Selon comment on veut faire parti d'un bord ou de l'autre, on accepte les versions officielles ou non officielles de l'histoire. Sur la Syrie, l'histoire avec un grand H aura du mal a choisir selon comment l'avenir déterminera le destin de ce pays, théâtre d'un conflit d'intérêt majeur. Car si l'argument énergétique semble le plus crédible, le religieux et l'idéologique a couvert le tous pour créer un spectacle pour l'opinion public, ou se sont mêler tyrannie de l'un, invasion des autres, afin de donner la légitimité d'éradiqué une présence chiite sur des terres, qui aujourd'hui encore, sont disputées non pas pour ses ressources, mais pour son régime qui empêche depuis longtemps, les Qataris et les américains de piquer de la part de marché aux russes sur l'alimentation en gaz et pétrole de l'Europe. Car clairement Assad a protégé les intérêts des iraniens comme des russes, a ne pas voir des gazoducs et pipelines traverser son pays, pour aller arroser l'Europe, via la Turquie et Israël. Une situation ou l'opportunisme idéologique des Saoudiens et des Israéliens l'a aussi emporté pour se débarrasser d'un chiite alaouite et mettre la mains sur la Syrie, comme terre légitime faisant partie pour chacun d'eux, de leurs grandes terres légitimes. Car en effet, si Assad est écarté du pouvoir, il faut s'attendre a ce que l'un comme l'autre, veuillent avoir son influence sur la Syrie, comme partie intégrante de ce que l'un appel, "le grand Israël", et l'autre, "le Califat".
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