Le plus gros crime contre la liberté d’expression vient d’être révélé : « Les dossiers CTIL »
Le plus grand scandale lié à la liberté d’expression vient d’éclater en Occident. Un lanceur d’alerte vient de publier des documents qui nous permettent de constater l’existence d’un groupe opérant dans l’ombre, à l’origine de la censure dans tout l’Occident.
Ce groupe s’appelle « Cyber-Thread Intelligence League », signifiant « Ligue de renseignement du cyberespace ». Ce groupe trouve ses origines dans le gouvernement américain qui a collaboré avec le gouvernement britannique pour contourner l’utilisation du renseignement lié à la menace cybernétique, affirmant qu’un cerveau humain est piratable de la même façon, donc les mêmes principes qui sont utilisés pour protéger les ordinateurs des piratages doivent être appliqués pour protéger les humains du piratage intellectuel.
C’est là qu’a commencé à émerger l’idée de la sécurité cognitive.
Ces dossiers expliquent comment le gouvernement américain a contourné la loi en utilisant le secteur privé pour censurer et attaquer, en diffamant les personnes divergeant de la rhétorique. Ces dossiers révèlent aussi les méthodes utilisées par ce groupe obscur qui utilisait de faux comptes ou carrément des visages créés par l’intelligence artificielle afin de contrôler le discours et d’attaquer toute forme d’opposition.
On apprend aussi que des formations pour créer des influenceurs ont eu lieu, et ces influenceurs ont été utilisés comme armes pour défendre le discours. On apprend aussi l’existence d’individus qui servaient à infiltrer des groupes d’opposition dans le but de les détourner ou de collecter de l’information de l’intérieur.
Les dossiers rendus publics par ce lanceur d’alerte ont pu être authentifiés et sont actuellement entre les mains du congrès dans le cadre d’une enquête concernant l’utilisation des réseaux sociaux et du secteur privé comme arme politique. Ce scandale dépasse celui de Twitter-Files et de Facebook-Files, car il en est à l’origine.
Ces dossiers expliquent parfaitement l’existence d’une industrie de la censure qui utilise des groupes d’individus qui sont là pour attaquer l’opposition sur les réseaux sociaux, des influenceurs formés pour « influencer » l’opinion publique dans la mauvaise direction (Thomas Durant, William Audureau), des fact-checkeurs tels que Julien Pain, mais aussi des entités plus centrales comme Tristan Mendes France, Rudy Reichstadt et aussi des institutions comme la Mivilude. Évidemment, l’implication des réseaux sociaux, des médias traditionnels et du secteur privé y est également mentionnée.
On apprend par ailleurs qu’Emmanuel Macron a été un fervent utilisateur de ce protocole de censure pour contrôler le discours en France, aidé par les médias traditionnels et toutes les entités mentionnées ci-dessus.
Beaucoup de choses deviennent claires grâce à ces dossiers apportés par ce lanceur d’alerte qui nous permettent de comprendre ce qui s’est passé au cours des quatre dernières années concernant la COVID, mais pas seulement.
Il est de notre devoir en tant qu’êtres humains de rendre ces informations publiques et de les mettre sous les yeux de tous afin que le public comprenne ce qui se joue en arrière-plan de tout ce cirque politiquo-médiatique.
Avant de commencer, il est important de se rappeler certaines choses à propos de la relation entre la liberté d’expression et l’industrie de la censure en France, car ce qui suit dans cette article/vidéo, est en lien direct avec la corruption des institutions, et le concept polarisant de la pensée unique, que certains défendent à tous prix. Voici 2 articles à lire absolument pour bien comprendre pourquoi, nous sommes là devant le plus grand scandale lié à la liberté d’expression depuis carrément l’Allemagne nazi (et je pèse bien mes mots).
Blanchiment d’informations, l’entreprise des factcheckeurs exposée
Les factcheckeurs ne sont rien d’autre que des ‘tueurs’ (d’image publique) à gage, payés par des commanditaires malsains. Nous faisons un récapitulatif et nous vous demandons de partager au maximum.
Big Tech et Fact-checkeurs, même combat ! (Collusions et collaborations) (VIDÉO)
Connaissez-vous les Twitter Files. Il s’agit de révélations concernant une collusion entre le Parti démocrate américain, le FBI et Twitter, pour censurer toute forme d’opposition politique ou autre.
La semaine dernière, je vous ai proposé de regarder ce film (qu‘e j’insiste, qu’il faut le regarder, et surtout, le conseiller à tous ceux qui croient encore que les gouvernements sont au service du peuple) :
Katharine Gun, employée des renseignements britanniques, reçoit une note de la NSA : les États-Unis sollicitent l’aide de la Grande-Bretagne pour rassembler des informations compromettantes sur certains membres du Conseil de sécurité de l’ONU et les obliger à voter en faveur de l’invasion. Gun prend alors la décision de divulguer le mémo à la presse afin d’empêcher la guerre.
Source : Allociné
Ce film devient pertinent à nouveau car il semblerait que les États-Unis et l’Angleterre ont remis une nouvelle couche à la manipulation des masses pour des raisons criminelles. Accrochez-vous, ça va secouer pas mal. Voici l’origine des Twitter Files, Facebook Files, Youtube Files, et tous les « files » qui parlent de censure forcée par les gouvernements, à travers un plan machiavélique. Les documents qui exposent cette vérité absurde, mais vérité, sont des document officiels et authentiques, rendus publiques par un lanceur d’alerte.
THE CTIL FILES
Thread original datant du 28/11/23 par Michael Shellenberger
LES DOSSIERS CTIL (« CTIL-FILES ») #1
NDLR : Cyber Threat Intelligence : Service des Renseignements sur les Cyber-menaces
Un lanceur d’alerte vient de présenter une nouvelle série de documents explosifs, dont l’ampleur et l’importance ne sont pas encore pleinement compréhensibles. L’article ci-dessous que j’ai adapté pour la France, parle de tous les contournements intellectuels et légaux qui ont été utilisés, pour mettre en place une machine industrielle de censure agressive, qui a été utilisé par l’ensemble de l’occident. On en parle parce que ce scandale implique aussi la France, qui semble avoir utilisé ce protocole complexe de censure (médias, factcheckeurs, secteur privé…) au bénéfice d’Emmanuel Macron aussi. Le nom du président français est mentionné dans le dossier, en tant qu’un des plus gros utilisateurs de « la machine » industrielle de censure.
Il est important de noter que les éléments ci-dessous ont été apportés au Congrès américain, lors d’une audience qui a eu lieu le jeudi 30 Novembre 2023, donc le sujet est à prendre très au sérieux :
"WASHINGTON, D.C. – La sous-commission spéciale qui enquête sur l’utilisation du gouvernement fédéral comme arme politique tiendra une audition le jeudi 30 novembre 2023, à 10 heures (heure de l’Est). L’audition, qui aura lieu un an après le premier rapport Twitter Files, examinera l’implication du gouvernement fédéral dans la censure des médias sociaux, ainsi que les récentes attaques contre le journalisme indépendant et la liberté d’expression.
TÉMOINS :
Matt Taibbi, journaliste et auteur des Twitter Files – Michael Shellenberger, journaliste, auteur et écologiste – Rupa Subramanya, journaliste basé au Canada pour The Free Press et d’autres médias.
Dossiers CTIL #1 : Les entrepreneurs militaires américains et britanniques ont créé un vaste plan de censure mondiale en 2018, selon de nouveaux documents
Un lanceur d’alerte met à la disposition du public et du racket une foule de nouveaux documents montrant la la naissance du complexe industriel de la censure en réaction au Brexit et à l’élection de Trump en 2016
L’entrepreneur militaire américain Pablo Breuer (à gauche), la chercheuse en défense britannique Sara-Jayne « SJ » Terp (au centre), et Chris Krebs , ancien directeur de l’Agence de cybersécurité et de sécurité des infrastructures du ministère américain de la sécurité intérieure (DHS–CISA). de la sécurité intérieure des États-Unis (DHS–CISA).
CTIL Files #1 : De nouveaux documents montrent que les entrepreneurs militaires américains et britanniques ont créé un vaste plan de censure mondiale en 2018
Par @shellenberger @galexybrane @mtaibbi :
Un lanceur d’alerte s’est présenté avec une nouvelle série de documents explosifs, rivalisant ou dépassant les Twitter Files et les Facebook Files en termes d’ampleur et d’importance. Ils décrivent les activités d’un groupe « anti-désinformation » appelé Cyber Threat Intelligence League (CTIL ) (Ligue du renseignement sur les cyber-menaces), qui a officiellement débuté en tant que projet bénévole de scientifiques des données et de vétérans de la défense et du renseignement, mais dont les tactiques semblent avoir été absorbées au fil du temps par de multiples projets officiels, y compris ceux du ministère de la sécurité intérieure (DHS ).
Les documents de la CTI League offrent les réponses du chaînon manquant aux questions clés qui n’ont pas été abordées dans les Twitter Files et les Facebook Files. Ensemble, ils offrent une image complète de la naissance du secteur de la « lutte contre la désinformation », ou de ce que nous avons appelé le complexe industriel de la censure.
Code of Conduct | CTI League
This Code of Conduct explains expectations for anyone participating in these discussion groups and activities, and defines the consequences of unacceptable…
Les documents du lanceur d’alerte décrivent tout, de la genèse des programmes modernes de censure numérique au rôle de l’armée et des agences de renseignement, en passant par les partenariats avec les organisations de la société civile et les médias commerciaux, et l’utilisation de multi-compte (sock puppet ) et d’autres techniques offensives.
Un document explique que si de telles activités à l’étranger sont « généralement » menées par « la CIA , la NSA et le ministère de la défense », les efforts de censure « contre les Américains » doivent être menés par des partenaires privés parce que le gouvernement n’en a pas « l’autorité légale ».
Le lanceur d’alerte allègue qu’un dirigeant de CTI League , un « ancien » analyste du renseignement britannique, était « dans la pièce » à la Maison Blanche d’Obama en 2017 lorsqu’elle a reçu les instructions pour créer un projet de contre-désinformation afin d’empêcher une « répétition de 2016. »
Au cours de l’année écoulée, les enquêteurs du Congrès et d’autres ont documenté la montée du complexe industriel de la censure, un réseau de plus de 100 agences gouvernementales et organisations non gouvernementales qui travaillent ensemble pour inciter les plateformes de réseaux sociaux à la censure et diffuser de la propagande sur des personnes, des sujets et des récits entiers défavorisés.
L’Agence pour la cybersécurité et la sécurité de l’information (CISA) du ministère américain de la sécurité intérieure a été le centre de gravité d’une grande partie de la censure, la fondation nationale pour la science finançant le développement d’outils de censure et de désinformation et d’autres agences du gouvernement fédéral jouant un rôle de soutien.
Les courriels des ONG et réseaux sociaux partenaires de la CISA montrent que celle-ci a créé le Election Integrity Partnership (EIP) (Partenariat pour l’intégrité des élections) en 2020, qui impliquait le Stanford Internet Observatory (SIO) (l‘Observatoire de l’Internet de Stanford) et d’autres sous-traitants du gouvernement américain. L’EIP et son successeur, le Virality Project (VP), ont exhorté Twitter, Facebook et d’autres plateformes à censurer les publications sur les réseaux sociaux des citoyens ordinaires comme des élus.
