Il y a des effets sur la campagne présidentielle américaine. Car en réalité, le Brexit est ouvertement une claque donné par un petit peuple, contre une élite. Alors que font les médias américains ? Ils tentent d'inversé des valeurs.
Pas plus tard qu'il y a quelques minutes, CBS annonçait un sondage conforté par celui NBC, ou Trump était écrasé par Clinton a 61% contre 21%, avec une estimation d'abstentions aux alentour de 20%.
Déjà, les dernières élections américains oscillait sur du 40% d'abstention, mais les médias américains estime que l'effet Trump va peut être poussé une catégorie d'abstentionnistes a aller faire du vote barrage contre lui. Car oui, l'establishment américain n'est pas tranquille, surtout depuis que le Brexit est finalement passé a cause majoritairement d'un vote populaire. Et ils ont peur que la balance "populaire" joue en faveur de Trump, tant en réalité, Clinton possède une cote d'impopularité non négligeable dans le bas de la classe moyenne et ouvrière, pour ne pas dire les fonds de tiroirs de l'électorat populaire. Car si certains instituts de sondages donnent certains états "mitigés" en faveurs des démocrates, les vrais chiffres restes sur des niveaux parfois très très serrer.
Pas plus tard qu'il y a quelques minutes, CBS annonçait un sondage conforté par celui NBC, ou Trump était écrasé par Clinton a 61% contre 21%, avec une estimation d'abstentions aux alentour de 20%.
Déjà, les dernières élections américains oscillait sur du 40% d'abstention, mais les médias américains estime que l'effet Trump va peut être poussé une catégorie d'abstentionnistes a aller faire du vote barrage contre lui. Car oui, l'establishment américain n'est pas tranquille, surtout depuis que le Brexit est finalement passé a cause majoritairement d'un vote populaire. Et ils ont peur que la balance "populaire" joue en faveur de Trump, tant en réalité, Clinton possède une cote d'impopularité non négligeable dans le bas de la classe moyenne et ouvrière, pour ne pas dire les fonds de tiroirs de l'électorat populaire. Car si certains instituts de sondages donnent certains états "mitigés" en faveurs des démocrates, les vrais chiffres restes sur des niveaux parfois très très serrer.
CNN/ORC sur la période du 16 au 19 juin donnait 47 pour Clinton 42 pour Trump, sur un panel de 891 personnes, alors qu'un mois plus tôt, ABC News/Wash Post sur un panel équivalent donnait 44 pour Clinton et 46 pour Trump. Même si très majoritairement les sondage donne gagnant Hillary Clinton, nous connaissons le fonctionnement en général des sondages qui ont souvent tendance a tenter de donner une tendance (voir une influence) sur l'électorat. En Grande Bretagne, les sondages sur le Brexit (souvent organisé par les mêmes organismes internationaux) ont majoritairement été complètement dans les choux.
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