vendredi 31 mars 2023
L'IMAGE
La dernière photo connue de Julian Assange. Un homme qui entrera à la postérité un jour, lorsque ses tortionnaires seront soit sous des verrous soit 6 pieds sous terre.
ELLE COURT
L’inflation commence à ralentir en zone euro, la France suivra-t-elle le mouvement ?
PAS TRANQUILLE
JO 2024 : l’armée s’inquiète d’être appelée en renfort pour assurer la sécurité
GUERRE DE CLASSES
Parce qu'aux USA, l'eau dans certains états, c'est comme de l'or. Tant que les américains sont alimenté, avec une eau de qualité, à prix accessible, c'est l'assurance qu'on ne risque pas des révolutions. Mais lorsqu'il y a une crise de l'eau, chacun accepte son rôle. Sauf les riches, qui eux, ont comme un passe droit pour continuer a remplir piscines et arroser jardin privés comme communs.
jeudi 30 mars 2023
FAITES DES RESERVES
Inflation: Michel-Édouard Leclerc affirme que les trois prochains mois vont être "difficiles" pic.twitter.com/ZpypP37iAE
— BFMTV (@BFMTV) March 29, 2023
RIFIFI
Énorme, le discours de Murielle Morand au Congrès CGT. 👏 pic.twitter.com/cuSAfa8gzW
— Caisses de grève (@caissesdegreve) March 28, 2023
NE MARCHE PAS ?
Décidément, pas de bol !
Le ministre de l’Air Force américaine, Frank Kendall, l’un des hommes forts du Pentagone, a annoncé mardi que les données nécessaires n’ont pas été obtenues suite au dernier test de l’arme hypersonique ARRW (Air-Launched Rapid Response Weapon). "Ce test que nous venons de passer n’a pas réussi. Nous n’avons pas obtenu les données dont nous avons besoin à partir de ce test", a-t-il déclaré. Les spécialistes mènent actuellement une analyse des résultats de cet essai qui s’est avéré infructueux.
CUPIDITE
Notre enquête, menée conjointement avec « L’Œil du 20 heures » de France 2 diffusé ce mercredi 29 mars, dévoile les dessous d’un mystérieux fonds gouvernemental lancé par Marlène Schiappa. Une des associations subventionnées, celle qui a décroché la plus grosse dotation, a parfois eu un intrigant usage des deniers publics…
mercredi 29 mars 2023
BIG BROTHER
Parce qu'elle a publier un post sur un réseau social en appelant Macron d'ordure, elle a été identifiée et la police est venue la cueillir chez elle.....
PROTEGER SON CUL
La panique climatique de l'ONU relève plus de la politique que de la science
https://judithcurry.com/2023/03/28/uns-climate-panic-is-more-politics-than-science/
Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) a publié un nouveau rapport de synthèse, en fanfare avec le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres :
« La bombe à retardement climatique est en marche, mais le dernier rapport du GIEC montre que nous avons les connaissances et les ressources nécessaires pour faire face à la crise climatique. Nous devons agir maintenant pour assurer une planète vivable à l'avenir.
Le nouveau rapport du GIEC est une synthèse des trois rapports qui constituent le sixième rapport d'évaluation, plus trois rapports spéciaux. Ce rapport de synthèse n'introduit aucune nouvelle information ou découverte. Bien que les rapports du GIEC contiennent de bons éléments, le résumé à l'intention des décideurs pour le rapport de synthèse met l'accent sur des conclusions faiblement justifiées sur les impacts climatiques induits par des scénarios d'émissions extrêmes et des recommandations politiques politisées sur les réductions d'émissions.
La découverte la plus importante des 5 dernières années est que les scénarios d'émissions extrêmes RCP8.5 et SSP5-8.5, communément appelés scénarios « business-as-usual », sont désormais largement reconnus comme invraisemblables. Ces scénarios extrêmes ont été abandonnés par la Conférence des Parties à l'Accord des Nations Unies sur le climat. Cependant, le nouveau rapport de synthèse continue de mettre l'accent sur ces scénarios extrêmes, tandis que cette importante découverte est enterrée dans une note de bas de page :
"Les scénarios d'émissions très élevées sont devenus moins probables mais ne peuvent être exclus."
