Cette fois ci, c'est avec Stormy Daniels, star du porno qu'on essaye de mettre Trump à terre. Sauf que la starlette affirme, prétend, jure, sans vraiment apporter des preuves flagrantes. Ce qui emmerde un peu les médias qui y vont avec des pincettes, tant l'affaire peut évidemment tourner au vinaigre rapidement.
Il n'est pas surprenant que l'avocat de Trump, Michael Cohen, ait envoyé une nouvelle lettre de cessation à Stormy Daniels, selon laquelle son avocat allait renvoyer un autre homme en justice en disant que son avocat Michael Cohen l'avait diffamée en insinuant qu'elle mentait. à propos d'une affaire avec Trump il y a plus d'une décennie.
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Daniels a modifié son procès verbal actuel contre Trump, en ajoutant Cohen comme défendeur dans l'affaire en cours.
En plus d'accuser Cohen de diffamation, la plainte modifiée élargit l'argument de Daniels selon lequel l'accord de confidentialité était illégal, car il manquait la signature de Trump......"
Dans un lettre, l'avocat de Trump dément les allégations de la plaignante, sur un lien avec voyou qui aurait visité la dame pour sans doute pratiquer une intimidation. Problème, c'est que la justice semble se douté qu'elle ne trouvera ni l'individu en question, ni même un lien avec Cohen. Lorsque Julianna Goldman de CBS Evening News a demandé à Avenatti, l'avocat de Stormy Daniels, s'il avait des photos, des textes ou des vidéos de sa relation présumée avec Trump, il a répondu "No comment", ajoutant que sa cliente "veut juste rétablir les faits".
On notera quand même qu'avec cette affaire, la chaîne CBS a fait un grosse part d'audience qu'elle n'a certainement pas manqué de bien rentabiliser en publicité, lors de la diffusion de l'émission "60 Minutes".
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