Coup de tonnerre à l'ONU, lorsque la lettre de la ministre sud-africaine des Affaires étrangères Maite NKoama-Mashabane est arrivé entre les mains des fonctionnaires à New York. L'Afrique du Sud quitte la Cour Pénale Internationale et de ce fait, se retire également du traité de Rome. La cause ? Parce que l'Afrique du Sud avait accueillit un dignitaire africain recherché par mandat d'arrêt (en l'occurrence le président soudanais Omar el-Béchir) le CPI avait fait les gros yeux envers l'état sud africain. Mais les autorités sud africaines en ont eut assez de voir fonctionné le CPI lorsqu'il s'agit de pays du continent africain, alors que dans d'autres pays, d'autres criminels de guerre, des responsables politiques sont tout aussi méritant de devoir répondre de leurs actes devant le tribunal, au même titre que celui qu'on lui réclame. Sauf que la CPI a forcément des influences occidentales qui font qu'on ne va pas chercher là ou il faut aller chercher, préférant accablé systématiquement des personnalités africaines, souvent, et c'est un hasard sans doute, anciennement des petits protégés d'occidentaux qui étaient bien content de les voir prendre le pouvoir. L'Afrique du Sud en a eut assez de cette dominance occidentale sur la CPI et a décidé de quitter définitivement l'organisation. Un pied de nez et non des moindres pour un pays qui rappelons le, reste une cible politique des occidentaux, du fait d'être l'un des BRICS qui résiste à la domination de l'empire.
http://www.la-croix.com/Monde/Afrique/L-Afrique-du-Sud-quitte-la-CPI-2016-10-21-1200798020
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire