LE POUVOIR DE LA COM

 Etrange qu'on ait jamais eut autant de couverture pour des conflits récents. Peut être parce que l'Europe est tellement assujetti à la culture du faible, que le sentimentalisme à ceci d'avantageux de faire oublier ceux qui en sont les causes réelles. Alors forcément, Zelensky qui comme son prédécesseur n'ont apparemment jamais eut de problème avec les nationalistes et néo nazis dans son pays, que se retrouve à pleurer devant un parterre d'israéliens, ça confirmerait presque le slogan de Goebbels sur le fait que "plus c'est gros, mieux ça passe" !

[Dans une adresse aux législateurs israéliens, le président Zelensky fait appel au sentiment juif.](https://www.nytimes.com/live/2022/03/20/world/ukraine-russia-war?smtyp=cur&smid=tw-nytimes#in-an-emotional-address-to-israeli-lawmakers-president-zelensky-appeals-to-jewish-sentiment)....

En effet, Israël reste prudente sur sa position envers ce conflit car le pays hébreux à développer depuis la guerre en Syrie des relations "particulières" avec la Russie (histoire de jouer sur les deux tableaux car vu que les américains semblent de moins en moins va t'en guerre en leurs noms, un conflit avec un voisin arabe pourrait ne pas plus motivé que ça les USA de rentrer dans la danse). Et elle n'est pas non plus dupe de l'affaire, Ukrainienne, surtout avec un passé "culturel" qui n'est pas en reste, comme aussi concernant la Russie. Car si Poutine n'est pas ignorant de ces affaires qui mette la Russie comme débiteur moral, l'Ukraine elle, n'a pas eut cette même vertu en laissant proliférer des réseaux et mouvements qui se proclament héritiers, pour certains, du nazisme (de forme car sur le fond, si le juif est concerné, c'est plus souvent le russe qui est incriminé). Alors quand Zelensky, lui même de lignée, s'adresse au peuple juif pour tenter d'adoussir les décisions législatives du pays concernant l'acceptation de réfugiés, et la position de l'état hébreux vis à vis de cette guerre, on se rend compte que d'un, il y a bien derrière une opération de com organisée sans doute dans le dos des autorités israéliennes, et de deux, développer en sentiment ambigüe de voir des juif soutenir un président qui n'a pas lever le petit doigt tant pour protéger des compatriotes russes du fanatisme des uns, et de lutter contre ces mêmes fanatiques en même temps.