jeudi 23 juin 2016

POUR MÉMOIRE

Ce que DeGaulle disait de l'intégration dans le marché commun de la Grande Bretagne. Déjà, à l'époque, les britanniques imposaient leurs règles et ne voulaient pas jouer dans la même cours. Ce qui résume a lui seul que le Brexit, ne sera sans doute pas une catastrophe pour l'Europe, mais certainement pour "L'Union". Cette "union" bureaucratique et technocratique qui va devoir trouver une solution pour compenser la perte du PIB de la Grande Bretagne dans le PIB de l'Union. Car c'est le seul intérêt "commun" qui c'est avéré compensé les exigences des britannique pendant ces 40 ans d'adhésion.
En résumé, aujourd'hui, on peu dire que la Grande Bretagne a tiré ses ficelles a son intérêt, mais que son refus de l'euro, ses exceptions aux règles du marché commun, son extraction de l'espace Schengen, en faisant finalement un partenaire qui n'était que le bras armée politique des USA, aux sein de l'union. Raison pour laquelle Washington ne veut pas voir la Grande Bretagne quitter l'union, car sinon, elle perdrait une infiltration dans les institutions européenne et non des moindres.

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