Malgré les preuves accablantes de la censure parrainée par le gouvernement, l’origine de l’idée d’une telle censure de masse n’a pas encore été déterminée. En 2018, Renee DiResta, fonctionnaire de l’AIR et ancienne collaboratrice de la CIA, a fait la une des journaux nationaux avant et après avoir témoigné devant le Sénat américain de l’ingérence du gouvernement russe dans l’élection de 2016.
Mais que s’est-il passé entre 2018 et le printemps 2020 ? L’année 2019 a été un trou noir dans les recherches du complexe industriel de la censure jusqu’à présent. Lorsque l’un d’entre nous, Michael, a témoigné devant la Chambre des représentants des États-Unis au sujet du complexe industriel de la censure en mars de cette année, l’année entière était absente de sa chronologie.
Une date de début précoce pour le complexe industriel de la censure
Aujourd’hui, un grand nombre de nouveaux documents, notamment des documents stratégiques, des vidéos de formation, des présentations et des messages internes, révèlent qu’en 2019, des sous-traitants des services militaires et de renseignement des États-Unis et du Royaume-Uni, dirigés par une ancienne chercheuse de la défense britannique, Sara-Jayne « SJ » Terp , ont mis au point le cadre général de la censure. Ces sous-traitants ont codirigé le CTIL, qui s’est associé à la CISA au printemps 2020.
En vérité, la construction du complexe industriel de la censure a commencé encore plus tôt – en 2018.
Des messages Slack internes de CTIL montrent que Terp, ses collègues et des fonctionnaires du DHS et de Facebook travaillent tous en étroite collaboration dans le processus de censure.
Le cadre du CTIL et le modèle public-privé sont les germes de ce que les États-Unis et le Royaume-Uni allaient mettre en place en 2020 et 2021, notamment le masquage de la censure au sein des institutions de cybersécurité et des programmes de contre-désinformation ; une forte concentration sur l’arrêt des récits défavorisés, et pas seulement des faits erronés ; et la pression exercée sur les plateformes de médias sociaux pour qu’elles retirent des informations ou prennent d’autres mesures afin d’empêcher le contenu de devenir viral.
Au printemps 2020, le CTIL a commencé à suivre et à signaler les contenus désavoués sur les réseaux sociaux, tels que les récits anti-confinement comme « tous les emplois sont essentiels », « nous ne resterons pas à la maison » et « ouvrez l’Amérique maintenant. » Dans le cadre de ces efforts, le CTIL a créé un canal destiné aux forces de l’ordre pour signaler les contenus. L’organisation a également fait des recherches sur les individus qui postent des hashtags anti-confinement comme #freeCA et a tenu une feuille de calcul avec des détails de leurs bios Twitter. Le groupe a également discuté de la demande de « takedowns » (Suppression) et du signalement de nom de domaines de sites web aux bureaux d’enregistrement.
L’approche du CTIL en matière de désinformation allait bien au-delà de la censure. Les documents montrent que le groupe s’est engagé dans des opérations offensives pour influencer l’opinion publique, en discutant des moyens de promouvoir des « contre-messages », de coopter des hashtags , de diluer des messages défavorables, de créer des comptes de marionnettes fictives et d’infiltrer des groupes privés sur invitation uniquement.
Dans une liste de questions suggérées pour l’enquête, CTIL propose de demander aux membres ou aux membres potentiels :
« Avez-vous déjà travaillé sur des opérations d’influence (par exemple, désinformation, discours haineux, autres préjudices numériques, etc). L’enquête demandait ensuite si ces opérations d’influence comprenaient des « mesures actives » et des « opérations psychologiques ».
Ces documents nous sont parvenus par l’intermédiaire d’un lanceur d’alerte très crédible. Nous avons pu en vérifier la légitimité de manière indépendante en recoupant les informations avec des sources accessibles au public. Le lanceur d’alerte a déclaré avoir été recruté pour participer à la CTIL lors de réunions mensuelles sur la cybersécurité organisées par le DHS.
Le FBI s’est refusé à tout commentaire. La CISA n’a pas répondu à notre demande de commentaire. Terp et les autres principaux dirigeants du CTIL n’ont pas non plus répondu à nos demandes de commentaires.
Mais une personne impliquée, Bonnie Smalley , a répondu sur Linked In, en disant :
« Tout ce que je peux dire, c’est que j’ai rejoint la ligue CTI, qui n’est affiliée à aucune organisation gouvernementale, parce que je voulais lutter contre « les injections d’eau de Javel » en ligne pendant la Covid….. Je peux vous assurer que nous n’avons rien à voir avec le gouvernement ».
Pourtant, les documents suggèrent que des employés du gouvernement étaient des membres engagés du CTIL. Justin Frappier, qui travaillait pour le DHS, était extrêmement actif au sein du CTIL, participant à des réunions régulières et dirigeant des formations.
Le but ultime du CTIL, a déclaré le lanceur d’alerte, « était de faire partie du gouvernement fédéral. Lors de nos réunions hebdomadaires, ils nous expliquaient clairement qu’ils construisaient ces organisations au sein du gouvernement fédéral, et que si vous construisiez la première itération, nous pourrions vous trouver un emploi ».
Le plan de Terp, dont elle a fait part lors de présentations à des groupes de sécurité de l’information et de cybersécurité en 2019, consistait à créer des « communautés Misinfosec (Mésinformation ) » qui incluraient le gouvernement.
