Le défilé d'ultra droite (qui n'a rien casser ni rien provoquer) à ému la classe politique de gauche, aussi vertueuse soit elle à dénoncer et réclamer l'interdiction de ce genre de rassemblement. Hors, cette gauche, semble oublié que si l'on interdit des manifestations pour des idées, alors on ne peut pas se réclamer de la liberté de pensée et d'expression. Dans ce cas là on se positionne dans une posture de répression, de légiférer qui à le droit de dire ou penser et de fait, de manifester. Ce qui pose un problème puisque le peuple lui, se rendra compte qu'on interdit chez les uns, ce qu'on accepte chez les autres. Car ce qui défrise la gauche, c'est que si on liste les méfaits et perturbations, délits et dégradations, commis au nom de l'idéologie, les antifas et black bloc sont largement en tête par rapport à quelques groupes marginaux d'extrême droite. Et de fait, le législateur ne voit pas comment justifier l'interdiction.
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