mardi 25 septembre 2018

EVIDENCES

Un appel clair, net, précis. Car en effet, a quoi bon taxé pour soit disant sauvé la planète, si ce n'est pas pour changer les habitudes, les modèles industriels, les modes de vies, dans lesquels les acteurs financiers seraient évidemment perdants. On comprend mieux alors certaines arnaques, qui tentent de maîtriser les populations, qui seront les premières victimes (qui le sont déjà plus ou moins) le jour ou l'on commencera à manquer de l'essentiel. Un essentiel qui d'ailleurs, fait déjà l'objet de projets spéculatifs, de propriétés, de licences, pour à terme, privatiser ce qui est du domaine public et de l'intérêt commun, parce qu'a terme, on en aura provoquer la raréfaction. Raréfaction qui dans nos modèles économiques, n'est ni plus ni moins, qu'une valeur spéculative a souhait. Et du coup, seul celui qui en aura les moyens, pourra s'en approprié l'essence. Les autres, pourront crevé.


 

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