Les scénarios d'émissions extrêmes sont associés à des projections alarmantes de réchauffement de 4 à 5 oC d'ici 2100. La plus récente Conférence des Parties (COP27) travaille à partir d'une projection de température de référence basée sur un scénario d'émissions moyennes de 2,5 oC d' ici 2100. Étant donné qu'un réchauffement de 1,2 oC s'est déjà produit par rapport à la période de référence à la fin du 19e siècle , la quantité de réchauffement projetée pour le reste du 21e siècle dans le cadre du scénario d'émissions moyennes ne représente qu'environ un tiers des projections de réchauffement dans le cadre de l'extrême scénario d'émissions.
Le rapport de synthèse met l'accent sur les « pertes et préjudices » comme une raison centrale pour laquelle une action est nécessaire. Il est donc difficile d'exagérer l'importance du changement dans les attentes concernant les futurs événements météorologiques extrêmes et l'élévation du niveau de la mer, qui est associé au rejet des scénarios d'émissions extrêmes. Le rejet de ces scénarios extrêmes a rendu obsolète une grande partie de la littérature et des évaluations des impacts climatiques de la dernière décennie, qui se sont concentrées sur ces scénarios. En particulier, le scénario d'émissions extrêmes domine les impacts qui figurent en bonne place dans le nouveau rapport de synthèse.
De toute évidence, la « crise » climatique n'est plus ce qu'elle était. Plutôt que de reconnaître ce fait comme une bonne nouvelle, le GIEC et les responsables de l'ONU doublent leur « alarme » concernant l'urgence de réduire les émissions en éliminant les combustibles fossiles. Vous pourriez penser que si le réchauffement est inférieur à ce que nous pensions, alors les priorités passeraient des réductions d'émissions à la réduction de notre vulnérabilité aux conditions météorologiques et climatiques extrêmes. Cependant, cela n'a pas été le cas.
Le GIEC a été qualifié de « monopole du savoir », avec son autorité dominante dans les délibérations de l'ONU sur le climat. Le GIEC affirme qu'il est "neutre sur le plan politique" et "jamais normatif sur le plan politique". Cependant, le GIEC s'est éloigné de son rôle d'évaluation de la littérature scientifique à l'appui de l'élaboration des politiques. L'ensemble du cadrage des rapports du GIEC tourne désormais autour de l'atténuation du changement climatique par la réduction des émissions.
Non seulement le GIEC a de plus en plus adopté une position de plaidoyer politique explicite, mais il induit en erreur les décideurs politiques en mettant l'accent sur les résultats climatiques extrêmes motivés par les scénarios d'émissions extrêmes invraisemblables. Avec son plaidoyer politique explicite, combiné à des informations trompeuses, le GIEC risque de perdre sa position privilégiée dans les débats politiques internationaux.
L'impact de ces rapports alarmants du GIEC et de la rhétorique des responsables de l'ONU est le suivant. Le changement climatique est devenu un grand récit dans lequel le changement climatique causé par l'homme est devenu une cause dominante des problèmes de société. Tout ce qui ne va pas renforce la conviction qu'il n'y a qu'une chose que nous pouvons faire pour prévenir les problèmes de société : arrêter de brûler des combustibles fossiles. Ce grand récit nous amène à penser que si nous résolvons le problème de la combustion des combustibles fossiles, alors ces autres problèmes seraient également résolus. Cette croyance nous éloigne d'une enquête plus approfondie sur les véritables causes de ces autres problèmes. Le résultat final est un rétrécissement des points de vue et des options politiques que nous sommes disposés à considérer pour traiter des questions complexes telles que les systèmes énergétiques, les ressources en eau, la santé publique, les catastrophes météorologiques et la sécurité nationale.
Les rapports du GIEC sont devenus une science du climat « autocollante » - faisant une déclaration politique tout en utilisant la réputation générale de la science pour donner autorité à un consensus politiquement fabriqué.
REVOLUTION
Vers l’Europe des révoltes?