Les archives publiques et les documents du lanceur d’alerte suggèrent qu’elle y est parvenue. En avril 2020, Chris Krebs, alors directeur de la CISA, a annoncé sur Twitter et dans de multiples articles, que la CISA s’associait à CTIL. « Il s’agit en réalité d’un échange d’informations », a déclaré Chris Krebs.
Les documents montrent également que Terp et ses collègues, par l’intermédiaire d’un groupe appelé MisinfoSec Working Group (Groupe de travail de Mésinformation), dont faisait partie DiResta, ont créé une stratégie de censure, d’influence et de lutte contre la désinformation appelée Adversarial Misinformation and Influence Tactics and Techniques (AMITT) (Tactiques et Techniques de Désinformation et d’Influence Adverses). Ils ont rédigé AMITT en adaptant un cadre de cybersécurité développé par MITRE , une importante entreprise de défense et de renseignement qui dispose d’un budget annuel de 1 à 2 milliards de dollars financé par le gouvernement.
Terp a ensuite utilisé AMITT pour développer le cadre DISARM, que l’Organisation mondiale de la santé (OMS ) a ensuite utilisé pour « contrer les campagnes anti-vaccination à travers l’Europe ».
Un élément clé du travail de Terp à travers CTIL, MisinfoSec et AMITT a été d’insérer le concept de « sécurité cognitive » (en gros, si notre cerveau peut-être piraté, il a besoin d’une « sécurité ») dans les domaines de la cybersécurité et de la sécurité de l’information.
L’ensemble des documents donne une image claire d’un effort hautement coordonné et sophistiqué des gouvernements américain et britannique pour mettre en place un effort de censure national et des opérations d’influence similaires à celles qu’ils ont utilisées dans des pays étrangers. À un moment donné, Terp a ouvertement fait référence à son travail « en arrière-plan » sur les questions de réseaux sociaux liées au Printemps arabe . Une autre fois, selon le lanceur d’alerte, elle a exprimé sa propre surprise apparente à l’idée d’utiliser de telles tactiques, élaborées pour des ressortissants étrangers, contre des citoyens américains.
Selon le lanceur d’alerte, environ 12 à 20 personnes actives impliquées dans le CTIL travaillaient au FBI ou à la CISA. « Pendant un certain temps, ils avaient le sceau de leur agence – FBI, CISA, peu importe – à côté de leur nom », sur le service de messagerie Slack, a déclaré le lanceur d’alerte. Terp « avait un badge CISA qui a disparu à un moment donné », a précisé le lanceur d’alerte.
Les ambitions des pionniers du complexe industriel de la censure en 2020 allaient bien au-delà du simple fait d’exhorter Twitter à apposer une étiquette d’avertissement sur les tweets ou à inscrire des personnes sur des listes noires.
Le cadre d’AMITT appelle à discréditer les individus comme condition préalable à la demande de censure à leur encontre. Il préconise la formation d’influenceurs pour diffuser des messages (pour la France, pensez à l’arrivée des William Audureau (Les Décodeurs du Monde), La Tronche en Biais, Antoine Daoust, et toute la fachosphère qui pretend posseder la vérité unique…). La chronologie du travail de CISA avec CTIL, qui a précédé son travail avec EIP et VP, suggère fortement que le modèle des opérations de censure public-privé peut avoir été créé à partir d’un cadre créé à l’origine par des entrepreneurs militaires. De plus, les techniques et le matériel décrits par le CTIL ressemblent beaucoup au matériel créé plus tard par la Countering Foreign Intelligence Task Force et l’équipe Mis-, Dis-, and Maliformation (Mésinformation/Désinformation/Malinformation )de la CISA.
Fausses informations | |
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Désinformation | La désinformation est une information qui est fausse, et la personne qui la diffuse sait qu’elle est fausse. «C’est un mensonge délibéré et intentionnel, qui montre que les gens sont activement désinformés par des acteurs malveillants». |
Mésinformation | La mésinformation est une information qui est fausse, mais la personne qui la diffuse pense qu’elle est vraie. |
Malinformation | La malinformation est une information qui se fonde sur la réalité, mais qui est utilisée pour porter préjudice à une personne, une organisation ou un pays. |
À présent, nous devons examiner de plus près ce qui s’est passé en 2018 et 2019, menant à la création de CTIL, ainsi que le rôle clé de ce groupe dans la formation et la croissance du complexe industriel de la censure.
COVID-19 CTI League
SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLI, CogSecCollab)
@Ici – groupe de lecture dans un peu plus d’une heure… BigBook indique que nous sommes sur le livre de Thomas Rid « Active Measures » Chapitres 1 & 2″ aujourd’hui…US Macmillan
Mesures actives | Thomas Rid | Macmillan
« Cette histoire révélatrice et dramatique de la désinformation retrace la montée en puissance des opérations secrètes de tromperie organisées depuis l’entre-deux-guerres jusqu’à nos jours. de la période de l’entre-deux-guerres jusqu’à l’époque contemporaine. contemporaine…«Bonnie L Smalley
OH J’ai parlé à mon médecin de l’AAPS et elle a été horrifiée.SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLI, CogSecCollab)
Ah oui. Tant de travail à faire.Bonnie L Smalley
Je connais beaucoup de gens du milieu médical grâce à mon travail contre Dupont , donc le fait d’exposer au grand jour les objectifs de cette organisation de merde leur ouvre les yeux, et maintenant je commence à découvrir que certains des professionnels de la médecine qui ont dit que cette substance et cette chose chez Dupont étaient tout à fait acceptables, sont ou étaient associés à l’AAPS. Ce groupe m’aide donc dans mon autre croisade.SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLI, CogSecCollab)
Bien.Justin Frappier – Disinformation Team – Incident Management Team Lead a été ajouté à disinformation-triage par SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLI, CogSecCollab).
