mardi 26 avril 2016

REALISME

Oui, il arrive un moment ou la réalité dépasse l'imagerie collective imposé d'une mixité sociale possible entre tous. Car si "multiculturalisme" et "multiraciale" sont devenu des mots sacralisés dans la bouche de français souvent convaincus du bien fondé de cette avenir sociétale et d'humanisme incontestable, la réalité quotidienne rappel à l'ordre qu'il ne peu y avoir de multiculturalisme sans assimilation ou intégration aux valeurs soit des uns, ou des autres. Mais le vivre ensemble avec chacun ses moeurs, ses différences culturelles, ses coutumes, ne peu qu'amener a un choc civilisationnel, dont on a déjà les prémices évidents.
Mais pas besoins d'aller dans des banlieues, ou dans des quartiers communautaires pour se rendre compte que le bien fondé de ce qu'on croyait "saint" pour la société civilisée et moderne, s'avère en réalité un échec totale pour une partie de ces populations issues souvent de l'immigration. L'islam étant évidemment principalement visé, on en omet presque d'autres paramètres d'ordres culturelles, que des communautés ont importé en France, amenant forcément un décalage avec les moeurs et traditions occidentales. Un décalage sur lequel on a laisser faire, sans jamais remettre en question nos systèmes d'intégrations, peut-être trop laxiste a ne pas remettre les pendules a l'heures sur certaines pratiques. Pire, on en a presque légitimé les teneurs, sous prétextes de tolérances et d'acceptations de l'autre dans ses différences, même quant elles vont a l'encontre de règles fondamentales de laïcité et d'égalité dans la république.
On ne sera donc pas étonné, que parfois, ceux qui se prétendaient défendre ce multiculturalisme, se fassent rappeler a l'ordre par la réalité de terrain, faisant sombré leurs propres convictions sur le bien fondé de cette société multi ethnique, qui commence a partir un peu en queue de boudin, lorsque certains refusent d'assimilé le modèle occidentale comme mode de vie fondamentale a la bonne entente entre individus, sans non plus renier ses origines, qui peuvent parfaitement cohabité dans un domaine privé, adapté, réformé, modernisé a nos propres modes
de vie de pays occidentaux. Alors forcément, quant une "bobo" retourne dans un quartier qu'elle avait bien connu, le choc frontale avec une réalité rude et brute de décoffrage, bouscule les fondations même de sa perception idéalisé d'une assimilation ou d'une intégration qui montre de plus en plus un visage d'échec et de dérive.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire