jeudi 26 janvier 2017

POUR OU CONTRE


Le "mur" est déjà celui de la honte pour les progressistes, une promesse de campagne respecté pour les autres (dans la mesure de l'engagement, après on verra dans les actes). Voici son discours ou il joue évidemment avec les mêmes armes que ses détracteurs : les aspects néfastes de l'immigration illégale accentué par l'émotionnelle avec des victimes des cette immigration, dont on remarquera le choix judicieux de gens d'origines hispaniques, afin de démontré que ce n'est pas une question de racisme, mais de lutte contre un fléau qui a aussi ses conséquences économiques. Car si des gens luttent pour accueillir une immigration massive, c'est qu'en générale, ils ignorent involontairement ou volontairement, que cela contribue au dumping sociale, c'est à dire a la concurrence des bas salaires, surtout dans le secteur des services (une politique actuellement en place depuis quelques années en France et en Europe, d'ou l'Allemagne est actuellement le pays le plus en avance dans ce domaine). Que çà plaise ou non aux détracteurs et aux progressistes qui détestent Trump de façon viscérale, on notera que l'accent est souvent mit sur "l'immigration" sans précisé "illégale", ou là, Trump ne fait qu'appliqué une règle conforme a toutes nations qui souhaitent régulée l'immigration, et non faire la même erreur que ce qu'a fait l'Europe, c'est à dire ouvrir un robinet qui à un moment provoquera une conflit culturelle, économique et sociale au sein même de nos pays (ce qui commence a être le cas sans vouloir l'admettre). Seuls les idiots utiles sont encore dans leurs mondes bloubiboulga droit de l'homme et liberté d'asile et de refuge, au détriment de la capacité réel d'un pays a assimilé ces flux migratoires. Ce qui, comme aux USA, jouera en faveur des populismes voir des nationalismes dans certains pays Européens.
Après, dans les faits, on est d'accord que croire qu'un mur suffira a résoudre le problème, en rajoutant même 5000 postes dans les services de contrôles et des services d'immigrations (juste pour mémoire, mon expérience a prouvé que les services de l'immigration sont complètement saturés, avec des retards d'un a deux ans dans certains états comme le Texas par exemple) c'est mal connaître les capacités de gens déterminés (aidé aussi par des associations et des ONG clairement financées par qui l'on sait)  a passer illégalement une frontière. Il suffit de voir ce que nous connaissons en Europe pour le savoir, si tenté qu'on a les yeux grands ouverts à défaut de se caché des vérités qui ne rentre pas dans le dogme "réfugiés" galvaudé à un point culminant, pour nous faire accepté sans conditions, l'invasion.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire