le procureur général du Missouri, a annoncé sur Twitter mardi soir que son État était "dans la lutte" après que le Texas ait annoncé son défi électoral qui invaliderait les 62 votes du Collège électoral de quatre États du champ de bataille et attribuerait un deuxième mandat au président Trump.
En effet, ces deux états espèrent que cette procédure invalidera 62 grands électeurs dans la décision finale, qui plus est, 62 en faveur de Biden. Dans ce cas, Biden n'aurait évidemment plus les 270 grands électeurs necessaire et Trump serait alors désigné comme vainqueur. Mais soyez rassuré, de telles procédures ne changeront en réalité rien à l'affaire, car à terme, de recours en recours, ce serait la Cour Suprême qui aurait le dernier mot, et celle ci, majoritairement conservatrice, ne s'opposera pas à la décision du pouvoir profond. Sauf coup de théâtres, Biden sera président car c'est ainsi que le monde progressiste de gauche mondialiste l'a décidé. Preuve en est, la Cour Suprême a déjà rejeter la contestation des républicains sur le résultat de la Pennsylvanie.
En revanche, cela promet une président de 4 ans à Biden, extrêmement compliqué, car si le sentiment de fraudes multiples perdurent dans l'esprit des pro Trump (et même du côté des pro Biden mais évidemment, sans l'admettre à eux même) la cohésion du pays risque d'en être encore plus fragilisé.
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