samedi 26 juin 2021

L'ETAT DE L'UNION

Peu de média aujourd'hui ne parle de la situation aux USA, en dehors d'une forme d'adoration de Biden, et évidemment de Kamala Harris. Sauf que de l'avoeu même d'Obama, les "wokes" sont en train de mettre les bases de quelque chose de très dangereux. Car si Trump reste un retranchement pour une part des américains, la déliquescence même des fondamentaux de la démocratie américaine sont en lambeau. Au point que certains états tâtonnent à entrevoir sérieusement, une secession.

Car économiquement, on commence a voir des états qui s'endettent de trop, et deviennent fiscalement insoutenables pour une grande partie de la population qui n'est ni rentière, ni aisée, ni même avec un espoir d'avoir une pension retraite suffisante pour pouvoir continuer à y vivre.

Les plus endettés, New York, New Jersey, Illinois, Massachusetts, et la Californie, sont tous des États sous administration démocrate et plus ou moins qualifiés de “marxistes”, “socialistes”, etc.  Les moins endettés, dans l’ordre : Texas, Floride, Alaska, Caroline du Nord, Tennessee. Le premier étant le "Lone Star", celui qui attire de plus en plus pas seulement des américains de la classe moyenne mais aussi des entreprises parfois même, progressistes de réputation, qui viennent gonflé le PIB d'un état qui rappelons le, ce munit depuis quelques années de sa propre réserve d'or physique. Le second, c'est l'état du gouverneur républicain Ron DeSantis, le même qui a géré la pandémie d'une manière a démontrer que les affolement de Washington n'étaient pas justifier. Car rappelons que la Floride est l'état qui possède une très forte concentration de personnes âgées et de fait, son taux de létalité pandémique n'à pas plus explosé qu'ailleurs, alors pourtant possédant des populations les plus à risques. Et du coup, DeSantis en est sorti grandi dans l'opinion, au point qu'on commence à parler de le voir se présenter en 2024 pour le camp républicain, en dernier recours qui Trump n'est pas dans la course. 

S'ajoute au marasme, une politique de l'administration Biden qui n'est très clair. Déjà, les déçus se font ressentir à peine 6 mois après l'arrivé de Biden à la Maison Blanche. Les histoires d'immigrations, de frontières, ne sont pas résolus, loin de là. On a même la vice présidente qui à été clamer aux espoirs hispaniques de ne pas venir aux USA, dissuadant des potentiels futurs immigrés l'égaux, comme illégaux. Une inversion de valeur qui n'est pas tomber dans l'oreille d'un sourd. Surtout lorsque les histoires de "mur" de Trump semble ne pas avoir trouver d'arrêt (surtout au Texas, l'état qui est le plus exposer justement à cette migration). 

Que dire des BLM, qui idéologiquement sont en train de perdre du terrain, au point que récemment, la condamnation de l'officier de Minneapolis, dans l'affaire de George Floyd, n'a suscité que quelques petits groupes de manifestants, mécontent que l'officier Dereck, n'est prit que 20 ans. 

On peut donc dire que l'on est dans une processus qui semble progresser en défaveur des démocrates à tous les niveaux. Mais il restera toujours des américains pour croire au rêve d'un progressisme combatif et vengeur contre l'amérique des ploucs, des religieux, des blanc suprémacistes et de la bourgeoisie judéo chrétienne.

https://www.dedefensa.org/article/rapsit-usa2021-civil-war-serieusement

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