On se rappelle comme Emmanuel Macron avait fustigé, dans un discours au Danemark, les « Gaulois réfractaires ». C’était fin août 2018. A l’époque, Emmanuel Macron se vivait encore, malgré l’affaire Benalla, comme le chef de file des « réformateurs » européens: entendez, comme celui qui était le plus zélé pour aligner de force la société français sur les standards du progressisme occidental. Ensuite, il y a eu la crise des Gilets Jaunes et une première réforme manquée des retraites – dont le débat fut opportunément interrompu par la « pandémie ». Et entre-temps, Emmanuel Macron a a été réélu.
Cependant, le retour d’une contestation française massive trouve un écho dans le reste du monde. Les milieux dirigeants et médiatiques des grands pays occidentaux ont le choix entre brûler ce qu’ils ont adoré – « le président qui allait moderniser la France » – ou rentrer dans un silence gêné. Tandis que sur les réseaux sociaux, on trouve de nombreux soutien de la révolte française. Comme nous le mentionnions hier, le hashtag FranceProtests est le lieu de convergence des internautes français et étrangers qui soutiennent le mouvement.
Le plus important, cependant, c’est que l’on voit poindre une révolte généralisée. On pourrait d’ailleurs y ranger l’immense mouvement de protestation qui vient de soulever la société israélienne pendant 24 heures, obligeant le Premier Ministre israélien à repousser sa réforme de la justice: Benjamin Netanyahou, vétéran de la politique israélienne, a déjà été Premier ministre entre 1996 et 1999, alors que Bill Clinton, celui qui avait lancé l’ère progressiste, effectuait son second mandat de président. Vingt-cinq ans plus tard, Netanyahou a visiblement été dépassé par l’avènement d’un nouveau monde. Les progressistes – y compris les néoconservateurs – sont devenus la caste et ils sont désormais universellement dénoncés comme liberticides.
Mais concentrons-nous sut l’Europe des révoltes, notre environnement immédiat.
Grande-Bretagne, Allemagne: le retour des grèves!
« La Grande-Bretagne connaît sa plus grande vague de grèves depuis une génération » titrait justement le média internet lescrises.fr il y a quelques jours. Peu de monde en parle mais les gouvernements britanniques sont confrontées, depuis un an à des mouvents sociaux de longue durée, avec des journées de grève récurrentes, largement approuvées par la population britannique: à 65% pour la grève des infirmières, à 62% pour les ambulanciers, 55% pour les pompiers et 49% pour les enseignants.
Tournons-nous vers l’Allemagne: Ulrike Reisner vous présentait samedi 25 mars les divisions internes d’une coalition gouvernementale qui ne sait comment mettre en oeuvre budgétairement son programme au moment où l’augmentation des factures énergétiques et l’inflation font diminuer le pouvoir d’achat.
Ce 27 mars, l’Allemagne a été confrontée à une « méga-grève » (disent les médias allemands dans le secteur des transport: grève du rail, aéroports fermés, transports en commun au ralenti dans les villes…Des manifestations ont eu lieu dans toutes les métropoles du pays. Les grèvistes demandent une augmentation de 10% des salaires, alors que le patronat dans le secteur des transports, ne propose que 5%. Une position qui sera difficile à tenir puisque les salariés de la Deutsche Post ont obtenu 11% il y a quelques jours.
Pour ceux qui sont habitués à ce que la Grande-Bretagne d’après Margaret Thatcher soit un pays « sans grèves »; ou qui connaissent la tendance des syndicats allemands à n’utiliser la grève qu’en dernier recours, il se passe quelque chose en Europe!
Une crise inattendue de la caste en Europe du Nord?
Là encore, les clichés sont remis en cause. Que n’a-t-on entendu, à Bruxelles à Berlin ou à La Haye, railler le « Club Med », l’Europe du Sud (dans laquelle on mettait la France) peu sérieuse, en particulier budgétairement! Emmanuel Macron n’avait-il pas insulté les « Gaulois réfractaires », ses propres concitoyens, depuis Copenhague?
Eh bien, il semble que ce soit précisément cette Europe du Nord qui commence à douter. Après l’Allemagne et la Grande-Bretagne, mentionnons le cas des Pays-Bas. Les élections provinciales ont été dominées par une surprise dont, évidemment, nos médias subventionnés, vous ont très peu parlé: au sénat néerlandais, le mouvement citoyen paysan (BBB) est passé d’aucun à 15 sièges (sur 75), devenant ainsi le premier parti. Le quatre partis du gouvernement sont tombés de 32 à 23 sièges, une défaite pour le premier-ministre Mark Rutte.
Une lourde défaite aussi pour l’écologie progressiste! Pour réduire de moitié les émissions d’azote d’ici à 2030, le gouvernement a voulu faire diminuer le nombre d’exploitations agricoles, en procédant à des fermetures forcées. Après trois ans de manifestations répétées, l’opinion des paysans néerlandais à trouvé une traduction politique.
Le cas du soulèvement des agriculteurs néerlandais montre que le mouvement progressiste, qui a réussi à s’emparer de tant de leviers de pouvoir, et dont Macron est le porte-parole français, peut être vaincu politiquement.
Mentionnons un autre exemple, plus inattendu, d’ébranlement de la caste en Europe du Nord. On sait que l’Eglise catholique, sous l’impulsion du très progressiste pape François, est tentée de passer un compromis historique avec la morale hyper-individualiste des progressistes obsédés par le « gender » et les revendications très formatées des réseaux LGBTetc… – les évêques allemands sont à la pointe de ce progressisme-là.
Que l’on aime ou non la morale catholique traditionnelle, elle met l’accent sur la solidarité entre les générations et la protection des individus au sein d’une communauté – la famille traditionnelle. C’est ce que viennent de rappeler bruyamment les évêques catholiques suédois, danois, finnois, islandais et norvégiens, qui reprochent, dans une lettre rendue publique, à leurs confrères allemands et mezzo voce au Vatican, d’avoir perdu de vue le service des pauvres et la protection des individus fragilisés par la mondialisation au profit d’une complaisance envers les obsessions de moeurs et les marottes intellectuelles de la caste.
La journée du 28 mars et la radicalisation de l’opinion française
Retour en France où gouvernement comme syndicats préparent la journée de mobilisation nationale du 28 mars.
Le gouvernement essaie de jouer l’intimidation, en annonçant un déploiement inédit de 13 000 policiers. Placée dans la perspective de l’arrogante manière dont Emmanuel Macron a tenté de préempter ce 27 mars le vote du Conseil Constitutionnel; ou des fausses concessions d’Elisabeth Borne, les annonces du Ministère de l’Intérieur relèvent de la menace pure et simple.
Comme il est peu probable que les remontrances du Conseil de l’Europe sur les atteintes aux libertés fondamentales des manifestants intéressent Emmanuel Macron, on peut penser que tout se jouera sur la capacité de mobilisation de l’intersyndicale.
Le Courrier des Stratèges vous avait annoncé qu’Emmanuel Macron n’arriverait pas à faire passer la réforme au parlement. Or, loin d’assumer son échec, le Président a choisi le 49.3, c’est-à-dire le déni et la fuite en avant. Et depuis le 16 mars, lui-même ou les membres de son gouvernement ne cessent de multiplier les provocations.
L’élection législative partielle dans l’Ariège, qui verra deux candidats de gauche s’affronter à l’issue du premier tour de ce dimanche 26 mars, amène pourtant à pronostiquer une radicalisation de l’opinion – et ceci d’autant plus que le troisième candidat, lors de ce premier tour, est celui du Rassemblement national, qui n’a manqué que de peu le second tour.L’opinion protestataire ne se laisse pas intimider. C’est plutôt le « parti de l’ordre » (macroniens, LR) qui est en pleine débandade – tandis qu’Eric Zemmour, faute de se souvenir que la liberté est au coeur de l’identité française, se condamne à ne plus peser politiquement.
On assiste surtout à une démobilisation de l’électorat macronien de premier tour – divisé par deux en Ariège dimanche 26 mars – et à un retournement contre le Président de son électorat de deuxième tour: tous ceux qui voyaient dans Macron un « rempart contre l’extrême droite ». Autant dire qu’il est peu probable que le Président arrive à reprendre la main à l’issue de la journée de demain.
Une nouvelle ère politique a commencé où l’on ne voit pas encore bien comment l’intersyndicale, la gauche et le Rassemblement National vont canaliser tout ou partie d’un mouvement social qui a pris sa dynamique propre.
CHIFFRES
L’ONU annonce une surmortalité de 23,6 millions en 3 ans dont 16,9 millions pour raisons « inconnues »
Les données catastrophiques que nous publions ici sont des données publiques et officielles de l’ONU. On les trouve dans ses tables électroniques sur la population mondiale.
Elles sont très librement téléchargeables mais ne sont pas consultables en ligne. On les rencontre uniquement en chiffre dans les tableurs et seulement si on les cherche avec soin. Rien ne les relate dans les derniers écrits de l’ONU sur la population et les mouvements qui l’animent. Rien n’invite à leur investigation. Rien n’en est dit dans les presses officielles ou parallèles qui ne lisent au demeurant que les rapports sur papier glacé, rebutent à la consultation des données brutes, s’évitent l’inutile contrôle de cohérence entre les propos et les nombres même lorsqu’il s’agit de démographie.À strictement parler, elles ne sont en aucune façon censurées mais simplement omises des écrans, des commentaires et des esprits délicats. Un peu comme « La lettre volée » de Edgar Alan Poe, bien qu’en vue, ces données de salut public sont logées avec soin hors de portée du savoir public. On confie pour cela dans la paresse à aller les débusquer de la part de ceux qui risquent bientôt de se faire happer par inadvertance ou par peur de la peur en plus grand nombre encore. Nous en fournissons ci-dessous une copie d’écran fragmentaire à mode de preuve, sans surlignage ni manipulation. Mais nous exhortons néanmoins quiconque à les auditer personnellement après téléchargement sur le site de l’ONU.
Elles sont en effet si épouvantablement au-delà de ce que, bercés d’illusions idéologiques sur notre suprématie savante, l’on peut aujourd’hui imaginer et si politiquement incorrectes en ce qu’elles incriminent d’office non seulement la campagne vaccinale mais également toutes les mesures toxiques de confinement, de distanciation, de désocialisation qui ont accru la misère matérielle et affective un peu partout dans le monde, qu’elles poussent d’instinct à les rejeter, à les méjuger sans enquêter, à les prendre d’emblée pour de la désinformation et des « fake news ».
Quelques clics suffisent pourtant à les constater à l’ONU. Quelques clics et un peu d’arithmétique suffisent à comprendre qu’au lieu de 175,9 millions de morts « normaux » attendus en 3 ans de 2020 à 2022, il y en a eu 199,5 millions. Ce sont là au moins 23,6 millions de trop parmi lesquels on ne trouve « que » 6,7 millions pour « Covid » si l’on en croit l’OMS. Ces 23,6 millions de victimes supplémentaires qui somment plus que la boucherie de la Première Guerre mondiale et en moins de temps, sont les rebuts abjects de l’omnisciente technocratie politico-médicale dont l’œuvre macabre s’est déroulée à l’opposé des intentions claironnées de protection et de sauvegarde de la santé publique universelle. Ces montagnes de cadavres indicibles sont les cobayes sacrifiés d’une guerre avide déclenchée mais non déclarée contre la « surpopulation ». Ce sont les victimes que l’on cache et que l’on ne commémore surtout pas. À quoi bon risquer d’échapper à l’hécatombe majeure qui se préfigure là en éveillant les consciences ?
Avec la croissance de la population mondiale, l’augmentation moyenne « naturelle » de la mortalité planétaire de 2010 à 2019 a été d’environ 400 mille morts supplémentaires par an. Par contre respectivement à l’année 2019, la mortalité supplémentaire en 2020 a été de 5,2 millions, de 11,3 millions en 2021 et pour 2022 l’Onu l’attend, mais cela pourrait être pire, de 9,1 millions. En données brutes un excédent macabre de 25,7 millions de morts s’est abattu sur le monde. En données nettes la surmortalité « effective » est un peu moindre et s’élève à environ 23,6 millions si l’on retranche 2,1 millions de morts « naturels » requis par la croissance démographique, soustrayant là par excès de prudence 700 mille décès « naturels » de plus par an au lieu de 400 mille.