SJ Terp (CTI League Admin Disinformation) (BodaceaLl, CogSecColab)
Oui, oui. Je sais. C’est bien ficelé, j’ai vérifié.Justin Frappier – Disinformation Team – Incident Management Team Lead
MDR, bonjour depuis l’autre coté.
« Bénévoles » et « anciens » agents du gouvernement
Bloomberg, le Washington Post et d’autres ont publié des articles crédules au printemps 2020, affirmant que la CTI League était simplement un groupe d’experts bénévoles en cybersécurité. Ses fondateurs étaient : un « ancien » agent du renseignement israélien, Ohad Zaidenberg ; un « responsable de la sécurité » de Microsoft , Nate Warfield ; et le chef des opérations de sécurité de DEF CON, une convention de pirates informatiques, Marc Rogers . Les articles affirment que ces professionnels de la cybercriminalité hautement qualifiés ont décidé d’aider des hôpitaux d’une valeur d’un milliard de dollars, sur leur temps libre et sans rémunération, pour des raisons strictement altruistes.
En un mois seulement, de la mi-mars à la mi-avril, le CTIL, censé être entièrement bénévole, comptait « 1.400 membres approuvés dans 76 pays et dans 45 secteurs différents », avait « aidé à démanteler légalement 2 833 actifs cybercriminels sur Internet, dont 17 conçus pour usurper l’identité d’organisations gouvernementales, des Nations unies et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS ) » et avait « identifié plus de 2.000 vulnérabilités dans des établissements de soins de santé de plus de 80 pays ».
À chaque occasion, les hommes (travaillant pour CTIL) ont souligné qu’ils étaient simplement des bénévoles motivés par l’altruisme.
« Je savais que je devais faire quelque chose pour aider », a déclaré M. Zaidenberg. « Il y a un appétit très fort pour faire le bien dans la communauté », a déclaré Rogers lors d’un séminaire en ligne de l’Institut Aspen .
Pourtant, l’un des objectifs clairs des dirigeants du CTIL était de renforcer le soutien à la censure au sein des institutions chargées de la sécurité nationale et de la cybersécurité. À cette fin, ils ont cherché à promouvoir l’idée de « sécurité cognitive » pour justifier l’implication du gouvernement dans les activités de censure. « La sécurité cognitive est la chose que vous voulez avoir », a déclaré M. Terp lors d’un podcast en 2019. « Vous voulez protéger cette couche cognitive. Fondamentalement, il s’agit de pollution. La désinformation est une forme de pollution sur Internet. »
Terp et Pablo Breuer, un autre dirigeant du CTIL, comme Zaidenberg, avaient des antécédents militaires et étaient d’anciens entrepreneurs militaires. Tous deux ont travaillé pour SOFWERX, « un projet de collaboration entre le commandement des forces spéciales américaines et l’Institut Doolittle ». Ce dernier transfère au secteur privé la technologie de l’armée de l’air, par l’intermédiaire du laboratoire de ressources de l’armée de l’air.
Selon la biographie de Mme Terp sur le site web d’une société de conseil qu’elle a créée avec M. Breuer, « elle a enseigné la science des données à l’université de Columbia , a été directrice technique de l’équipe « big data » des Nations unies, a conçu des algorithmes d’apprentissage automatique et des systèmes de véhicules sans pilote pour le ministère britannique de la défense ».
Pablo Breuer est un ancien commandant de la marine américaine. Selon sa biographie, il a été « directeur militaire du groupe Donovan du Commandement des opérations spéciales des États-Unis, conseiller militaire principal et responsable de l’innovation auprès de SOFWERX , de l’Agence nationale de sécurité et du Commandement cybernétique des États-Unis, ainsi que directeur du C4 au Commandement central des forces navales des États-Unis ». Sur sa page LinkedIn , Breuer est indiqué comme ayant été dans la marine lors de la création de CTIL.
En juin, 2018, Terp a assisté à un exercice militaire de dix jours organisé par le US Special Operations Command , où elle dit avoir rencontré Breuer pour la première fois et discuté des campagnes de désinformation modernes sur les réseaux sociaux. Wired a résumé les conclusions qu’ils ont tirées de leur réunion : « Ils ont réalisé que la désinformation pouvait être traitée de la même manière : comme un problème de cybersécurité. C’est ainsi qu’ils ont créé CogSec avec David Perlman et un autre collègue, Thaddeus Grugq , à leur tête. En 2019, Terp a coprésidé le groupe de travail Misinfosec au sein de CogSec.
Breuer a admis dans un podcast que son objectif était d’amener les tactiques militaires à être utilisées sur les réseaux sociaux aux États-Unis. « Je porte deux chapeaux », a-t-il expliqué. « Je suis le directeur militaire du Donovan Group et l’un des deux responsables de l’innovation chez Sofwerx , une organisation à but non lucratif 501c3 non classifiée, financée par le commandement des opérations spéciales des États-Unis.
M. Breuer a ensuite décrit la manière dont ils pensaient contourner le premier amendement. Son travail avec Terp, a-t-il expliqué, était un moyen de réunir des « partenaires non traditionnels dans une même pièce », y compris « peut-être quelqu’un de l’une des sociétés de réseaux sociaux, peut-être quelques opérateurs des forces spéciales, et quelques personnes du département de la sécurité intérieure… pour parler dans un environnement ouvert, sans attribution, de manière non classifiée, afin que nous puissions collaborer mieux, plus librement et vraiment commencer à changer la façon dont nous abordons certaines de ces questions. »
Le rapport Misinfosec préconise une censure gouvernementale radicale et une contre-mésinformation. Au cours des six premiers mois de 2019, les auteurs disent avoir analysé des « incidents », développé un système de signalement et partagé leur vision de la censure avec « de nombreux États, traités et ONG « .
