Ce qui est formidable aujourd'hui, c'est que les secteurs de la santé public ne se cachent même plus devant le peuple, pour clairement vouloir imposer le produit non concluant des laboratoires pharmaceutiques, dont on se doute bien qu'il y a en coulisse non seulement des conflits d'intérêts évidents, mais en plus des enjeux financiers colossaux. La preuve que la santé des gens n'est plus une affaire éthique, mais bien de gros sous. Et le professeurs Raoult, quoi qu'il ait pu faire, a clairement obliger des responsables a lever le voile sur cette évidence.
A noter que le professeur Raoult vient d'annoncer que des rapports dans des hôpitaux de Détroit, alors que le Michigan à été l'un des états les plus touchés, rendent compte de résultat très positifs sur l'usage de la chloroquine. Rappelons qu'aux USA, il n'y a pas encore d'obligation ou d'ordre donner pour interdire l'Hydroxychloroquine et que les médecins ont encore la liberté de prescrire ce qu'ils veulent. La seule issue étant évidemment que la majorités des hôpitaux sont privé et que les directions de ses hôpitaux seront très vite "convaincu" lucrativement de faire en sorte que le Remdesivir soit la seule issue à envisager. Ce qui veut dire que certains médecins pourraient faire en sorte d'hospitaliser des malades du COVID19, ne les traitant pas à temps avec la chloroquine et attendant une aggravation de l'état pour justifier l'usage du Remdesivir. Ce qui posera un autre gros problème..... l'alourdissement de la facture faite aux patients, et des risques que les assurances santés ne jouent pas le jeu vu les coûts exorbitants que ceux ci impliqueront.
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