samedi 30 avril 2016

IRAK, LA COLÈRE

En Irak, les conditions sécuritaires déplorables et une politique sociale et économique désastreuse, une session du parlement a finit par être interrompu par le mécontentement de la rue. En cause, un gouvernement incapable de gérer les problèmes.
Mais au fait, ce gouvernement ne serait il pas chiite ?
"Le gouvernement est actuellement dirigé par Haïder al-Abadi, à la tête d'une coalition dominée par les partis chiites. Dans un effort de répartition des rôles entre les trois principales communautés, l'exécutif est partagé entre trois personnes : le président Fouad Massoum est kurde, le Premier ministre est chiite, et le président du parlement sunnite. Chacune de ces têtes est entourées de deux adjoints, appartenant aux deux autres communautés. On note l'influence déterminante de deux personnalités religieuses issues de la communauté chiite : l’ayatollah Ali al-Sistani et Moqtada al-Sadr."
Maintenant vous comprenez la subtilité ?

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