Dans chaque incident mentionné, les victimes de la désinformation appartenaient à la gauche politique, et il s’agissait notamment de Barack Obama, John Podesta, Hillary Clinton et Emmanuel Macron.
Le rapport n’a pas caché que les deux tremblements de terre politiques de 2016 l’ont motivé à lutter contre la désinformation : Le Brexit et l’élection de Trump.
« Une étude des antécédents de ces événements nous a amenés à réaliser qu’il y a quelque chose de déréglé dans notre paysage de l’information », ont écrit Terp et ses coauteurs. « Les idiots utiles et les cinquièmes colonnes habituels – auxquels s’ajoutent désormais des robots automatisés, des cyborgs et des trolls humains – s’emploient à manipuler l’opinion publique, à attiser l’indignation, à semer le doute et à ébranler la confiance dans nos institutions. Et maintenant, ce sont nos cerveaux qui sont piratés ».
Là, vous avez un cas typique d’inversion accusatoire, où Terp et ses coauteurs met sur le dos des innocents, les crimes contre la liberté qu’ils commettent eux-mêmes.
Le rapport Misinfosec se concentre sur les informations qui « modifient les croyances » par le biais de « récits » et recommande de contrer la désinformation en s’attaquant à des maillons spécifiques d’une « chaîne de mise à mort » ou d’une chaîne d’influence à partir de l' »incident » de désinformation avant qu’il ne devienne un récit à part entier.
Le rapport déplore que les gouvernements et les grands médias n’aient plus le contrôle total de l’information. « Pendant longtemps, la capacité d’atteindre un public de masse appartenait à l’État-nation (par exemple, aux États-Unis, par le biais des licences de diffusion accordées à ABC , CBS et NBC ). «
Un rappel important et pertinent :
« Aujourd’hui, cependant, le contrôle des instruments d’information a été dévolu aux grandes entreprises technologiques qui se sont montrées complaisantes et complices, en facilitant l’accès au public pour les opérateurs d’information à une fraction de ce que cela leur aurait coûté par d’autres moyens » dit Terp. En gros, elle regrette le fait que nous pouvons utiliser les réseaux sociaux pour echanger de l’information.
Les auteurs préconisent l’implication de la police, de l’armée et des services de renseignement dans la censure, dans tous les pays de la zone des cinq yeux, et suggèrent même l’implication d’Interpol .
Five Eyes (littéralement « Cinq yeux », traduit comme Groupe des cinq par la Défense canadienne), abrégé FVEY pour la classification, désigne l’alliance des services de renseignement de l’Australie, du Canada, de la Nouvelle-Zélande, du Royaume-Uni et des États-Unis.
Source
Le rapport propose un plan pour AMITT et pour la collaboration en matière de sécurité, de renseignement et d’application de la loi, et plaide pour une mise en œuvre immédiate. « Nous n’avons pas besoin, et nous ne pouvons pas nous permettre, d’attendre 27 ans pour que le cadre AMITT (Adversarial Misinformation and Influence Tactics and Techniques – Tactiques et techniques de désinformation et d’influence adverses) soit mis en œuvre.
Les auteurs préconisent de placer les efforts de censure dans le cadre de la « cybersécurité », tout en reconnaissant que la « sécurité de la désinformation » est totalement différente de la cybersécurité. Ils ont écrit que le troisième pilier de « l’environnement informationnel », après la sécurité physique et la cybersécurité, devrait être « la dimension cognitive ».
Le rapport souligne la nécessité d’une sorte de pré-bunking pour « vacciner préventivement une population vulnérable contre les messages ». Le rapport souligne également la possibilité d’utiliser les Centres de Partage et d’Analyse de l’Information (ISAC) financés par le ministère de la sécurité intérieure pour orchestrer la censure publique-privée, et affirme que ces ISAC devraient être utilisés pour promouvoir la confiance dans le gouvernement.
C’est ici que nous voyons l’idée de l’EIP et du VP : « Bien que les réseaux sociaux ne soient pas identifiés comme un secteur critique et ne remplissent donc pas les conditions requises pour un ISAC, un ISAC de désinformation pourrait et devrait alimenter les ISAC en indications et en avertissements. »
Le point de vue de M. Terp sur la « désinformation » est ouvertement politique.
« La plupart des informations erronées sont en fait vraies », a noté M. Terp dans le podcast de 2019, mais elles sont placées dans le mauvais contexte. Terp explique avec éloquence la stratégie consistant à utiliser les efforts de « lutte contre la désinformation » pour mener des opérations d’influence.
« La plupart du temps, vous n’essayez pas de faire croire à des mensonges. La plupart du temps, vous essayez de modifier leurs croyances. Et en fait, plus profondément, vous essayez de changer, de modifier leurs récits internes… l’ensemble des récits qui constituent la base de votre culture. Cela pourrait donc être la base de votre culture en tant qu’Américain ».
À l’automne, Terp et d’autres ont cherché à promouvoir leur rapport. Le podcast que Terp a réalisé avec Breuer en 2019 est un exemple de cet effort. Ensemble, Terp et Breuer ont décrit le modèle « public-privé » de blanchiment de la censure que le DHS, l’EIP et le VP allaient adopter.