De ces 23,6 millions de morts excédentaires 72% au moins ne sont pas couverts par le « Covid ».
Les années vaccinales 2021 et 2022 consacrent la faillite pharmacologique et la réussite toxique.
source : AIPRI
PARCE QU'ILS N'ONT JAMAIS ARRETER
Le parquet national financier a perquisitionné ces établissements, dont BNP Paribas, Société générale et HSBC, suspectés d'avoir permis à des investisseurs étrangers d'échapper à l'impôt sur les dividendes.
DECLIN
En toile de fond des luttes sociales, l'analyse d'un an de crimes et délits montre que la banalisation de la violence gagne les villes moyennes, même hors du champ familial.
MAITRE A BORD
CFR : Le think tank privé qui contrôle les États-Unis ! Avec Pierre-Antoine Plaquevent
mardi 28 mars 2023
BLANCHIE
La bonne planque finalement
Coup de théâtre : Von Der Leyen vient d’être totalement blanchie pour son rôle dans les contrats Covid signés avec Pfizer
MAUVAIS
BAD BUZZ
EUX, ONT REUSSIT
Une foule immense a envahi ce dimanche soir les rues de Tel-Aviv après le renvoi du ministre de la Défense israélien.
«BIBI DÉGAGE!»
1984
Les jeux de 2024 vont permettre de légaliser ce qu'en temps normal il aurait fallut dix ans à faire avaler à la république sur la surveillance de ses citoyens.
ECHEC
L’histoire jugera sans doute avec beaucoup de sévérité notre aventure douteuse vers les voitures électriques.
Tout d’abord les fabriquer est un fiasco environnemental, car sur le cycle de production entier du véhicule, la pollution est certes délocalisée dans des pays que nous ne regardons pas, mais elle est bien réelle et largement pire que celle engendrée par un véhicule thermique.
Mais ce n’est pas tout.
Un jour il faudra recycler toutes ces bonnes batteries, enfin celles qui n’auront pas été accidentées ou qui n’auront pas brûlé.
C’est l’agence Reuters qui aux Etats-Unis s’est fendue d’un très long article dans lequel elle explique par le menu que pour de nombreux véhicules électriques, il n’y a aucun moyen de réparer ou d’évaluer les batteries même légèrement endommagées après un accident, ce qui oblige les compagnies d’assurance à détruire des voitures qui parfois n’ont que quelques kilomètres, ce qui entraîne des primes plus élevées et réduit considérablement les gains de passer à l’électrique.
« Nous achetons des voitures électriques pour des raisons de durabilité », a déclaré Matthew Avery, directeur de recherche chez Thatcham Research, société de renseignement sur les risques automobiles. « Mais un véhicule électrique n’est pas très durable si vous devez jeter la batterie après une collision mineure. »
Les batteries peuvent coûter des dizaines de milliers de dollars et représenter jusqu’à 50 % du prix d’un véhicule électrique, ce qui rend souvent leur remplacement peu rentable.
Je vous le dis autrement.
Un véhicule électrique n’est presque pas réparable, alors côté écologie et économie circulaire c’est juste totalement raté.
Raté, comme cette volonté quasi religieuse d’électrifier le parc de véhicule.
Nous allons dans le mur avec cette stratégie qui est aussi stupide que nos éoliennes et nos panneaux solaires que l’Australie ne sait même pas comment recycler.
Charles SANNAT
Source agence de presse Reuters ici
EXPLOSION
Les républicains n'ont plus aucune légitimité dans l'échiquier politique. Ce parti n'existe que par l'arrivisme de ses têtes d'affiches.
49.3
Après la loi Travail de Muriel Penicaud en 2017 (plafonnement des indemnités prud'homales, primauté des accords d'entreprises sur les branches...), la réforme de l'apprentissage de 2018, la transformation du CICE en baisse de cotisation sur les bas salaires en 2019 ou encore les réformes de l'assurance chômage de 2019 puis de 2023, le gouvernement s'apprête à nouveau à légiférer sur le sujet de l'emploi.