Nouvelle affaire de mort lors d'une interpellation à Minneapolis. George Floyd devient la Nième victime d'un usage disproportionnée de la force pour les uns, d'une procédure légale qui tourne mal pour les autres. Et évidemment, le mouvement "Black Mater" va reprendre de plus belle.
"I can't breathe."— AJ+ (@ajplus) May 26, 2020
A Black man in Minneapolis died after pleading for his life as a white officer knelt on his neck. He was later identified as #GeorgeFloyd. pic.twitter.com/CNE3LhDSo9
Huge protests have broken out in the streets of Minneapolis over the killing of #GeorgeFloyd by Minneapolis police pic.twitter.com/kXSIt4vLcy— philip lewis (@Phil_Lewis_) May 27, 2020
A better look at the crowd size of the Minneapolis march for #GeorgeFloyd pic.twitter.com/u0pg0hf4bD— Ryan Faircloth (@RyanFaircloth) May 26, 2020
They Going Crazy In Minneapolis Rn💯👏🏾 #ICantBreathe #GeorgeFloyd #BlackLivesMatter pic.twitter.com/6efmPeDMa1— SOLLY THE BANKBOY🏦🐍❤️.® (@SollyBandz_) May 26, 2020
NDL : Le point de rupture a été déjà dépassé sur ce genre d'affaire. Car au vu de la violence de certains individus face souvent à la police (il suffit de voir les innombrables vidéos embarquées publiées par les autorités américaines sur des banales interventions qui tournent vite au drame) les procédure de mis en sécurité des officiers sont claires et nettes. Tant que l'individu n'est pas entravé, toutes les techniques d'immobilisations sont légale. La seule différence étant que l'officier est seul responsable de la mesure de la force à employer. Dans le cas Floyd, les circonstances de son arrestation devront être mise en lumière afin de déterminé si Floyd a montré de la résistance ou non.
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