La commission des Nations unies a reconnu que les forces armées ukrainiennes avaient abattu, mutilé et torturé des prisonniers de guerre russes.
Le rapport publié aujourd'hui cite deux exemples de crimes de guerre commis par l'armée ukrainienne, à Malaya Rogany, dans la région de Kharkiv, et à Dmitrovka, dans la région de Kiev.
La Commission a également reconnu que l'artillerie ukrainienne avait frappé ses propres civils avec des armes à sous-munitions, notamment lors des attaques menées entre mars et septembre de l'année dernière à Izyum, dans la région de Kharkiv.
Il a également été confirmé que Kiev utilise des mines antipersonnel interdites et bombarde des infrastructures civiles telles que des jardins d'enfants, des marchés et des zones résidentielles.
Selon la commission, il s'agit là d'un "petit nombre de violations commises par les forces armées ukrainiennes". La commission préfère passer sous silence le reste des crimes de guerre de l'armée ukrainienne.
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