lundi 6 février 2017

TRUMP VS GLOBALISTES


L'instrument étant en place, il faut maintenant le poussé a commettre se pourquoi il est là. Car Trump est isolé, seul, le cul assit entre deux chaises. D'un coté un système américain bi partisme, dans lequel il a fait son trou au mépris d'une majorité de ténors, qui on jouer la carte de l'opportunisme pour reprendre le pouvoir. De l'autre, un establishment et un état profond, qui tentent de préservé les intérêts de l'empire, face aux mondialistes. Car si les objectifs des deux entités sont les mêmes, c'est évidement une lutte de pouvoir qui s'engage. Si l'un veux imposé sa loi au profit de ses partenaires (une sorte de cheval de Troie) l'autre considère le principe d'état nation comme désuet, tous comme la souveraineté populaire, qu'il veut voir assimilé en une seule entité dirigé par une autorité unique, et non démocratique. Si l'un considère son pays comme le tremplin d'un monde nouveau, dit "nouvel ordre mondial", l'autre ne veut pas de cette suprématie américaine sur le monde. Une fois que vous avez compris les enjeux, il n'est pas difficile de comprendre l'intérêt des uns, de mettre en place une politique de terre brûlé pour pousser à la guerre, et les autres, utiliser un président aussi impopulaire que Trump, pour diviser et provoquer au mieux, la scission d'une nation pour ne pas dire, provoquer une guerre civile. Et de fait, mettre à terre la grande amérique et transférer les pouvoirs ailleurs. D'ou l'intérêt de l'élite empirique américaine, de mettre les devant pour provoquer un nouveau conflit mondial, concentré en Europe et en Asie, pour comme les fois précédentes, tiré profit de l'affaiblissement des autres pour son enrichissement et son renforcement personnel. A ceci prêt que ces élites en sont réduit a admettre le sacrifice même de sa nation, qu'elle croit pouvoir reconstruire en cas de nucléarisation du conflit. Après tous, ne reconnaît on pas aux américains cette capacité a se relevé de toutes formes de catastrophes. Ce que les mondialistes, eux, ne souhaitent pas avoir a géré. La globalisation passe par la destruction interne des nations, non pas par des conflits entre elles. L'Europe de l'Union étant l'exemple le plus avancé dans ce domaine. Car si socialement et culturellement la situation est explosive, c'est par l'apport en interne d'éléments perturbateurs, et non de conflit entre nation. Car en effet, chaque peuples européens historiques et souverains sont confrontés aux mêmes ennemis de l'intérieur, et n'ont aucune aversion ni animosité entre eux. Bien au contraire, on les soumets à une volonté de division interne, et non de conflit externe.
Un jeu qui à l'origine voulait détruire la souveraineté des états nations pour les pousser à un fédéralisme à l'américaine, mais les différences culturelles et de langues ont été des obstacles, et a pousser à une solution plus radicale et expéditive. Seul problème, c'est que dans le jeu, les mondialistes n'ont pas voulu laisser les américains prendre les commandes. Il aura fallut un attentat le 11 septembre 2001 pour provoqué la rupture entre deux mondes, qui sont désormais bien décidé a ce combattre coûte que coûte. L'un s'affaiblissant par sa trop grande confiance en lui, l'autre se renforçant par l'émergence d'autres puissances économiques qui sont tout autant décidé a ne pas laisser le dollars, la bannière étoilé, prendre les commande d'un nouvel ordre mondiale. 
Trump est donc aujourd'hui en face d'une situation extrêmement dangereuse, entre son incompétences et son inexpérience en sociale et en géopolitique, doublé de conseillés tout aussi scabreux qu'incapables et incompétents, quant ce ne sont pas des infiltrés qui le poignarderont dans le dos à la première occasion, on est en effet en proie a pensée que Trump est en effet le bon client des globalistes, qui ont bien l'intention de le poussé a faire n'importe quoi, pour provoquer au sein de la population américaine, la division et la scission souhaité, et pourquoi pas, dans un élan miraculeux de sentiment révolutionnaire, provoquer une guerre civile, une sécession de certains états, bref, l'affaiblissement organisé d'une nation en péril.

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