Breuer a parlé librement, déclarant ouvertement que le contrôle de l’information et de la narration qu’il avait à l’esprit était comparable à celui mis en œuvre par le gouvernement chinois, mais qu’il était plus acceptable pour les Américains (et occidentaux en général). « Si vous parlez au citoyen chinois moyen, il est absolument convaincu que la Grande Muraille de Chine n’est pas là pour censurer. Ils pensent qu’elle est là parce que le Parti Communiste Chinois veut protéger les citoyens et ils sont absolument convaincus que c’est une bonne chose. Si le gouvernement américain essayait de faire passer ce message, nous perdrions la tête et nous dirions :
« Non, non, il s’agit d’une violation de nos droits au titre du premier amendement ».
Les messages du groupe intérieur et ceux du groupe extérieur doivent donc être souvent différents.
L’ENVIRONNEMENT DE L’INFORMATION
Dimension physique | – Où l’environnement de l’information et le monde physique se chevauchent – Systèmes d’information et réseaux – Caractéristiques principales : ordinateurs et systèmes de communication, et infrastructures de soutien |
Dimension informationnelle | – Lieu de collecte, de traitement, de stockage, de diffusion, d’affichage et de protection de l’information. – Double nature – l’information elle-même et le support – Liens entre les dimensions physiques et cognitives – Caractéristiques clés : contenu et flux de l’information, qualité de l’information flux, qualité de l’information – Lieu de la prise de décision automatisée |
Dimension cognitive | – Lieu de la prise de décision automatisée – Dimension des éléments intangibles tels que la morale, la cohésion de l’unité, l’opinion publique, la connaissance de la situation. – Caractéristiques clés : perceptions, émotions, sensibilisation et compréhension |
« L’école de Poudlard de la désinformation »
« SJ nous appelait l' »école Poudlard de la désinformation et des fausses informations » », raconte le lanceur d’alerte. « Ils étaient les super-héros de leur propre histoire. Et à cet effet, vous pouvez toujours trouver des bandes dessinées sur le site de la CISA ».
La CTIL, selon le lanceur d’alerte, « avait besoin de programmeurs pour décortiquer les informations provenant de Twitter, Facebook et YouTube. Pour Twitter, ils ont créé un code Python afin de récupérer les informations.
Les dossiers du CTIL fournis par le lanceur d’alerte illustrent exactement la façon dont le CTIL fonctionnait et suivait les « incidents », ainsi que ce qu’il considérait comme de la « désinformation ». Ils ont repéré les affiches appelant à des manifestations contre le confinement comme des artefacts de désinformation.
« Nous aurions dû le voir venir », ont-ils écrit à propos des manifestations. « En fin de compte, pouvons-nous arrêter la propagation, avons-nous suffisamment de preuves pour arrêter les super propagateurs et y a-t-il d’autres choses que nous pouvons faire (y a-t-il des contre-messagers que nous pouvons envoyer par ping, etc. »
Le CTIL a également réfléchi à des contre-messages pour encourager les gens à porter des masques, par exemple, et a discuté de la création d’un réseau d’amplification. « La répétition est la vérité », a déclaré un membre du CTIL lors d’une formation.
Le CTIL a travaillé avec d’autres personnalités et groupes du complexe industriel de la censure. Les notes de réunion indiquent que l’équipe de Graphika a envisagé d’adopter AMITT et que le CTIL souhaitait consulter DiResta pour obtenir des plateformes qu’elles suppriment des contenus plus rapidement.
Lorsqu’on lui a demandé si Terp ou d’autres dirigeants de CTIL avaient discuté de leur violation potentielle du premier amendement, le lanceur d’alerte a déclaré :
« Ils ne l’ont pas fait… L’éthique était que si nous nous en tirons, c’est légal, et qu’il n’y a pas de problèmes liés au premier amendement parce que nous avons un ‘partenariat public-privé’ – c’est le mot qu’ils ont utilisé pour dissimuler ces problèmes. Les personnes privées peuvent faire des choses que les fonctionnaires ne peuvent pas faire, et les fonctionnaires peuvent assurer la direction et la coordination ».
Malgré leur confiance dans la légalité de leurs activités, certains membres du CTIL ont pu prendre des mesures extrêmes pour garder leur identité secrète. Le manuel du groupe recommande d’utiliser des téléphones jetables, de créer des identités pseudonymes et de générer de faux visages d’IA à l’aide du site Web « this-person-does-not-exist » (« Cette personne n’existe pas« ).
En juin 2020, indique le lanceur d’alerte, le groupe secret a pris des mesures pour dissimuler encore plus leurs activités (juste avant la campagne de vaccination donc).
Un mois plus tard, en juillet 2020, le directeur du SIO, Alex Stamos, a envoyé un courriel à Kate Starbird du Center for an Informed Public de l’université de Washington, dans lequel il écrit :
« Nous travaillons sur certaines idées de surveillance des élections avec la CISA et j’aimerais avoir vos commentaires informels avant que nous n’allions trop loin dans cette voie […]. . . . [Ce qui aurait dû être assemblé il y a un an est en train de se mettre en place rapidement cette semaine ».
Cet été là, la CISA a également créé la Countering Foreign Influence Task Force, dont les mesures reflètent les méthodes du CTIL/AMITT et comprennent un « vrai faux » roman graphique qui, selon le lanceur d’alerte, a d’abord été présenté au sein du CTIL.
Le cadre « DISARM », inspiré par AMITT, a été officiellement adopté par l’Union européenne et les États-Unis dans le cadre d’une « norme commune pour l’échange d’informations structurées sur les menaces de manipulation et d’interférence de l’information étrangère ».
Jusqu’à présent, les détails des activités du CTIL n’ont guère retenu l’attention, même si le groupe a fait l’objet d’une publicité en 2020. En septembre 2020, Wired a publié un article sur le CTIL qui se lit comme un communiqué de presse d’entreprise. L’article, comme les articles de Bloomberg et du Washington Post au printemps, accepte sans discussion que le CTIL soit réellement un réseau « bénévole » d' »anciens » fonctionnaires des services de renseignement du monde entier.
Mais contrairement aux articles de Bloomberg et du Washington Post, Wired décrit également le travail de « lutte contre la désinformation » du CTIL. Le journaliste de Wired ne cite aucun détracteur des activités du CTIL, mais suggère que certains pourraient y voir un problème. « Je l’interroge [Marc Rogers, cofondateur du CTIL] sur l’idée de considérer la désinformation comme une cyber-menace.
« Tous ces mauvais acteurs essaient de faire la même chose », répond M. Rogers. Selon lui, le lien entre la prévention de la cybercriminalité et la « lutte contre la désinformation » est fondamentalement le même, car il s’agit dans les deux cas de lutter contre ce que le DHS et la CTI League appellent les « acteurs malveillants », synonymes de « méchants ».
« Comme Terp, Rogers adopte une approche holistique de la cybersécurité », explique l’article de Wired. « Il y a d’abord la sécurité physique, comme le vol de données d’un ordinateur sur une clé USB. Ensuite, il y a ce que nous appelons généralement la cybersécurité, c’est-à-dire la protection des réseaux et des appareils contre les intrusions indésirables. Enfin, il y a ce que Rogers et Terp appellent la sécurité cognitive, qui consiste essentiellement à pirater des personnes en utilisant des informations ou, plus souvent, des informations erronées. »
Le CTIL semble avoir fait parler de lui au printemps et à l’automne 2020 pour la même raison que l’EIP : prétendre plus tard que son travail avait été fait au grand jour et que quiconque suggérait qu’il était secret s’engageait dans une théorie du complot.
Global Volunteer Cyberthreat Community-CERT | CTI League
The CTI League is the first Global Volunteer Community-CERT, defending and neutralizing cybersecurity threats and vulnerabilities to the life-saving sectors related to the current COVID-19 pandemic.
« Le Partenariat pour l’intégrité des élections a toujours fonctionné de manière ouverte et transparente », a affirmé l’EIP en octobre 2022. « Nous avons publié de nombreux articles de blog publics pendant la période précédant l’élection de 2020, organisé des webinaires quotidiens immédiatement avant et après l’élection, et publié nos résultats dans un rapport final de 290 pages et dans plusieurs revues académiques évaluées par des pairs. Toute insinuation selon laquelle les informations sur nos opérations ou nos résultats étaient secrètes jusqu’à présent est réfutée par les deux années de contenu public et gratuit que nous avons créées ».
Mais comme les messages internes l’ont révélé, une grande partie de ce que l’EIP a fait était secrète, ainsi que partisane, et exigeant la censure des plateformes de réseaux sociaux, contrairement à ses affirmations contraires.
L’EIP et le VP ont ostensiblement pris fin, mais le CTIL est apparemment toujours actif aujourd’hui. Plusieurs de ses membres mentionnent le CTIL comme une organisation toujours active sur leurs pages LinkedIn .
Poster « A »
Si les commandes pour rester à la maison sont prolongées au-delà du 30 avril, notre économie ne se relèvera pas, notre économie ne se redressera pas. Il n’y a pas assez de pour soutenir les chômeurs américains. chômeurs. Rejoignez-moi et d’autres Américains pour rouvrir notre économie. Les décès des répercussions de l’économie dépasseront surpasseront de manière exorbitante les décès dus au virus lui-même. #NousNeResteronsPasÀLaMaison
Fin des confinements
Marche mondiale pour la libertéSamedi 2 mai 2020 de 14h à 17h
Dans tous les hôtels de ville, les parcs publics et les centres-villes dans tous les pays : organisez votre famille et vos amis et venez tout simplement ! Filmez et marchez dans vos rues. Sortez et montrez-leur que nous ne vivrons pas dans la peur. Vivre dans la peur. Téléchargez vos histoires car nous sommes plus nombreux qu’eux !
Si vous renoncez à vos libertés vous risquez de ne pas les retrouver
Poster « B »
Fin des confinements
Marche mondiale pour la liberté
Dimanche 12 avril, de 14h à 17h
Dans chaque mairie, piazza de village ou mairie dans tous les pays : organisez des amis et montrez-vous, filmez, défilez dans vos rues & téléchargez vos histoires parce que nous sommes plus nombreux qu’eux !!!*
Si vous renoncez à vos libertés vous risquez de ne pas les retrouver
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Processus d’incident de désinformation
Alerte
- Humains (groupes, flux)
- Slack (Incident go/nogo)
Organisation et analyse
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Action
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Calendrier du WT
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Création du GT et énoncé de mission - Février 20119
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Création d’une liste d’incidents - Avril 2019
Création d’une liste de techniques - Mai 2019
Atelier de l’équipe rouge - Juin 2019
AMITT affiné - Juillet 2019
Mise en ligne du repo d’AMITT - Août 2019
Présentation BlackHat - Septembre 2019
STIX SEP entre en vigueur - Octobre 2019
Remplissage de la liste des compteurs - Novembre 2019
Atelier de l’équipe bleue - Décembre 2019
Affiner les compteurs
J’ai hâte de témoigner devant le Congrès, ce jeudi, sur la menace claire et actuelle que représente le complexe industriel de la censure pour les États-Unis d’Amérique et les autres démocraties libérales occidentales, et sur la manière dont nous pouvons y mettre un terme.
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